Député de l'Essonne
 Conseiller régional d'Île-de-France

Julien
Dray



 

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 Banlieues, agir sur le terrain
« Par ses provocations verbales, Nicolas Sarkozy s'est désigné comme la cible, permettant aux « brûleurs » délinquants de se parer de l'alibi d'une pseudo-conscience politique « anti-sarko ». S'il serait injuste de dire que le gouvernement est responsable de tous les maux, il n'en est pas moins doublement coupable. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
7 novembre 2005

 Proposition des femmes pour le projet socialiste
« Cette contribution, loin d'être une revendication catégorielle, sert l'intérêt général. Le parti socialiste a tout à gagner à porter ce combat. Mais cela commence par un effort sur lui-même d'exemplarité en matière d'égalité femmes/hommes. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005

 Lettre aux dirigeants d'Attac
« Quelle certitude dans vos propos ! Sans même en rajouter, à vous lire et à vous entendre, on apprend que tout partisan du oui serait un suppôt de Seillière, un ultra-libéral patenté, et en aucun cas un esprit de gauche. »

5 avril 2005

 Le oui n'est ni un reniement ni un abandon
« Une partie de la gauche qui, sur le fond, n'a jamais accepté la construction européenne et les compromis qu'elle implique. Mais je suis sûr que, les jours passant, encore une fois, les « masses », comme on disait à l'époque, sauront qu'un pas en avant vaut mieux que mille programmes. »

Entretien accordé au quotidien Libération
4 avril 2005

 Emmanuelli dit n'importe quoi
« J'ai été pendant quinze ans minoritaire, y compris sur des questions graves, jamais je ne me suis permis de faire campagne contre mon parti de cette façon-là. Ceux qui se revendiquent de la base sont en train de lui imposer leurs caprices de chefs. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
12 mars 2005

 Si, par malheur, le non l'emportait...
« Il faut dire et redire que l'adoption de la Constitution n'a aucune conséquence sur l'entrée ou non de la Turquie dans l'Union. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
3 janvier 2005

 La gauche a des devoirs
« S'il monte ainsi en première ligne, c'est, d'abord, parce qu'il sait que le rejet du gouvernement Raffarin va finir par l'affaiblir. C'est, ensuite, parce qu'il cherche à contrer l'activisme de Nicolas Sarkozy. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
29 mars 2004

 Chirac est comme ces camelots sur les marchés
« S'il monte ainsi en première ligne, c'est, d'abord, parce qu'il sait que le rejet du gouvernement Raffarin va finir par l'affaiblir. C'est, ensuite, parce qu'il cherche à contrer l'activisme de Nicolas Sarkozy. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
12 janvier 2004

 Lettre à un jeune militant de la LCR
« Pour être autre chose que des " ramasseurs de balles ", il faut accepter de prendre des responsabilités, de mettre les mains dans le cambouis, accepter les compromis inhérents à la démocratie. Mais votre choix est tout autre : commenter et dénoncer seulement, le drapeau rouge fièrement déployé, pour pouvoir continuer à jouer les pères la vertu. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
7 novembre 2003

 Ensemble, bâtir un front anti-Raffarin
« Nous avons tout à gagner à être ensemble. Ce que certains veulent au second tour, nous pouvons le réaliser dès le premier. Je répète ce qu'a dit le premier secrétaire : tout est encore négociable. »

Entretien accordé au quotidien Libération
27 octobre 2003

 Lettre ouverte aux bons conseilleurs
« La pensée unique en matière de retraite est un danger pour la démocratie. »

Point de vue paru dans le journal Libération
vendredi 6 juin 2003

 Attendez-vous à du changement !
« Nous avons repositionné le parti, sans démagogie ni facilité et avec le souci constant de montrer que nous ne nous contenterons pas de critiquer. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
19 mai 2003

 Engager concrètement la reconquête
« Nous sortons forts de ce congrès avant tout, parce que le débat que nous avons eu a été un vrai débat. C’est un triomphe pour notre démocratie interne, un signe de vitalité de notre parti que certains commentateurs, voués aux gémonies au soir du 21 avril, pressés qu’ils en étaient d’en finir avec ce Parti socialiste qui dérange la Cinquième République depuis qu’elle existe. »

Congrès de Dijon
17 mai 2003

 Le NPS s'enferme dans l'opposition
« L'adversaire principal, c'est la droite. Je me vois mal être dans l'opposition à l'opposition. Nous ne sommes pas là pour être minoritaires pour le plaisir d'être minoritaires. »

Entretien accordé au quotidien Libération
18 février 2003

 Pour un Nouveau Parti socialiste
« Comme d'habitude toutes les contributions vont commencer par la même phrase : « le Parti socialiste est à un tournant de son histoire », mais à la différence des autres fois, cette fois c'est vrai. La défaite du 21 avril 2002 nous confronte à une réalité aussi nouvelle que cruelle : seuls 13 % des ouvriers et 12 % des employés se sont reconnus dans notre candidat, les autres ayant, semble-t-il, choisi désormais d'autres porte-parole. »
 Contribution générale présentée par le Nouveau Parti socialiste au congrès de Dijon.

18 janvier 2003

 Être socialiste, ce n'est pas seulement limiter les dégâts
« Le PS de l'après-21 avril ne sera pas prêt à supporter ces synthèses artificielles que les éléphants s'empressent de déchirer sitôt le congrès terminé. Les batailles de califes finissent par lasser. »

Entretien accordé au quotidien Libération
18 janvier 2003

 Notre Europe n'est pas la leur !
« Plus de dix ans après la chute du mur, l'élargissement aux pays d'Europe centrale est bien sûr devenu une obligation historique. Mais à quelles conditions ? L'Europe sourde aux citoyens fabrique de l'indifférence et du populisme. De ces deux maladies de la démocratie, nous avons en France une expérience brûlante. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
7 décembre 2002

 Pour le moment, le débat d'idées n'existe pas
« Les débats qui agitent aujourd'hui le PS se retrouvent aussi chez les socialistes italiens ou espagnols. Ce dont je ne veux surtout pas, c'est que l'on personnalise trop les débats pour aboutir à une chasse à l'homme. »

Entretien paru dans le journal Le Monde
22 novembre 2002

 Rassemblement "Pour un nouveau Parti socialiste"
Les partisans d'un nouveau Parti socialiste autour des députés Arnaud Montebourg, Julien Dray et du porte-parole du PS Vincent Peillon ont organisé une journée de réflexion à la Sorbonne visant à lancer le débat du congrès de Dijon en mai 2003.

26 octobre 2002

 Un nouveau Parti socialiste
« Le Parti socialiste doit se réformer lui-même, afin de rendre crédible sa volonté de transformer demain la société. »
Point de vue de Julien Dray, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon.

Paru dans le quotidien Libération
9 octobre 2002

 « Avec ce qu'on voit à la télé.... »
« Comme dans les bons vieux procès staliniens... Le procureur a fabriqué le dossier. Accusé Julien Dray, levez-vous ! Vous êtes un doux rêveur, un moustique qui ne connaît rien de la souffrance de ceux qui vivent l'insécurité au quotidien, vous voyez des " incivilités " là où il y a des violences. Vous avez cherché à fomenter un complot contre les télés pour les rendre responsables d'une défaite que vous ne vouliez pas assumer. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
24 mai 2002

 Insécurité : " La droite est incapable de traiter les causes du mal "
Julien Dray, porte-parole thématique de Lionel Jospin chargé des questions de sécurité, réagit à la visite contestée de Jacques Chirac à Mantes-la-Jolie.

lundi 4 février 2002

 Rencontre nationale sur la sécurité, à Evry
Intervention de Julien Dray, secrétaire national du Parti socialiste chargé de la sécurité.

samedi 27 octobre 2001

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