Sénateur du Nord
 Président de la Communauté urbaine de Lille
 Président de la Fondation Jean-Jaurès

Pierre
Mauroy



 

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 Redéfinir une ligne stratégique
« Je n'admets pas que l'on ne respecte pas les règles du parti, surtout quand on y exerce des responsabilités. Le conseil national qui se réunit samedi devra éclaircir la situation et préparer un congrès national pour confirmer la ligne de Dijon. ».

Entretien paru dans le quotidien Le Figaro
31 mai 2005

 L'Europe, c'est presque une cause sacrée
« L'Europe fait partie intégrante de notre histoire, il faut avancer et ne surtout pas reculer. Si c'était le cas, je regretterais le souffle qui nous a animés depuis les années 50. ».

Entretien paru dans le quotidien Le Figaro
23 avril 2005

 La thèse de la crise salutaire, c'est une mystification !
« Laurent Fabius est aujourd'hui à la croisée des chemins entre ses convictions et son ambition. ».

Entretien paru dans le quotidien Libération
2 novembre 2004

 Attention au dérapage !
« Mon identité socialiste est inséparable de mon identité européenne. Et j'affirme que l'Europe est inséparable de l'identité des socialistes et, au-delà, de celle des Français. ».

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
9 octobre 2004

 Europe : pour un oui socialiste
« L'Europe avance par compromis ; elle ne peut être un projet abouti. Et la Constitution n'est qu'une étape. C'est pourquoi nous sommes favorables à ce point du débat à un oui socialiste au traité européen. »

Tribune parue dans le journal Libération
25 août 2004

 Le Sénat n'est pas capable de se réformer
« Vous tournez ainsi le dos aux grandes mutations de la population française. Vous vous complaisez dans la nostalgie d’une France ancienne, alors que notre destin, s’il ne doit pas oublier les communes et la ruralité, s’inscrit principalement dans les grandes zones urbaines qui accompagnent le mouvement industriel et le développement économique. ».

Tribune du Sénat
12 juin 2003

 Nous revenons de loin
« Je n'avais jamais vu des socialistes aussi déboussolés qu'après notre échec du 21 avril. Nous avons enfin surmonté ce mauvais passage. Il faudra encore attendre que nos alliés verts et communistes se soient remis de leurs émotions pour envisager l'alternance. ».

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
16 mai 2003

 Pourquoi un nouveau Parti socialiste ?
« Pourquoi un nouveau Parti socialiste ? On ne va pas refaire un congrès d'Epinay ! C'est une attitude qui est dans l'excès et ce n'est pas dans cette voie que doivent se diriger les militants. Nous n'avons pas à tout jeter, ce serait le plus sûr moyen de ne pas honorer tout ce que nous avons fait collectivement. »

Entretien accordé au quotidien La Depêche du Midi
29 avril 2003

 Le PS néglige son héritage socialiste
« La tentation de tout bouleverser, de tout brûler, exprimée par Montebourg et d'autres, aurait pour conséquence la rupture avec la conscience universelle socialiste. ».

Entretien paru dans le quotidien Libération
24 février 2003

  Quel Parti socialiste pour demain ?
« Il est évident que les échecs électoraux conduisent à des interrogations et à des remises en question. Chacun le sait, le Parti socialiste est un parti de débat. Il n’est donc pas anormal que cette règle - d’ailleurs déjà éprouvée et surmontée dans le passé - s’impose de nouveau à lui, depuis la défaite du 21 avril. »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
28 novembre 2002

 Socialistes de toute l'Europe, unissez-vous !
« Au XXIe siècle, être socialiste, c'est penser que le monde est notre village, et non que le village est notre monde. La République ne prend tout son sens que dans un horizon qui la dépasse. »
Point de vue de Laurent Fabius, Pierre Mauroy et Michel Rocard.

Paru dans le quotidien Le Monde
29 octobre 2002

 La fausse campagne
« « Mon adversaire, ce n'est pas la gauche, c'est la cohabitation. » La formule du premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, résume la stratégie de la droite pour les élections législatives. Elle mérite d'être méditée. Car, en réalité, elle est l'illustration de cette fausse campagne, de ces fausses affirmations et de ces faux arguments que l'on essaie de placer au cœur du débat public. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
6 juin 2002

 Contribution des fédérations du Nord et du Pas-de-Calais au Congrès de Grenoble
« Nous vivons depuis 20 ans des bouleversements de grande ampleur. Le capitalisme de la fin de 19e siècle et de la plus grande partie du 20e siècle s'est essentiellement construit à partir des grandes entreprises industrielles où l'armement, particulièrement en Europe, a une grande part. Ces entreprises sont fascinées par le gigantisme, la volonté de faire croître sans limite leur taille de manière à développer une production de masse. »

octobre 2000

 États Généraux du Parti socialiste à Lyon
« L'Internationale Socialiste tisse patiemment sa toile. Elle a accompli un progrès remarquable avec la constitution en Europe du parti des socialistes européen qu'anime Willy Claes. Nous muliplions nos efforts pour améliorer grandement notre organisation en Amérique latine et en Afrique et pour assurer notre percée en Asie. »

3 juillet 1993

 Congrès de Rennes : discours de clôture
« La presse s'est faite l'écho de nos débats. La tempête a parfois soufflé dans nos rangs. La passion n'a jamais été absente. Et il n'y a à cela rien à redire. Cela prouvait au moins que notre Congrès suscitait attente et écho. »

18 mars 1990

 Congrès de Rennes
« Définir un nouveau socialisme, adapter nos idées et notre démarche au goût du jour, voilà un thème de débat aussi vieux que notre parti. Tout au long du siècle, que de fois nos congrès ont-ils résonné des querelles entre anciens et modernes, entre " archaïques et néos ".... »

16 mars 1990

 Changer le monde, changer la vie
« Pour les jeunes générations, le pouvoir, c'est nous ! Nous qui avons acquis ce que l'on a appelé une " culture de gouvernement ". Mais nous qui savons aussi que, si beaucoup a été fait, tant de choses restent à faire. Et nous qui devons, plus que jamais, conserver la volonté de changement, l'esprit de réforme, la révolte contre l'injustice qui constituent l'essence même du socialisme. »

29 janvier 1990

 Congrès de l'Internationale socialiste à Stockholm
« Progrès du désarmement, progrès de la détente et peut être progrès de la paix. Qui pourrait aujourd'hui en nier le constat ? D'autres époques cependant ont connu ce même espoir. D'autres générations ont comme nous vu s'entrouvrir les chemins de la paix. On sait quels démentis l'histoire leur a parfois infligés. La désillusion souvent, la tragédie quelquefois, ont suivi de près l'embellie espérée. »

20 juin 1989

 Construire l'eurogauche
« L'alliance entre socialistes et communistes, base du rassemblement de l'ensemble des forces de gauche, ne s'est jamais limitée, dans l'esprit de ses initiateurs, à une simple addition de suffrages. Force est d'admettre que, pour autant, elle n'a jamais débouché sur un véritable projet commun. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
31 mars 1989

 Déclaration de politique générale
« Le 10 mai François Mitterrand avait rendez-vous avec l'Histoire. La gauche avait, de nouveau, rendez-vous avec la République. La France et la gauche marchent désormais d'un même pas. L'élection du premier Président socialiste de la Vème République ouvre la voie du renouveau. »

8 juillet 1981

 Congrès d'Épinay de 1971
« Enfin le Congrès de l'unité socialiste ! Nous l'attendions avec espoir depuis des années. Et c'était bien là une des conditions à remplir pour mettre de notre côté tous les atouts et toutes les chances du socialisme en France. Ce mouvement des socialistes vers l'unité, c'est d'abord une victoire des socialistes sur eux-mêmes, avant de connaître le succès sur l'adversaire. »

13 juin 1971

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