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 Les raisons du départ« Ce parti, je le quitte cependant à regret. Et même à grand regret. (...) Sans les attaques personnelles dont j'ai été victime de la part de certains de ceux qui jouent un rôle majeur dans cette campagne auprès de la candidate et, en dépit de mon analyse, je serais revenu. Mais je suis désormais incapable de cohabiter avec ceux qui ont touché à l'essentiel. Le combat politique n'autorise pas tout… surtout dans son propre parti. » 21 février 2007
Lionel Jospin candidat !« Seuls compteraient le renouvellement des visages à gauche et la brutalité des postures à droite. Certes, les sondages fournissent toujours des indications utiles. De là à croire qu'ils expriment, dans la durée, une adhésion majoritaire à tel ou telle candidat ou candidate, il y a un risque majeur de passer à côté des vrais enjeux qui structureront le rendez-vous de 2007. » Tribune parue dans le journal Le Monde
29 juillet 2006
C'est Jospin qui incarne le mieux l'image de Président« L'élection de 2007 se déroulera dans un contexte international et national difficile. Les Français, dans ces cas-là, se tournent vers des personnes d'expérience aux convictions solidement forgées. Personne ne soupçonne Lionel Jospin de ne pas être capable d'agir. ». Entretien paru dans le quotidien Libération
21 janvier 2006
Nous devons quitter Le Mans rassemblés« Nous devons être tous ensemble pour lutter contre ce qu'incarne Sarkozy, qui réussit le tour de force d'emprunter à Bush son néo-conservatisme, à Berlusconi ses méthodes, à Le Pen son fonds de commerce, à Aznar son atlantisme, et à Chirac son culot. »  Intervention à la tribune du congrès du Mans 19 novembre 2005
La synthèse n'est pas indispensable« L'alternative, c'est que nous soyons réunis, sans nier nos éventuelles différences, autour d'une charte de comportement qui rende les socialistes plus solidaires notamment dans leur expression extérieure. » Entretien paru dans le journal Le Figaro
18 novembre 2005
Il existe un autre modèle économique que le modèle anglo-saxon« Il existe un autre modèle, social-démocrate, basé à la fois sur une grande protection sociale et sur une souplesse pour les entreprises avec, sur le plan fiscal, un fort taux de prélèvement obligatoire. » Entretien paru dans le quotidien Le Monde
8 septembre 2005
EDF : une politique à contre-courant« Les choix du gouvernement visent un changement politique radical. Libéralisation et concurrence sans obligation de service public auront des conséquences graves. ». Tribune parue dans le quotidien Libération
22 juin 2004
Chirac prétend panser par des mots les plaies qu'il a lui-même ouvertes« Il y a en ce moment en France une vraie désespérance sociale, qui peut se transformer en rupture sociale. Et Jacques Chirac en porte la responsabilité, puisque le pilotage macroéconomique de son gouvernement est un échec. ». Entretien paru dans le quotidien Libération
2 janvier 2004
Le manque d'harmonisation sociale et fiscale m'inquiète« Aujourd'hui, nos concitoyens ont du mal à comprendre cette méthode des petits pas sur la politique sociale et fiscale. Et cette question nous est posée plus durement à gauche qu'ailleurs. Provoquer une crise serait un vrai cas de conscience pour les socialistes, dont l'identité est clairement européenne. » Entretien paru dans le quotidien Le Monde
24 octobre 2003
Construire notre modèle de cohésion sociale« Notre projet est de construire un modèle de cohésion sociale. Un nouvel internationalisme de gauche pour dominer démocratiquement le capitalisme Une alliance européenne pour remettre l'Europe à l'endroit, c'est-à-dire au servie du modèle social européen. » Contribution générale présentée au congrès de Dijon. 18 janvier 2003
Le congrès s'enliseEric Besson soutient la démarche de François Hollande pour le congrès socialiste de Dijon en mai 2003. Mais il presse aussi le premier secrétaire du PS d'accélérer « la clarification ». Entretien paru dans le quotidien Libération
14 novembre 2002
PS : pour relever les défis« Pour relever les défis qui nous attendent, nous estimons nécessaire de répondre à l'appel de François Hollande, pour rassembler sur des orientations claires, ancrées à gauche, toutes celles et tous ceux qui entendent conjuguer au présent et au futur un socialisme ambitieux et créatif. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
18 octobre 2002
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