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 Le candidat PS devra se démarquer du projet du parti« L'esprit du projet socialiste me paraît critiquable et il ne doit pas inspirer le candidat que je soutiendrai. Car il n'est pas adapté aux enjeux de la France d'aujourd'hui. » Entretien accordé au quotidien Le Figaro
29 juillet 2006
Que penser des nouveaux contrats de travail ?« La flexibilité ne peut être érigée en dogme économique, pas plus qu'elle ne peut être déconnectée de son " coût " social : l'emploi, oui, mais comment et à quel prix ? » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
2 février 2006
L'urgence de la rénovation de notre parti« Oui, notre réalisme, notre liberté de ton, notre nouveauté, notre audace, enfin, constituent à n'en pas douter un ingrédient piquant mais indispensable de la victoire espérée en 2007. »  Intervention à la tribune du congrès du Mans 19 novembre 2005
Pour un socialisme libéral : vérité et action« Être socialiste libéral, c'est partir du monde tel qu'il est pour le rendre meilleur. Ce n'est pas dire qu'un autre monde est possible, c'est faire jouer tous les possibles de notre monde, ici et maintenant. » Motion présentée au congrès du Mans (novembre 2005) 20 septembre 2005
Pourquoi une motion pour un socialisme libéral ?« Social-libéral parce que ni le socialisme de gestion, souvent honteux et inabouti, ni le socialisme de contestation, toujours vigoureux, mais vide d'action, n'ont pu suffisamment incarner nos ambitions de progrès social et d'émancipation partagés. » Intervention lors du Conseil national. 17 septembre 2005
Pour un socialisme libéral« Notre projet pour un socialisme moderne et libéral, entend donner de nouveaux outils à notre ambition de transformation sociale. C'est en prise sur le monde que nous incarnerons notre idéal d'une émancipation partagée. Avec les socialistes et les sociaux démocrates d'Europe, nous souhaitons faire souffler le vent nouveau d'un réformisme résolu. » Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005) juillet 2005
Le « New Deal » britannique : une chance pour l'Europe« La nouvelle donne, c'est d'abord cela : l'observation attentive de la réalité et la valeur accordée aux résultats de l'expérience. C'est surtout un volontarisme politique qui ne cède pas sur ses ambitions de transformation sociale. » Point de vue paru dans le quotidien Les Échos
8 juillet 2005
L'échec d'une gauche trop peu réformiste« En se pliant sans cesse à la mythologie de la radicalité et à l'imaginaire national, républicain, teinté de marxisme, on a rendu impossible toute transformation des mentalités. Et ainsi toute relation possible avec la marche de l'Europe et du monde. Oui, l'extrême gauche a bien paralysé nos têtes et nos langues. » Point de vue paru dans le quotidien Le Figaro
31 mai 2005
Tony Blair, la nouvelle voix de la gauche« Réconciliant le discours et l'action, les travaillistes anglais ont réussi à faire renaître un Etat-providence actif et efficace. » Point de vue paru dans le journal Libération
12 mai 2005
Partout en France, des maires socialistes se mobilisent en faveur du projet de Traité constitutionnel européen« Nous, responsables de collectivités territoriales (communes, communautés urbaines, villes...) nous voulons ajouter un argument qui peut concerner plus directement nos concitoyens et les territoires dans lesquels ils vivent... » 18 novembre 2004
L'émergence d'une gauche moderne est possible« Dijon a été un congrès assez largement raté si on le ramène aux enjeux auquel est confronté le PS à quelques mois d'importantes échéances électorales. De nombreuses questions restent en suspens. » Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Point
25 juillet 2003
L'avenir est au centre« Le PS est arrivé, au soir du 21 avril, à la fin ultime du processus d'Epinay. Mais il n'a pas fait son aggiornamento idéologique, alors qu'en Europe, partout, la gauche progressiste gagne du terrain. » Entretien accordé au quotidien Le Figaro
24 juillet 2003
Pour un socialisme moderne« Le débat qui s'ouvre au sein de notre parti, doit nous permettre d'élaborer un « projet de société pour la gauche à l'heure de la mondialisation », de nous engager sur une ligne claire, rompant avec l'unanimisme quelque peu confus qui a été le notre au cours des dernières années, de bâtir un parti socialiste ouvert, force d'alternative et de propositions. » Contribution au Congrès de Dijon de mai 2003. 18 janvier 2003
N'oubliez pas la ville, M. Raffarin !« Aujourd'hui, la France est urbaine. Plus de 80 % de nos concitoyens vivent en ville. C'est en ville que se joue, pour une large part, l'avenir de notre pays. Or, le silence actuel est assourdissant. » Point de vue paru dans le journal Le Figaro
4 octobre 2002
15 chantiers pour une nouvelle étapeContribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000 présentée par Jean-Marie Bockel, Nicole Bricq, Gérard Gouzes. octobre 2000
Le PS, un malade qui s'ignoreAncien chevénementiste, incarne aujourd'hui, l'aile libérale de son parti. Plus blairiste que jospiniste, cet ancien ministre de Laurent Fabius, connu pour ses prises de position sécuritaires dans sa ville, a décidé de mettre les pieds dans le plat au congrès du PS organisé à Grenoble du 24 au 26 novembre 2000. Son ambition : en finir avec les archaïsmes... Entretien accordé au journal Le Parisien
19 août 2000 |
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