Député européen  Secrétaire national à la Formation

Henri Weber

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	De quoi débattent les socialistes ? « Déjà huit candidats à l'Elysée, et toujours pas de projet pour le PS, lit-on ici ou là. En réalité, le PS a un projet, affiné de congrès en congrès depuis dix ans. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 18 novembre 2005
	Sortir de la crise européenne « Plutôt que de culpabiliser les tenants du non, il faut réorienter l'UE vers plus de social et de démocratie. » Tribune parue dans le journal Libération 29 juin 2005
	Seul le non peut redresser l'Europe « Nous comprenons les arguments de ceux qui ont choisi le oui, mais nous pensons qu'ils sont en porte-à-faux avec notre électorat. » Entretien accordé au quotidien Le Figaro 30 mars 2005
	Régression sociale à Bruxelles « La Commission Barroso travaille-t-elle sournoisement à la défaite du oui aux référendums sur la Constitution européenne prévus dans dix pays de l'Union cette année ? » Tribune parue dans le journal Libération 25 février 2005
	Constitution : le Non de Weber, le Oui de Poignant Échange entre deux députés européens français : Bernard Poignant, partisan du Oui et Henri Weber, partisan du Non. Echange paru dans le quotidien Ouest France 29 novembre 2004
	Constitution européenne : un débat salutaire « Le débat qui traverse le PS et que ses militants auront à trancher le 1er décembre prochain intéresse tous les Français. Au-delà de l'appréciation de la Constitution soumise à référendum à l'automne 2005, il porte en réalité sur le projet européen lui-même. » Entretien accordé au journal Le Figaro 11 octobre 2004
	Europe : la gauche doit changer de méthode « Plutôt qu'un débat simpliste sur le référendum, les socialistes devraient s'atteler à définir une stratégie adaptée à cette deuxième étape de l'édification européenne. » Tribune parue dans le journal Libération 19 juillet 2004
	L'avenir en rose « Seul le vote PS aux régionales pouvait sanctionner la politique « thatchériste » du gouvernement Raffarin. » Tribune parue dans le journal Libération 9 avril 2004
	Le programme archaïque du trotskisme « Quel autre choix que le libéralisme ? Sûrement pas celui de l'ultragauche. » Tribune parue dans le journal Libération 15 septembre 2003
	Un thatchérisme à la française « C'est délibérément et en connaissance de cause que le gouvernement a choisi d'engager une épreuve de force avec les intermittents du spectacle, à la veille des festivals de l'été. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 24 juillet 2003
	Pour un nouvel élan culturel « Les socialistes ne proposent pas seulement aux français une société du bien-être, et de justice sociale, mais aussi une société du bien-vivre, c'est à dire une société où les femmes et les hommes pourront réaliser toutes les potentialités dont ils sont capables, et en particulier les plus hautes : exercer leur liberté, accéder pleinement aux œuvres de la culture et de l'esprit, donner libre cours à leur créativité individuelle et collective. » Contribution thématique présentée au Congrès de Dijon. janvier 2003
	Henri, ta mémoire flanche Henri Emmanuelli fait le procès en libéralisme de Jospin. Sauvant l'avant 2000, rejetant l'après. Une césure impossible. Tribune parue dans le journal Libération 23 septembre 2002
	Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle Intervention en clôture. 1er septembre 2002
	PS : les chantiers oubliés Un diagnostic pour cerner les questions auxquelles la gauche doit prioritairement apporter des réponses pour reconquérir ses électeurs. Point de vue paru dans le quotidien Libération 29 août 2002
	Gauche : sept questions refondatrices « Tour d'horizon des grands thèmes qui agitent les partis socialistes européens dans leur quête d'une nouvelle voie. Comment poursuivre l'humanisation de nos sociétés, face à l'expansionnisme des rapports marchands ? Comment consolider et défendre notre démocratie ? » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 27 août 2002
	Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle Discours de clôture. 29 août 1999
	Troisième voie : où sont les divergences ? « L'appel de Tony Blair et Gerhard Schröder, à la veille de l'élection européenne, n'a pas été entendu par ceux auxquels il était adressé : les électeurs modérés des nouvelles classes moyennes, allergiques à l'impôt. Il n'a été que trop bien entendu, en revanche, par ceux auxquels il ne s'adressait pas : les électeurs des classes populaires, aspirant à plus de justice sociale, d'égalité, d'action de l'Etat. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 20-21 juin 1999
	Troisième voie : quelles sont les divergences ? « L’émotion suscitée par le Manifeste de Tony Blair et de Gerhard Schröder s’explique sans doute par le moment où il a été publié : à cinq jours des élections européennes et alors que les quinze partis sociaux-démocrates constituant le PSE étaient censés faire campagne ensemble sur un Manifeste Commun, adopté solennellement au congrès de Milan les 1er et 2 mars 1999, en présence de tous les leaders... » Texte paru dans La Revue Socialiste, numéro 1 Printemps 1999

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