Député de Saône-et-Loire.
 Fondateur de la Convention pour la VIème République

Arnaud
Montebourg



 

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 Il y a un risque très sérieux de ballottage, il faut l'éviter à tout prix
« Le ballotage n'a aucun sens, puisque les deux compétiteurs de Ségolène ne peuvent passer la moindre alliance sans trahir leurs positions, car ils sont aux antipodes l'un de l'autre, et enfin parce que ce serait une catastrophe pour le Parti socialiste d'avoir l'un des deux ministres des Finances de Lionel Jospin, qui nous ont menés là où nous en sommes. »

Entretien accordé au journal Journal de Saône-et-Loire
13 novembre 2006


 Évitons les vilaines méthodes du congrès de Rennes
« Dominique Strauss-Kahn, pour qui l'économie est plus forte que le politique, accepte de s'y soumettre tout en proposant en habile gestionnaire - qu'il est - de ruser avec elle. Ce faisant il ne parle nullement à l'imaginaire politique de la gauche qui a besoin d'audace et de rêves. La candidature de Laurent Fabius appartient à la tradition de l'ancienne SFIO : son verbe est à gauche et sa pratique du pouvoir est centriste. »

Entretien paru dans le quotidien Le Figaro
6 novembre 2006


 Le choix de l’alliance
« Pour conjurer le danger lepéniste et infliger une cruelle défaite à la candidature Sarkozy, il est impérieux de réussir à se rassembler, réussir à nous renouveler, et réussir à tenir les promesses de la gauche. Je crois que Ségolène Royal a les atouts pour conjuguer ces trois exigences. C’est bien sûr à elle de nous en convaincre. »

Courrier adressé aux militants de Rénover maintenant
21 juillet 2006


 Il se prépare une dictature douce
« Ce que Nicolas Sarkozy cherche à obtenir, c'est un surcroît d'autorité pour le futur chef de l'Etat. C'est la concentration accrue de pouvoirs dans les mains d'un seul homme. C'est le renforcement de la dérive autoritaire du régime né de la Ve République. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
14 janvier 2006


 Reconstruire un outil perdu au Mans
« Rénover maintenant est situé à l'intérieur du Parti socialiste, mais tourné vers l'extérieur. »

20 Minutes
12 décembre 2005


 Le NPS n'existe plus
« Ses idées ont été soit abandonnées, soit laminées dans la moulinette de la synthèse. La plupart de ses dirigeants ont abandonné le NPS pour rejoindre les positions de François Hollande, et de surcroît, les militants, qui dans leur quasi-totalité ne voulaient pas de synthèse ont été méprisés. »

Entretien accordé au journal Journal de Saône-et-Loire
29 novembre 2005


 Changer la politique
« Le projet social dont nous sommes porteurs, le projet laïc dont nous sommes porteurs, passera par la VIème République. »
 Intervention à la tribune du congrès du Mans

19 novembre 2005


 Le gouvernement doit indemniser les victimes des violences urbaines
« Plusieurs décès, des dizaines de personnes, habitants, policiers, pompiers, blessés, de nombreux bâtiments publics et privés incendiés, des centaines de travailleurs mis au chômage technique, et plus de 8 500 véhicules brûlés... Voilà d'ores et déjà le triste et lourd bilan humain et financier qui s'annonce. Qui va payer cette facture ? »

Point de vue paru dans le quotidien Le Figaro
17 novembre 2005


 Assumons nos désaccords
« En dehors des grandes fédérations où nous avons quelques inquiétudes de manipulations, le vote des militants est une défaite pour la direction. Elle se retrouve avec une majorité fragile et divisée. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
14 novembre 2005


 Changeons la République
« La Ve République a installé un système dangereux car à la fois autoritaire et impuissant. Pas de lieux de débat, pas de lieux de compromis, l'irresponsabilité à tous les étages et l'impossibilité pour les citoyens de se faire entendre. Tout cela nourrit la démagogie et le populisme. La gauche doit proposer la République nouvelle. »

Paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
29 septembre 2005


 Nouveau Parti Socialiste pour une alternative socialiste
« Nous savons les réformes indispensables. Nous les savons aussi difficiles. Mais nous voulons rendre à nouveau possible, dans les faits, un projet de gauche destiné d'abord à offrir aux couches populaires des raisons d'espérer en la République et en la démocratie. »
 Motion présentée au congrès du Mans (novembre 2005)

20 septembre 2005


 Rendre la gauche possible
« Le monde a changé, l'Europe a changé, la société française a changé : nous devons changer aussi, et construire de nouvelles réponses aux défis de notre présent et de notre avenir. »
 Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par le NPS

12 juillet 2005


 Instaurer une VIème République pour réconcilier les citoyens avec la démocratie
« Est-il utile encore de décrire la lente décomposition du système politique à laquelle nous assistons depuis plusieurs années ? (...) La Vème République proclame dans son article 2 " le Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ", elle est devenue le gouvernement d'un seul, sans le peuple et contre le peuple. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par le NPS

juillet 2005


 Un nouveau féminisme pour un nouveau socialisme
« Depuis quelques années, les femmes ont à faire face à de nouvelles oppressions. En effet, le nouveau capitalisme et l'intégrisme religieux se liguent partout pour faire replonger les femmes dans un monde de soumission et d'obscurantisme. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par le NPS

juillet 2005


 Le PS est au bord de la crise de nerfs. Le bilan est lourd
« Le congrès de Dijon, en 2003, fut un congrès de dupes et de conservation du pouvoir. Plutôt que de prendre la tête de cette rénovation, François Hollande l'a diabolisée et interdite. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
3 juin 2005


 Traité constitutionnel : Le PS a fait fausse route
« Ce non est aussi l'échec de Lionel Jospin, de François Hollande et de tous ceux qui, dans leur sillage, n'ont pas voulu tirer ou nous ont empêchés de tirer les leçons du 21 avril 2002. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire L'Express
30 mai 2005


 Le retour de Jospin, c'est un passeport pour le désespoir
« Lorsqu'on mène un parti de gouvernement au score traumatisant de 16 %, on ne peut pas se contenter de dénoncer la " frivolité " des électeurs ou d'afficher son autosatisfaction sur son bilan. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
29 avril 2005


 Logement du ministre de l'économie Hervé Gaymard : Qu'il cesse de nous mentir
« Que vaut désormais la parole d'un ministre de l'Economie qui dispose de la signature de la France dans des enceintes prestigieuses sur le plan international et qui en galvaude la crédibilité dans des mensonges pitoyables ? Gaymard a franchi un pas de plus vers la démission. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
24 février 2005


 Le virage centriste des promoteurs socialistes du " oui "
« Le " non " que nous défendons est celui de la re-négociation de la Constitution. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
20 novembre 2004


 Tout cela relève de mœurs bonapartistes
« La justice ne fait pas exception. Tout ce qui est indépendant et qui résiste au pouvoir est placé sous dépendance. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
21 octobre 2004


 La fracture européenne
Pour la première fois, deux leaders socialistes, Jack Lang, farouche partisan du oui, et Arnaud Montebourg, avocat passionné du non, débattent. Sans concession.

Paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
21 octobre 2004


 Prendre la tête d'un mouvement de renégociation
« Le non des socialistes français, c'est la réécriture de la charte de la renégociation. Je préfère que nous réécrivions nous, avec nos valeurs, notre force, et que nous guidions (...) les socialistes européens plutôt que ce soit la lecture souverainiste qui l'emporte. »
 Intervention lors du conseil national du parti socialiste.

9 octobre 2004


 A force, la parole de Jospin s'use
« On rencontre dans toutes les sections des militants qui doutent, et s'interrogent. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
20 septembre 2004


 Je me réjouis que notre dénonciation d'une crise de régime soit entendue
« La tâche des socialistes n'est pas de multiplier les bouts de programme ni les demi-colloques, mais de bâtir un véritable programme de réforme des institutions pour le candidat du PS en 2007. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
22 août 2004


 Constitution Européenne : vingt ans de malheur !
« On ne peut pas un jour faire campagne pour l'Europe sociale et le lendemain expliquer aux électeurs qui nous ont fait confiance qu'il faut voter pour un système qui la rend durablement impossible. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
1er juillet 2004


 Partenariat public-privé: danger
« Les nouveaux contrats de financement de l'Etat sont une hérésie tant budgétaire que politique. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
21 juin 2004


 La guérilla des chefs est affligeante
« J'adresse la même remarque à Jospin qu'à Strauss-Kahn, Fabius et aux autres : avant de repartir à la conquête du pouvoir, travaillons sur le projet. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
28 mai 2004


 Réaliser le 13 juin, un deuxième 28 mars
« C’est le tout début du début de l’humus du socialisme européen que nous voulons faire germer. Nous avons là de quoi nous rassembler et dire à la droite ce qu’elle est, ce qu’elle ne veut pas, et la faire reculer comme nous l’avons fait reculer pour faire triompher notre cause. »
 Intervention lors du Conseil national.

17 avril 2004


 Pourquoi pas la Turquie dans l'Union ?
« Il est tout a fait possible d'intégrer un État dont la majorité de la population est musulmane. Le problème se posera d'ailleurs avec la Bosnie, le Kosovo ou l'Albanie. Mais il y a des critères économiques et démocratiques à respecter. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
10 avril 2004


 Pour dénouer la crise, la seule solution passe par la dissolution de l'Assemblée nationale
« Il est nécessaire que l'exécutif de ce pays retourne chercher une légitimité électorale qu'il n'a plus. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
31 mars 2004


 Une justice aux ordres du pouvoir
« Le projet de loi Perben 2 a été présenté comme devant améliorer la lutte contre la criminalité organisée. En réalité, ce texte met en place une contre-réforme pénale dont on est encore loin d'avoir pris toute la mesure, dont l'objectif est de diminuer les juges et soumettre les procureurs. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
25 janvier 2004


 Dire que les chômeurs français sont des assistés est un scandale
« Ce gouvernement mène une politique de destruction de ce qui reste de la protection sociale pour l'aligner sur la protection des pays d'Europe de l'Est et du Sud-Est asiatique qui nous font une concurrence déloyale. Il devrait au contraire organiser la protection des salariés au niveau européen. »

Entretien paru dans le quotidien Métro
9 janvier 2004


 Vers la Constituante européenne ?
« Croyez-vous que les gouvernements ou les Etats auront les moyens d'opposer leurs petites digues à ce qui pourrait devenir un déferlement prodigieux ? Les socialistes de toute l'Europe porteront dans tous les foyers européens gangrenés par le désespoir populiste la croyance dans notre avenir commun, dans un petit texte, clair, simple, lisible par tous : la Constitution de tous les citoyens européens. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
6 janvier 2004


 Dessiner une voie nouvelle
« Notre devoir dans cette campagne, c'est de faire de ce bulletin de vote socialiste et de l’ensemble des forces de gauche rassemblées lorsqu’elles ont pu l’être autour de nous, l’instrument de résistance à la situation actuelle. »
Convention nationale de ratification des listes aux régionales de 2004

13 décembre 2003


 Executive life : « Irresponsable et dangereux »
« Le gouvernement a décidé d'engager les contribuables français dans une aventure qui coûtera très cher. Uniquement pour permettre à l'ami du Président d'économiser 50 millions de dollars. La décision prise par Jacques Chirac, en raison de son amitié très particulière avec François Pinault, industriel qui lui a rendu des services signalés pour sa carrière politique, est contraire à l'intérêt général. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
5 décembre 2003


 Le PS ne voit pas le piège dans lequel il va tomber
« Il faut revenir à la pensée des pères fondateurs : approfondir l'Europe démocratique en réformant ses institutions avant de l'élargir. Faute de quoi on précipitera l'Europe dans une zone de libre-échange - la victoire posthume de Margaret Thatcher... »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
25 novembre 2003


 Conseil national du 11 octobre 2003
« Il faudra que nous nous posions la question de ce qu’est l’identité socialiste dans une Europe qui connaîtra une évolution fondamentale et sur laquelle il nous est demandé de mettre notre paraphe, et un paraphe historique. ».

11 octobre 2003


 Chirac ? Un roi fainéant
« Pour satisfaire quelques privilégiés, Raffarin a baissé l'impôt sur la fortune puis l'impôt sur le revenu des classes supérieures. (...) Les victimes de sa politique sont des millions, les bénéficiaires quelques milliers seulement. M. Raffarin finira sous les quolibets de la classe ouvrière. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
25 septembre 2003


 Culture : reconstruire sur les ruines
« M. Aillagon s'apprête, avec le sourire forcé du courtisan chargé de la mauvaise besogne, à mettre les gants rugueux du fossoyeur de l'œuvre d'André Malraux. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
19 août 2003


 Le NPS s'inscrit dans la durée et défend une voie nouvelle
« C'est tout le problème de la victoire de François Hollande. Est-ce une victoire des éléphants aux pattes desquels il est enchaîné et qui l'ont fait triompher, ou une victoire du désir de s'en affranchir, nul ne le sait pour l'instant. S'il décide de trahir ceux qui l'ont hissé sur le pavois, il aura gagné en autorité et en légitimité pour guider le PS vers de meilleurs horizons. Je ne désespère de rien. »

Entretien accordé au journal Journal de Saône-et-Loire
29 juillet 2003


 Une révérence au roi thaumaturge
« Je suis très frappé par la révérence générale des politiques et des médias à l'égard du Président. Quant au PS, il respecte trop le trône puisqu'il en rêve. Cette révérence au roi thaumaturge n'intéresse pourtant plus personne. Le PS n'a pas compris que, dans la population, ce système est mort. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
16 juillet 2003


 Le PS a besoin qu'on lui administre du Viagra
« S'il n'y a pas de transformation du Parti socialiste dans ses idées, ses pratiques et ses dirigeants, les électeurs qui ne croient plus en nous ne nous reviendront pas. Notre parti s'est un peu encroûté. Il vit sur des concepts et des analyses qui datent d'il y a vingt-cinq ans. »

Entretien paru dans le quotidien Le Télégramme
11 juillet 2003


 Unir gauche mouvementiste et gauche de gestion
« Nous sommes l'une des premières forces du PS. Sa majorité n'est qu'un assemblage de baronnies qui se désunit devant chaque question fondamentale. Notre travail consiste à injecter des idées nouvelles, à proposer d'autres formes d'action et à participer, par notre énergie, à la construction d'un PS différent. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
6 juillet 2003


 Le courage du consensus
« Sur les retraites comme sur l'avenir de l'assurance-maladie, la droite a imposé son diagnostic et ses solutions, énoncés unilatéralement lors de la visite du premier ministre au congrès du Medef, dont elle paraît devenue le mandataire, puis a employé son énergie à diviser ses interlocuteurs. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
13 juin 2003


 Pour un socialisme de l’engagement
« Nous défendons ici et désormais pour longtemps la voie nouvelle d'un socialisme de l'engagement. Ce socialisme refuse l'impasse de la radicalité révolutionnaire, mais il refuse l'autre impasse, celle du socialisme gestionnaire qui veut croire en l'illusion d'un réformisme tranquille et qui, craignant les conflits comme la peste, se réfugie derrière l'abstraction de l'intérêt général, fondant son action sur un technocratisme éclairé à la légitimité perdue. »

Congrès de Dijon
17 mai 2003


 Par sa cohérence, NPS est presque la première sensibilité
« François Hollande a montré qu'il avait organisé autour de lui une majorité nette. Mais on ne sait pas à quoi va servir cette majorité. Est-ce que cette majorité va servir à transformer en profondeur le parti ou est-ce que cette majorité va être engluée en quelque sorte dans les conservatismes que nous combattions. »

Grand jury RTL - Le Monde - LCI
11 mai 2003


 Rocard m'a blessé...
« Je pense qu'ils ont décidé de nous écraser, car nous sommes, dans le parti, la seule force nouvelle. Nous dérangeons. Mais si nous n'avions pas été là, qui aurait bousculé l'ordre sagement établi ? »

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
6 mai 2003


 Réalimenter le Parti
« La question que nous posons c'est est-ce que nous sommes capables d'accomplir notre révolution douce, c'est à dire de dégager des lignes nouvelles, des idées nouvelles, des axes politiques nouveaux, des projets nouveaux sur lesquels nous pourrons convaincre à nouveau les cœurs et les esprits qui nous ont quittés en masse. »

Entretien diffusé sur RTL
22 avril 2003


 Renouer avec l'exigence sociale
« Nous proposons tout d'abord aux socialistes une véritable stratégie de résistance à la mondialisation alors que la direction du PS se contente de mesures d'accompagnement juste destinées à réparer les dégâts de la mondialisation libérale. »

Entretien accordé au quotidien La Depêche du Midi
14 février 2003


 Développement durable et équitable
« Depuis la révolution industrielle du 19ème siècle, les hommes disposent d'outils technologiques qui permettent une exploitation toujours plus intensive des ressources naturelles. L'ampleur de cette exploitation a pris des proportions telles que les équilibres de la planète s'en trouvent à présent menacés. La protection de l'environnement est devenue un impératif politique. »
Contribution thématique au Congrès de Dijon de mai 2003.

18 janvier 2003


 Le PS demeure un parti de campagne électorale, coupé de la société
« Si la gauche reproduit le même langage rituel, sans se préoccuper de la concrétisation de son action, si le PS n'accomplit pas une rupture avec lui-même, en remettant en cause ses propres conservatismes, les électeurs continueront à lui faire le même procès en trahison. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
23 janvier 2003


 Pour un Nouveau Parti socialiste
« Comme d'habitude toutes les contributions vont commencer par la même phrase : « le Parti socialiste est à un tournant de son histoire », mais à la différence des autres fois, cette fois c'est vrai. La défaite du 21 avril 2002 nous confronte à une réalité aussi nouvelle que cruelle : seuls 13 % des ouvriers et 12 % des employés se sont reconnus dans notre candidat, les autres ayant, semble-t-il, choisi désormais d'autres porte-parole. »
 Contribution générale présentée par le Nouveau Parti socialiste au congrès de Dijon.

18 janvier 2003


 Notre Europe n'est pas la leur !
« Plus de dix ans après la chute du mur, l'élargissement aux pays d'Europe centrale est bien sûr devenu une obligation historique. Mais à quelles conditions ? L'Europe sourde aux citoyens fabrique de l'indifférence et du populisme. De ces deux maladies de la démocratie, nous avons en France une expérience brûlante. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
7 décembre 2002


 Les enchères truquées de Francis Mer
« En moins de deux jours, un dixième du capital de la quatrième banque française a été vendu par le ministre des Finances sans aucune consultation, sans appel d'offres digne de ce nom, presque en « mano a mano » sous une table. »
Point de vue signé Jean-Pierre Brard, Yves Cochet, Paul Giacobbi et Arnaud Montebourg.

Paru dans le quotidien Libération
3 décembre 2002


 Allez convaincre
Discours de clôture prononcé lors de l'université d'automne de la Convention pour la VIème République.

17 novembre 2002


 Pour une VIe République !
« Il est inévitable de transférer la totalité des pouvoirs de gouvernement du président au gouvernement, afin que son chef, le Premier ministre, révocable et responsable, en réponde en son nom propre sur des décisions qui seront les siennes. Le président de la VIe République sera ainsi un simple arbitre. »

Point de vue paru dans Le Nouvel Observateur
31 octobre 2002


 Rassemblement "Pour un nouveau Parti socialiste"
Les partisans d'un nouveau Parti socialiste autour des députés Arnaud Montebourg, Julien Dray et du porte-parole du PS Vincent Peillon ont organisé une journée de réflexion à la Sorbonne visant à lancer le débat du congrès de Dijon en mai 2003.

26 octobre 2002


 Nous sommes à la fois plus à gauche et plus modernes
« Nous sommes à la fois de gauche et en même temps dans la réalité. Nous sommes une sorte d'objet non identifié, une chose nouvelle. Et comme toute chose nouvelle, nous sommes difficiles à caricaturer et à étiqueter. Nous sommes à la fois plus à gauche et plus modernes. Nous sommes les deux. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
11 octobre 2002


 Un nouveau Parti socialiste
« Le Parti socialiste doit se réformer lui-même, afin de rendre crédible sa volonté de transformer demain la société. »
Point de vue signé Julien Dray, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon.

Paru dans le quotidien Libération
9 octobre 2002


 Des frontières nouvelles pour les socialistes
« République nouvelle et démocratie approfondie, résistance à la mondialisation, nouveau contrat social : quel Parti socialiste devons-nous rebâtir pour aborder ces frontières nouvelles ? »
Texte de travail à l'intention des militants socialistes.

5 octobre 2002


 Élargissement de l'Europe : nous exigeons un référendum !
Point de vue rédigé par Arnaud Montebourg et Christian Paul.

Paru dans le quotidien Le Monde
20 septembre 2002


 La Vème République est à bout de souffle
M. Montebourg livre ses impressions suite au coup de semonce que représentent pour notre pays, le premier tour de l'élection présidentielle et la réélection de Jacques Chirac, sur le mandat unique de faire vivre notre démocratie.

Entretien paru sur le site Vouzemoi.net
4 juin 2002


 En route vers la VIe République
« Seule une nouvelle constitution pourrait permettre aux Français de retrouver la confiance civique perdue. C'est dans l'esprit de l'augmentation de la responsabilité citoyenne qu'il nous faut travailler d'arrache-pied. Il nous revient de bâtir un nouveau pouvoir exécutif. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
29 janvier 2002


 Piètre mercenaire
« Me Szpiner, pour ceux qui ne le savent pas, est payé pour écrire sans honte ni vergogne ce qu'il écrit. Il est l'avocat d'Alain Juppé, secrétaire général du RPR, mis en examen dans la même affaire d'emplois fictifs que celle qui concerne le président de la République. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
1er juin 2001


 « C6R », mode d'emploi
Arnaud Montebourg, député PS de Saône-et-Loire, lance, ce soir à l'Assemblée nationale, sa Convention pour la sixième République. Cette «C6R» vise à rassembler des citoyens soucieux d'exercer leur contrôle démocratique et à plaider pour une nouvelle Constitution.

Entretien accordé au quotidien Libération
2 mai 2001


 Une corruption stupéfiante
« Grâce à la politique de non-intervention d'Elisabeth Guigou, les affaires sortent parce qu'elles peuvent enfin suivre leur cours normal. Du coup, nous découvrons avec stupeur l'ampleur de la corruption. Les chiffres sont parlants. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
21 janvier 2001


 Une sanction de trop
« Mais quel est donc le crime que le député Noël Mamère aurait ainsi pu commettre ? Il a, figurez-vous, évoqué - chose impensable ! fait inqualifiable ! - l'implication du président de la République dans les affaires de fraude électorale de la Ville de Paris.
Celle-ci est pourtant d'une telle évidence qu'elle fait dans l'opinion publique l'objet de toutes les chroniques et de tous les commentaires. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
7 juin 2000


 Un référendum maintenant
Cinq responsables socialistes - dont Arnaud Montebourg -, lancent une « grande campagne nationale » pour réclamer à Jacques Chirac l'organisation d'un référendum sur la justice.

Document paru dans le quotidien Libération
25 janvier 2000


 Roland Dumas : Partez, si vous êtes toujours socialiste !
« Pour que les idées que nous nous efforçons de traduire en actes ne perdent ni de leur intensité ni de leur force, pour qu'elles ne subissent pas les objections venimeuses tirées de ces circonstances judiciaires et cornéliennes, je crois, en conscience, que si Roland Dumas est toujours socialiste, il lui faudra avoir la sagesse de se retirer. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
12 novembre 1998


 Une rénovation «aussi souhaitable qu'inéluctable»
Un texte rédigé par de jeunes députés socialistes - dont Arnaud Montebourg -, militants de la modernisation de la vie politique.

Document paru dans le quotidien Libération
24 septembre 1998


 Nous, députés, estimons que la limitation du cumul des mandats est la clef du renouveau démocratique.
Un texte rédigé par de jeunes députés socialistes - dont Arnaud Montebourg -, paru dans Libération

8 février 1998

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