Ancien président de la Commission européenne |
Jacques |
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Pas de plan B dans les cartons. Pas de plan B dans les têtes « Il faut sortir de cette propagande du non selon laquelle la France pourrait exiger tout et tout de suite, selon les choix de sa majorité. Et, d’ailleurs, de quelle majorité parle-t-on ? Le Pen, de Villiers, Fabius, Besancenot, Buffet, ça ne fait pas une majorité que je sache... » Entretien paru dans le quotidien Nord-Éclair | |
Le devoir de vérité impose de dire qu'il peut y avoir un plan B. Mais une solution rapide est impossible « Chaque fois qu'un pays, même petit, a dit non, il a proposé des aménagements. Quelles seront, sur ce point, les positions de la France ? L'embarras serait grand. » Entretien paru dans le quotidien Le Monde | |
Ils vous mentent ! « Ceux qui à gauche dénigrent [le traité constitutionnel européen] ont autre chose en tête. Ce sont des nostalgiques de la rupture. Il faudrait que la Constitution soit d’emblée socialiste ! Il faudrait faire du jour au lendemain l’Europe de nos rêves, l’Europe de nos chimères ! Sinon on arrête tout ! » Entretien paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur | |
Le Parti socialiste a toujours été à la tête de l'Europe « Le cadre de nos luttes, le cadre pour le progrès social, une certaine conception du développement durable se jouent à l'intérieur de l'Europe, et sur le plan international, avec l'aide de l'Europe. » Entretien diffusé sur l'antenne de RTL | |
La charte des droits fondamentaux, un instrument pour nos luttes « L'Europe peut apporter une valeur ajoutée mais elle ne peut nous dispenser d'un effort national, là où les compétences sont nationales pour stimuler la croissance, la création d'emplois, l'égalité des chances en matière d'éducation, l'action en faveur des plus défavorisés... » Intervention devant le ClubTémoin. 19 avril 2005 | |
Un " non " reviendrait à déserter le champ de bataille « Si les socialistes optaient pour le " non " lors de leur consultation interne, ce serait un terrible saut dans l'inconnu pour le Parti socialiste ; et pour la France, si les Français les suivaient, ce que je ne crois pas. » Entretien paru dans le quotidien Le Monde | |
Il n'y a pas de vision de l'Europe sans mémoire « Si la France n'épouse pas pleinement ce traité, si la gauche politique en France et une partie de la droite disent NON, ils n'auront que leurs yeux pour pleurer. » Intervention devant le ClubTémoin. 10 novembre 2004 | |
Le Parti socialiste doit rappeler son engagement européen « Il y a ceux qui veulent que la France se replie dans son château pour y prendre du muscle, et il y a ces socialistes qui donnent dans la surenchère utopique. Ces approches freinent le combat quotidien pour une Europe plus sociale. Il faut retrouver la voie centrale. Or nous en avons beaucoup dévié. » Entretien accordé à la revue Possibles | |
Réveillons l'Europe Ce texte a été signé par Giuliano Amato, Etienne Davignon, Jean-Luc Dehaene, Jacques Delors, Felipe Gonzalez, Roy Jenkins, Helmut Kohl, Maria Lourdes Pintassilgo, Jacques Santer, Helmut Schmid, Mario Soares, Peter Sutherland et Karel Van Miert. octobre 2001 | |
Construction européenne : la nouvelle phase sera sociale et politique « La solution est dans un meilleur fonctionnement du triangle institutionnel - Parlement, Conseil, Commission - de manière à gagner en transparence, en lisibilité pour les citoyens et en efficacité. Les trois institutions doivent, en plus de leurs tâches propres, s'attacher à dégager les priorités et à susciter l'intérêt des opinions publiques et la création d'un espace politique vivant, condition d'exercice de la responsabilité démocratique. » Entretien accordé à L'Hebdo des socialistes | |
Cohabitation : Delors contredit Chirac Président de la Commission européenne entre 1985 et 1995, Jacques Delors a pu observer de près les deux cohabitations de 1986-1988 et 1993-1995. Selon lui, la France peut parler « d'une seule voix » en Europe, même en période de coexistence à la tête de l'Etat. Entretien accordé au quotidien Libération | |
Un Parti socialiste au cœur de la société « Le renouveau du parti socialiste passe par un dialogue avec toutes les forces vives du pays. Et nous ne serons jamais trop pour combler le vide inquiétant qui s'est creusé entre ceux qui prétendent diriger et ceux qui ont l'impression de subir. » Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur | |
Pourquoi je soutiens Jospin L'ex-candidat préféré des Français explique les raisons de son entrée en campagne en faveur d'un autre. Entretien paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur |
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