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 Les vrais enjeux du PS« Va-t-on confier la direction du pays à des irresponsables, ou à des opportunistes ? Va-t-on accepter la dissolution progressive du PS dans un magma gauchisant ? » Point de vue paru dans le journal Libération
7 novembre 2005
Etat des lieux socialiste après le référendum« Qu'on se rassure, ce n'est pas la première fois que de telles péripéties ont lieu. Le même Laurent Fabius, crocodile de la République politicienne, Premier ministre des années 80, avait déjà déclenché le fameux congrès de Rennes, faute d'avoir accepté le vote démocratique de son courant qui avait désigné Pierre Mauroy comme premier secrétaire. » Point de vue paru dans le journal Libération
8 juillet 2005
Fabius, Iznogoud de la gauche !« On cherche à annuler le résultat du vote démocratique des militants pour essayer d’affaiblir le premier secrétaire et, à travers lui, à terme, l’ensemble du PS. Puisqu’ils ne le contrôlent pas, certains préfèrent que le parti soit faible. C’est le calcul de Laurent Fabius. » Entretien accordé au Nouvel Observateur
9 mars 2005
Pauvre Fillon, il est dans la nasse« Chirac se trompe du tout au tout. Il n'a pas senti le désarroi de la jeunesse. Il est vite mal à l'aise sur le terrain de l'Education nationale. Et, sous prétexte de tenir une promesse, il a imposé à Fillon - qui traînait les pieds - de faire une loi. Or c'était parfaitement inutile. » Entretien accordé au journal Le Parisien
14 février 2005
Un faux débat« Si le non l'emporte, le PS éclatera. Comment un premier secrétaire digne de ce nom pourrait-il rester à la tête d'un parti qui aurait perdu son identité à cause de l'action de son n° 2 ? Les déclarations faussement apaisantes ne doivent pas masquer ce danger. » Point de vue paru dans L'Express
29 novembre 2004
Besoin de pragmatisme« Je remercie très sincèrement Paul Quilès d'avoir répondu à mon article. Ce faisant, il valide mieux que je n'aurais pu le faire mon statut de proeuropéen critique. Non, cher Paul Quilès, je n'ai pas changé d'avis, tout ce que j'ai écrit je le pense toujours et je peux faire miennes beaucoup des critiques que tu énumères ici. » Point de vue paru dans le journal Libération
1er novembre 2004
Si le non gagne, Bush gagne« Un rejet français de la Constitution n'arrêterait pas l'Europe, mais la rendrait plus libérale. » Point de vue paru dans le journal Libération
12 octobre 2004
Mauvais esprit de recherche« Il y a quelques jours M. Raffarin a cru bon d'affirmer que lorsque j'étais ministre en charge de la Recherche, les moyens alloués aux chercheurs étaient inférieurs à ce qu'ils sont aujourd'hui. J'ai été choqué et révolté. » Point de vue paru dans le journal Libération
19 mars 2004
L'Europe bloquée« On nous dit : l'échec du sommet de Bruxelles sur la Constitution européenne est une catastrophe pour l'Europe. Est-ce si sûr ? » Point de vue paru dans L'Express
19 janvier 2004
Si Jospin n'est pas candidat...« Il faudrait être fou pour imaginer que Jospin puisse ressortir de sa boîte en 2007 dans l’état exact où il y est entré en 2002. Etre l’anti-Chirac n’a pas suffi lors de la dernière présidentielle. Le rester lors de la prochaine compétition est bien sûr un atout, mais ce ne sera pas suffisant. Il faudra aussi donner aux Français des perspectives et de l’espoir. » Entretien accordé au Nouvel Observateur
8 janvier 2004
L'Europe en question« De compromis en compromis, la convention présidée par Valéry Giscard d'Estaing a accouché d'un projet de Constitution pour l'Europe. (...) Or, pour les européens convaincus comme moi, la situation est difficile : l'Europe va mal et ce projet ne me paraît pas être le remède. » Point de vue paru dans L'Express
2 octobre 2003
Éducation : c'est la faute à ChiracSans minimiser la responsabilité des syndicats - qui ont provoqué sa chute -, l’ancien ministre de l’Education analyse à sa façon, toujours abrupte, les raisons de la colère du monde enseignant. Entretien accordé au Nouvel Observateur
12 juin 2003
Faire germer une nouvelle gauche« C'est avec un parti socialiste élargi à de nouveaux alliés que la gauche doit renouveler ses idées et inventer un avenir généreux. » Point de vue paru dans le journal Libération
26 juin 2002
Les anciens ministres doivent s'effacer« L'autre soir, à ma réunion de section, j'ai vérifié combien les militants exigeaient le renouvellement. C'est vital pour que le PS regagne sa crédibilité vis-à-vis du pays. » Entretien accordé au journal Le Parisien
27 mars 2002
Allègre « secoue le cocotier »Claude Allègre explique à quelles conditions, selon lui, le Premier ministre peut devenir en 2002 chef de l'Etat. Point de vue paru dans le journal Le Parisien
27 mars 2002
Changer de politique, changer la politique« La gauche a mieux à faire que d'appliquer les recettes libérales. » Point de vue paru dans le journal Libération
4 mai 2001
Les défis de la recherche« Le Comité interministériel qui se tient aujourd'hui devra définir les nouvelles orientations de la recherche, secteur majeur du développement de notre pays. » Point de vue paru dans le journal Libération
1er juin 1999
Enseignants, je suis des vôtres !« Le service public, c'est le fondement de l'Etat. Mais le service public républicain, c'est plus que cela : l'affirmation quotidienne, dans la vie des citoyens, que l'Etat cherche à établir l'égalité entre eux. Egalité devant la justice, dans la protection des personnes et des biens, devant l'instruction, devant la maladie, devant la retraite. Egalité encore entre les territoires, ceux des villes et ceux des campagnes. »
Point de vue paru dans le journal Le Monde
15 décembre 1998
Ce que je veux« La rénovation de l'école n'a pour autre objectif que la santé de notre nation : remettre, à travers l'éducation de nos enfants, la France en mouvement, telle est l'ambition qui m'anime. »
Point de vue paru dans le journal Le Monde
6 février 1998
Congrès de Brest
Discours prononcé à la tribune du congrès du Parti socialiste.
22 novembre 1997
La recherche pour avenir
« L'Université manque de moyens. Les étudiants qui en sortent manquent de débouchés. Il y a urgence... »
Point de vue paru dans le journal Libération
30 mai 1997
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Ancien ministre de l'Education nationale, de la Recherche et de la Technologie (1997-2000)
