Président du conseil régional du Centre
 Trésorier du Parti socialiste

Michel
Sapin



 

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 Laurent Fabius incarne l'insincérité et le cynisme
« Qu'il y ait des débats et des positions divergentes, c'est plutôt un signe de la bonne santé du parti. Ceux qui sont sincères et constants dans leurs positions sont profondément respectables. Mais le positionnement de Laurent Fabius est une injure à la morale politique. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Point
3 novembre 2005


 Pour un nouveau souffle de la décentralisation
« La décentralisation est au cœur du débat public. Parce qu'elle est une source de rétablissement du lien entre des citoyens qui confirment leur confiance dans les élus locaux et un système de représentation démocratique dans lequel ils ne se reconnaissent plus. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par les présidents de Régions

juillet 2005


 Les régions ont dû se substituer à l'Etat
« Le rapport d'Hervé Mariton est tellement caricatural et partisan qu'il restera comme un épiphénomène. C'est un catalogue des idées reçues et des bêtises de la pensée ultralibérale, qui fustige toute dépense publique, toute action publique, d'où qu'elles viennent, en l'occurrence des collectivités locales. On pouvait s'y attendre, mais là on frise le ridicule. »

Entretien accordé au journal Libération
12 juillet 2005


 Voter OUI, pour plus d'avancées sociales et démocratiques
« Voter OUI, c'est donner à la construction européenne les moyens nécessaires à son développement plus juste, plus équilibré, plus social et plus démocratique. »

2 mai 2005


 Le non, c'est l'inconnu
« Le non provoquerait l'instabilité, l'inconnu au PS alors que nous avons besoin d'union et de sérénité pour combattre la droite et retrouver le chemin du pouvoir. »

Entretien paru dans le journal Le Parisien
1er décembre 2004


 Projet de réforme des marchés publics : Chacun ne sera plus tenu que par sa seule conscience morale
« Le code des marchés publics vient d'être changé, des fondations politiques sont créées, des dons des entreprises aux partis sont à nouveau autorisés. On a permis de nouveau la possibilité de contreparties entre le privé et le public. La porte des risques est à nouveau ouverte. »

Entretien accordé au journal Le Monde
3 juillet 2004


 Une véritable décentralisation, accompagnée des moyens indispensables à son exercice
« Certaines nouvelles compétences, dès lors qu'elles sont financées, peuvent paraître justifiées. Il en est une toutefois que, pour des raisons de principe, nous ne souhaitons pas voir inscrite dans la loi. C'est celle qui concerne le transfert de la gestion des personnels TOS. C'est ce qu'ont affirmé avec force tous les présidents de gauche. »

Entretien accordé au journal Le Monde
13 avril 2004


 Un projet pour une région plus solidaire
« L'exercice de la démocratie participative est un formidable levier pour que le plus grand nombre s'approprie les politiques de la Région, des politiques dans lesquelles ils se reconnaissent, qui répondent à de véritables besoins, et qui renforcent la connaissance de la région, son identité et sa cohésion. »

Entretien accordé à L'Hebdo des socialistes
15 novembre 2003


 Je porterai un projet précis
« Ma candidature n'a de sens que si c'est une candidature d'union, et pas seulement des socialistes. C'est ainsi que nous avons gagné, dans tous les départements de la Région, en 1998, contre la droite et l'extrême droite. (...) L'union nous fera de nouveau gagner. C'est ma conviction profonde. Je la crois partagée par nos partenaires. C'est maintenant à eux de décider. »

Entretien accordé au journal La Nouvelle République
20 octobre 2003


 L'argent des partis : fragile honnêteté
« L'UMP revendique, pour sa future fondation, la liberté de recourir à des ressources issues des entreprises. (...) C'est alors que la toile laborieusement tissée pour moraliser le financement de la vie politique se verrait brutalement détruite. En tirant sur un fil, c'est tout le tissu de la lutte contre la corruption qui viendrait alors à disparaître. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
18 octobre 2003


 Chirac a fait perdre la raison au gouvernement
Michel Sapin, 51 ans, ancien ministre socialiste de l'Economie et des Finances, commente l'annonce de la baisse de 3 % de l'impôt sur le revenu (IR).

Entretien accordé au journal Libération
5 août 2003


 On va réinstaller l'ère du soupçon sur le monde politique
« Le gouvernement a fait adopter, le 3 juin par le Parlement, la possibilité de réformer par ordonnance le code des marchés publics et d'introduire un partenariat public-privé. »

Entretien accordé au journal Le Monde
10 juin 2003


 Retraites : Il n'est pas temps de brouiller le débat
« S'il est une critique de fond que l'on peut porter au gouvernement, c'est de n'utiliser qu'une seule des manettes, l'allongement de la durée de cotisation, et de faire peser ainsi la quasi-totalité de l'effort sur les seuls salariés. »

Entretien accordé au journal Libération
31 mai 2003


 Quel renouveau pour le Parti socialiste ?
« Nous ne pensons pas que le débat constitutionnel soit l'essentiel. Le point-clé est aujourd'hui dans la capacité des partis politiques à comprendre les demandes de la société. »
Par Alain Bergounioux, Claude Evin, Alain Richard, Michel Sapin et Bernard Soulage.

Tribune parue dans le journal Le Monde
21 juin 2002


 Un État plus transparent et plus efficace
« Sortons des faux débats : l'heure n'est ni à un affadissement ni à un affaiblissement de l'État. Bien au contraire, c'est parce que nous avons une idée certaine de l'État que nous voulons aujourd'hui le réformer. C'est parce que l'État est plus que jamais indispensable qu'il nous faut aujourd'hui le rendre plus transparent et plus efficace. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
24 août 2000


 La nouvelle donne
En vue du congrès du PS, onze ministres et dirigeants socialistes proches du Premier ministre signent une contribution axée sur la lutte contre les inégalités.

Document paru dans le journal Libération
18 juillet 2000


 Présentation de la Convention nationale sur l'entreprise
« Les socialistes réfléchissent à l'entreprise. Vous me direz que c'est naturel pour des socialistes. On s'aperçoit que l'entreprise est le lieu habituel des dialogues, mais aussi des conflits dans une société comme la nôtre. »

novembre 1998

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