Président du conseil régional de Rhône-Alpes
 Député du Rhône

Jean-Jack
Queyranne



 

8 documents disponibles

 Réformer l'Etat, c'est accorder l'autonomie régionale
« De plus en plus, les régions sont les lieux où s'expriment les projets, s'échangent les expériences, se nouent des dialogues fructueux entre les partenaires qui, au niveau national, restent figés dans des jeux de rôles corporatistes. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
5 septembre 2005

 Pour un nouveau souffle de la décentralisation
« La décentralisation est au cœur du débat public. Parce qu'elle est une source de rétablissement du lien entre des citoyens qui confirment leur confiance dans les élus locaux et un système de représentation démocratique dans lequel ils ne se reconnaissent plus. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par les présidents de Régions

juillet 2005

 Décentralisation : « C'est le brouillard complet »
« Il y a une volonté du ministère des Finances de décentraliser les déficits de l'Etat et de transférer, au passage, l'impopularité fiscale aux élus locaux. C'est un tour de passe-passe auquel nous ne nous prêterons pas. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
14 avril 2004

 Pas de responsabilités nouvelles sans les moyens
« Les régions vont beaucoup compter pour préparer 2007. Elles donneront l'occasion de voir les socialistes en action. Nous pouvons expérimenter, proposer, faire avancer des choses concrètes. La victoire de François Mitterrand en 1981 avait été préparée par les élections municipales de 1977. On ressent aujourd'hui un peu la même ambiance. »

Entretien accordé au journal Le Monde
4 avril 2004

 Nous allons faire des régions des modèles de gestion
« Le gouvernement peut avoir la tentation de donner aux régions, surtout si elles sont de gauche, beaucoup de charges et peu de moyens. Avec les citoyens, nous combattrons cette tentation : l'impartialité doit demeurer la règle d'or. »

Entretien accordé au journal Le Progrès de Lyon
2 avril 2004

 Une volonté de changement et de signes forts
« La gauche plurielle n’a pas si mal fonctionné. Le problème c’est qu’elle reposait sur un accord national de gouvernement et sur des désistements locaux, c’est tout. À présent, il va y avoir la gestion de régions en commun, sur le terrain. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Lyon Capitale
31 mars 2004

 La Région mérite mieux pour l'avenir, il faut un nouveau souffle
« Comme toute grande réforme, elle nécessite des adaptations. Aujourd'hui, si nous étions encore aux responsabilités, je proposerais de réunir les partenaires sociaux pour faire un réel bilan et introduire, lorsque c'est nécessaire, des protections ou des souplesses nouvelles. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Lyon Capitale
19 novembre 2003

 Monter dans le wagon de tête
« On ne peut oublier la sinistre période de 1998 où Charles Millon, minoritaire en voix dans la région, a voulu conserver la présidence avec le soutien du Front national. Après l'annulation de son élection par le Conseil d'État, en janvier 1999, j'ai appelé toute la gauche à voter pour Mme Comparini, afin de dégager une solution républicaine et sortir Rhône-Alpes de l'impasse politique. »

Entretien accordé à L'Hebdo des socialistes
8 novembre 2003

 Contribution Sud
Contribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000.

septembre 2000

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