Ancien secrétaire national du PS (1975-1979)

Gilles
Martinet
8 août 1916 - 29 mars 2006



 

10 documents disponibles

 Les gènes de la gauche française
« Depuis sa défaite de 2002, le Parti socialiste français s'est refait une santé en soutenant toutes les revendications et en approuvant tous les mécontentements. Il lui faut maintenant démontrer qu'il existe un projet alternatif. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
28 avril 2005

 Réguler les échanges
« Jusque-là, on avait perçu le phénomène de la mondialisation à travers le prisme des idéologies : libérale, tiers-mondiste ou altermondialiste. Ce qui a empêché de s'interroger sérieusement sur son avenir ou, plus exactement, sur ses avenirs possibles. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
24 février 2005

 UE : la Constitution d'abord, le combat ensuite
« Certains laissent entendre que la Constitution une fois rejetée, il sera possible de la renégocier en éliminant les aspects les plus contestables du texte actuel, c'est-à-dire l'exigence d'un vote à l'unanimité dans des domaines aussi importants que le domaine fiscal qui commande, en partie, le domaine social. Il s'agit malheureusement d'un mensonge. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
27 octobre 2004

 Le calcul de Laurent Fabius est limpide
« Il était mal placé dans les sondages. (...) Fabius a donc jugé qu'il lui fallait tout faire pour retourner rapidement cette situation. De fait, si son non est suivi, cela entraînera quasi automatiquement un changement de majorité à la tête du PS, et cela lui ouvrira la possibilité d'être candidat en 2007. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
8 octobre 2004

 La gauche va bien, mais est-elle encore socialiste ?
« Le « réalisme de gauche » prend appui sur des valeurs et cherche à changer ce qui peut être changé. Mais il souffre d'un sérieux défaut : il n'a jamais fait les comptes avec le passé. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
3 décembre 1997

 Quand l'ennemi s'appelle quiconque
« Pour l'immense majorité des observateurs étrangers, la reprise des essais nucléaires n'est rien d'autre qu'une manifestation de l'orgueil français. Cela n'est pas tout à fait vrai mais ce n'est pas si mal vu. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
3 septembre 1995

 Quand la France n'a plus de politique européenne
« Soutenir qu'elle n'a plus de politique étrangère serait sans doute exagéré, mais la vérité est que cette politique est dépourvue de toute stratégie. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
3 novembre 1994

 Le crépuscule du mitterrandisme
« Ce dont nous ne nous rendions pas compte au départ, c'est que les ambiguïtés mitterrandiennes allaient devenir nos propres ambiguïtés, celles du mouvement socialiste dans son ensemble. Or, maintenant qu'est venue la défaite et que s'affirme une volonté de renaissance, c'est avec ces ambiguïtés et avec ce système de pouvoir qu'il faut rompre. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
10 septembre 1994

 Faut-il avoir peur de l'Allemagne ?
« La France n'a jamais cessé de se comparer à l'Allemagne. Sans doute la voit-elle avec d'autres yeux que jadis. Elle la sait résolument pacifique et acquise à un système démocratique qui a fait ses preuves. Mais elle souffre de l'écart qui s'est creusé entre les deux économies. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
15 janvier 1992

 Ce que peut faire et ne pas faire le PS
« Le Parti socialiste est capable d'entreprendre beaucoup de choses sauf de tenir un véritable congrès idéologique, j'entends par là un congrès qui ne serait pas amnésique, qui ferait ses comptes avec l'ancien programme - celui de la " rupture avec le capitalisme " - et qui parviendrait à jeter les bases d'une doctrine renouvelée du socialisme. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
14 septembre 1989

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