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La volonté d'une nouvelle dynamique politique« Le rassemblement des socialistes entre eux parce qu'il est la condition du rassemblement de la gauche et parce qu'il est la condition de notre rassemblement avec les Français. Jusqu'à la dernière heure de ce congrès, sans accepter aucun ultimatum, nous poursuivrons jusqu'au bout la nécessité de ce rassemblement. » Intervention à la tribune du congrès du Mans 19 novembre 2005
Le PS a besoin d'une majorité plus large« Nous voulons un rassemblement de tous les socialistes. Est-ce que Fabius doit en faire partie ? Bien sûr. Mais pas seulement. Il doit s'ouvrir à tous ceux qui veulent s'engager dans la rénovation, sur une orientation claire, sincère et ancrée à gauche. » Libération 7 novembre 2005
Il faut un changement de majorité dans le PS« Laurent Fabius est en permanence dans l'arrière-pensée de sa candidature. François Hollande est dans la réassurance de sa propre position politique. Nous, nous avons voulu éviter le bloc des « oui » contre celui des « non », et ça rend plutôt le congrès plus ouvert qu'on ne le croit. » Point de vue paru dans le journal L'Humanité 4 novembre 2005
Hollande cherche de mauvaises querelles« Le débat s'est organisé autour d'enjeux de pouvoir présidentiel, du refus d'un vrai débat serein par François Hollande, et de l'affichage permanent par Laurent Fabius d'une ambition pour après. Ces enjeux ont confisqué ce congrès. Il est urgent de se ressaisir. » Entretien accordé au journal Le Progrès de Lyon 4 novembre 2005
Hollande et Fabius ont le même bilan« La responsabilité d'un homme politique c'est d'assumer son bilan. Hollande dirige depuis huit ans. Fabius, qui était numéro deux du PS, l'a dirigé avec lui jusqu'à il y a moins de six mois. Ce sont des faits. » Le Parisien 3 novembre 2005
Nouveau Parti Socialiste pour une alternative socialiste« Nous savons les réformes indispensables. Nous les savons aussi difficiles. Mais nous voulons rendre à nouveau possible, dans les faits, un projet de gauche destiné d'abord à offrir aux couches populaires des raisons d'espérer en la République et en la démocratie. » Motion présentée au congrès du Mans (novembre 2005) 20 septembre 2005
Rénover le projet avec sincérité« Il y a un clivage permanent entre les modernes, qui glissent très vite au social-libéralisme, et les archaïques qui gardent l’authenticité des valeurs. Nous vous proposons de réconcilier les deux. Notre rassemblement est un rassemblement ouvert à tous les socialistes. » Intervention lors du Conseil national. 17 septembre 2005
Il y aura un candidat du NPS au Mans« Notre ambition est de faire bouger les lignes et de transformer le parti. Pour cela, le NPS doit être utile à tous. Chaque militant doit pouvoir s'en servir afin de remettre le Parti socialiste en mouvement. » Libération 24 août 2005
Nous ne serons les porteurs d'eau ni de Fabius ni de Hollande« Claude Bartolone voudrait nous donner des leçons de morale militante, je ne suis pas certain qu'il soit le mieux placé. Pour nous, les choses sont claires : nous ne participerons à une majorité que si tout le monde s'y retrouve avec des équipes renouvelées mais, surtout, sur une autre orientation. » Entretien accordé au quotidien Le Figaro 19 août 2005
Rendre la gauche possible« Le monde a changé, l'Europe a changé, la société française a changé : nous devons changer aussi, et construire de nouvelles réponses aux défis de notre présent et de notre avenir. » Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par le NPS 12 juillet 2005
Cessons d'injurier nos camarades« Le congrès du Mans sera celui de la dernière chance : il doit être celui du changement d'orientation politique, de la rénovation et du changement d'équipe, et, sur cette base et cette base seulement, du rassemblement de tous. » Entretien accordé à l'hebdomadaire L'Express 4 juillet 2005
Préparer le rassemblement« Ce qui nous a conduits là, c'est, dans le fond, essentiellement une préoccupation qui n'était pas toujours liée à l'Europe, pas toujours liée à l'intérêt du Parti, mais était aussi parfois liée à des ambitions personnelles, et pas celles d'un seul car cette histoire pourra s'écrire avec tous les acteurs. » Intervention lors du Conseil national. 4 juin 2005
Non à la bunkérisation de la direction du PS« Le PS doit absolument arrêter de se replier sur un quarteron majoritaire dont on voit toutes les divisions. François Hollande doit s'efforcer de rassembler tous les socialistes. Il ne peut le faire qu'en acceptant d'entendre ce que dit son électorat. » Libération 2 juin 2005
La Gauche face à l'EuropePourquoi socialistes et Verts se divisent-ils aujourd'hui sur la Constitution européenne ? A l'invitation du " Monde ", trois partisans du " oui " et trois défenseurs du " non " s'expliquent. Échange retranscrit dans le quotidien Le Monde 21 octobre 2004
Il n'y aura aucune alliance avec Fabius« L'ouverture des négociations ne signifie pas l'adhésion : celle-ci sera soumise aux progrès de la Turquie et à la réforme des institutions de l'UE. » Entretien paru dans Le Parisien 14 octobre 2004
Ce que peut l'Europe pour Ankara« L'ouverture des négociations ne signifie pas l'adhésion : celle-ci sera soumise aux progrès de la Turquie et à la réforme des institutions de l'UE. » Point de vue paru dans Libération 13 octobre 2004
L'Europe sociale est absente de ce traité« Nous parlons beaucoup de crises, nous en abusons. Mon sentiment, c'est vrai sur le plan national comme sur le plan européen, c'est que la crise n'est pas devant nous. Nous y sommes. » Intervention lors du conseil national du parti socialiste. 9 octobre 2004
Mettre en cohérence nos discours et nos actes« Attention à ne pas faire le grand écart. C'est qu'aujourd'hui ce qui se débat en Europe, c'est la semaine de 48 heures. La vérité, c'est que l'harmonisation fiscale n'a pas progressé d'un iota et que ce qui est en train de se passer, c'est la baisse de l'impôt sur les sociétés dans la plupart des pays européens. » Intervention lors du Conseil national. 3 avril 2004
Monsieur Ramadan ne peut pas être des nôtres« Tariq Ramadan, malgré ses prétentions, n'agit ni en musulman, ni en arabe, mais d'après un principe d'action spécifique à l'extrême-droite. Pour nous, cette démarche n'a rien à faire au Forum social européen. » Point de vue paru dans le Nouvel Observateur 23 octobre 2003
Un sursaut s'impose au PS« Hollande doit ne pas se contenter de gérer l'appareil comme il l'a fait pour le congrès. Si le PS n'entreprend pas ce travail de fond, il va se marginaliser. » Libération 28 juin 2003
Donnons tous ensemble de la force à l'espoir« Cette force réside d'abord dans nos convictions socialistes. Et l'espoir des socialistes, c'est d'abord chacune et chacun d'entre vous, avec vous, nous devons être en capacité de retrouver la force de convaincre nos concitoyens et de vaincre la droite. » Congrès de Dijon 17 mai 2003
Nous sommes aujourd'hui le premier courant du parti et le plus tourné vers l'avenir« L'ardeur de celles et de ceux qui sont engagés dans NPS, la volonté de poursuivre un travail de rénovation, le sentiment d'un besoin profond de changement pour que la gauche retrouve sa prééminence politique, tout cela crée la nécessité et le désir de poursuivre dans la durée. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 7 janvier 2003
Un vrai congrès de refondation« Nous n'avons pas eu encore le débat que nous méritons et que ceux qui se reconnaissent dans nos valeurs, dans notre action et ceux qui considèrent que l'espoir ne peut venir que de nous, attendent encore. ». Intervention lors du Conseil national de synthèse. 15 mars 2003
Ne pas esquiver la confrontation des idées« Lorsqu'on veut faire croire que tout le monde pense la même chose, on esquive la confrontation des idées et il ne reste plus alors que les oppositions de personnes. Cette méthode, apparemment celle choisie par François Hollande, n'est pas la bonne. Il faut redonner un peu de hauteur à ce congrés et accepter de discuter sereinement de nos divergences. Ce dont nous avons collectivement besoin, c'est d'un congrés de débat et non pas d'appareil, de clarification et non pas d'arrangements, de refondation et non pas de congélation. » Le Figaro 28 février 2003
Pour moi, Julien Dray est déjà parti« Au NPS, on a dit des choses et on s'y tient. Nous voulons présenter au congrès de Dijon une motion concurrrente de celle de François Hollande. Julien, lui, veut maintenant soumettre de simples amendements au texte du Premier secrétaire. C'est une forme de renoncement contradictoire avec notre ligne. A lui d'en tirer les conséquences. » 20 Minutes 18 février 2003
Construire un projet sérieux« Nous considérons que le Parti socialiste a besoin de se transformer en profondeur, à la fois évidemment dans ses pratiques mais surtout dans son projet. » Entretien diffusé sur RTL 20 janvier 2003
Dégager un horizon d'action qui recrée autour de nous un mouvement« Nous ne sommes pas attendus sur des discours, nous sommes attendus sur des engagements et sur un mouvement. » Intervention lors du Conseil national. 18 janvier 2003
Rassemblement "Pour un nouveau Parti socialiste"« Les arguments de mauvaise foi, sur l'unité du parti, l'opposition des deux gauches ou les ambitions des uns et des autres, doivent être balayés. Il faut imposer le débat dont personne ne veut, le débat sur le fond. Comme le disait Jaurès, il n'est pas interdit de faire entendre dans les Congrès quelques paroles qui soient des paroles de vérité. C'est notre tâche et nôtre justification. » La Mutualité 1er février 2003
Développement durable et équitable« Depuis la révolution industrielle du 19 ème siècle, les hommes disposent d'outils technologiques qui permettent une exploitation toujours plus intensive des ressources naturelles. L'ampleur de cette exploitation a pris des proportions telles que les équilibres de la planète s'en trouvent à présent menacés. La protection de l'environnement est devenue un impératif politique. » Contribution thématique au Congrès de Dijon de mai 2003. 18 janvier 2003
Pour un Nouveau Parti socialiste« Comme d'habitude toutes les contributions vont commencer par la même phrase : « le Parti socialiste est à un tournant de son histoire », mais à la différence des autres fois, cette fois c'est vrai. La défaite du 21 avril 2002 nous confronte à une réalité aussi nouvelle que cruelle : seuls 13 % des ouvriers et 12 % des employés se sont reconnus dans notre candidat, les autres ayant, semble-t-il, choisi désormais d'autres porte-parole. » Contribution générale présentée par le Nouveau Parti socialiste au congrès de Dijon. 18 janvier 2003
Les socialistes se retrouvent sans projet et sans stratégie« Retrouver une crédibilité auprès des militants est la première étape, et le préalable, pour retrouver demain une adhésion de nos concitoyens. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 7 janvier 2003
La gauche est dans la même situation que la droite après sa défaite de 1997« Il est certain que notre lisibilité politique est brouillée. Après cinq années de gouvernement et de sérieux revers électoraux, il est nécessaire de s'interroger et de prendre du recul pour élaborer nos réflexions. Les échéances électorales sont encore loin. Il ne faut rien brusquer. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 12 décembre 2002
Un conte philosophique de droite à dormir debout« Voilà la grande invention conceptuelle de la droite moderne : le marché a besoin d'un seul complément, la prison. » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 29 novembre 2002
Faire de Dijon un congrès fondateur« C’est vrai qu’après chaque défaite, tout le monde reprend la petite musique de la rénovation : mais cette fois-ci il va falloir joindre les paroles à la musique. Par ailleurs chaque militante et chaque militant est assez mature pour juger pour ce qu’elles valent certaines conversions subites. » Entretien publié sur le site Internet du Nouveau Parti socialiste 25 novembre 2002
Rassemblement « Pour un nouveau Parti socialiste »Les partisans d'un nouveau Parti socialiste autour des députés Arnaud Montebourg, Julien Dray et du porte-parole du PS Vincent Peillon ont organisé une journée de réflexion à la Sorbonne visant à lancer le débat du congrès de Dijon en mai 2003. 26 octobre 2002
Un nouveau Parti socialiste« Le Parti socialiste doit se réformer lui-même, afin de rendre crédible sa volonté de transformer demain la société. » Point de vue signé Julien Dray, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon. Paru dans le quotidien Libération 9 octobre 2002
Le 21 avril, et après ?« L'avenir ne pourra s'enfanter dans les synthèses molles et les équilibres d'opportunité, le neuf ne sera pas seulement la reconduction et le réarrangement de l'ancien. » Point de vue paru dans les pages " Horizons " du quotidien Le Monde 30 août 2002
Un nouvel internationalisme s'est ébauché à Gênes« De Gênes, il doit rester l'essentiel, à savoir l'émergence définitive auprès de l'opinion publique internationale de cette question politique majeure à laquelle les réponses manquent : quel monde voulons-nous, et comment allons-nous le faire ? » Point de vue paru dans le quotidien Le Monde 10 août 2001
Congrès de GrenobleRapport de la commission des résolutions. 26 novembre 2000
Jean Jaurès et la religion du socialisme« Sa force, c'est d'unir la nature et l'esprit, le temporel et le spirituel, l'âme et le corps, le philosophe et l'homme ordinaire. » Agrégé de l'Université et docteur en philosophie, Vincent Peillon publie un essai, Jean Jaurès et la religion du socialisme, afin de raviver une pensée restée trop méconnue. Interview accordée à L'Hebdo des socialistes 26 mai 2000
Ni pause, ni tournant« Depuis trois ans, le gouvernement de la Gauche plurielle a su mettre en œuvre des politiques volontaristes qui ont permis à nos concitoyens et à nos concitoyennes de retrouver la confiance et d'espérer à nouveau en leur avenir. » Éditorial à L'Hebdo des socialistes 28 avril 2000
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