Député de Seine-Maritime
 Adjoint au Maire de Grand-Quevilly (26 710 habitants)
 Ancien ministre de l'économie, des finances (mars 2000 - mai 2002)

Laurent
Fabius



 

58 documents disponibles

 Un autre avenir est possible
« Stop ou encore au libéralisme, voilà le sens de l'élection de 2007 et du vote militant les 16 et 23 novembre prochains. Des millions de femmes et d'hommes, en France, en Europe et dans le monde, subissent la précarité. Ils veulent trouver une issue pacifique et efficace. Cette issue s'appelle le socialisme. »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

9 novembre 2006

 Je revendique une gauche décomplexée
« Plutôt que de chercher à développer un contre-projet au moyen d’un concours Lépine des idées choc, parfois peu réalistes, parfois inefficaces, pour moi l’idée la plus nouvelle, c’est d’appliquer le projet socialiste qui seul peut rassembler la gauche, rassemblement qui conditionne la victoire. »

Entretien paru dans le quotidien Lyon Capitale
31 octobre 2006

 Propositions pour l'éducation et les questions de société
« La marchandisation libérale creuse les inégalités et fabrique de l'insécurité sociale. La droite s'accommode de cette société du chacun pour soi. Pas nous. C'est le sens de ma candidature. »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

29 octobre 2006

 Candidat du projet socialiste pour faire gagner la gauche
« Ne courons pas après Sarkozy, qui lui-même court après Le Pen. Ne faisons pas le jeu des extrêmes en tenant un discours ambigu sur des sujets aussi décisifs que la carte scolaire, le regroupement familial ou la prévention de la délinquance. Si nos électeurs ne voient pas distinctement la différence entre gauche et droite, ils risquent de ne pas être au rendez-vous de 2007. »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

10 octobre 2006

 Pour répondre au désarroi, il faudra parler précis
« Ma candidature est totalement en ligne avec le projet socialiste, que c'est non seulement comme on l'a défini d'une façon trop courte, une candidature du pouvoir d'achat, mais la candidature d'un homme qui veut défendre et améliorer le pouvoir d'achat et préparer le futur de la France. »
 Intervention lors du Conseil national du Parti socialiste

7 octobre 2006

 Mes 7 engagements pour 2007
« Je propose aujourd'hui 7 engagements concrets et d'application immédiate au lendemain de l'alternance pour que chaque Française, chaque Français sache dès maintenant quels seront les changements précis apportés par une victoire présidentielle de la gauche. »

22 août 2006

 Les trois piliers de l'espérance
« Notre succès est indispensable pour redonner à la France ce qui lui manque le plus, une espérance. A condition de nous appuyer sur trois piliers, les trois piliers de l'espérance : La volonté, le rassemblement et un projet socialiste de vrai changement. »
 Intervention à la tribune du congrès du Mans

19 novembre 2005

 Rassembler à gauche
« Si on veut battre la droite, il faut rassembler la gauche. Si on veut rassembler la gauche, il faut choisir une ligne de gauche. »
 Intervention lors du Conseil national.

17 septembre 2005

 Il serait irresponsable de baisser l'impôt
« Le choix lors du congrès du Mans sera entre ceux qui sont plus ou moins résignés à une approche néolibérale et ceux qui pensent qu'un vrai changement est nécessaire et encore possible. »

Entretien accordé au journal Le Monde
16 septembre 2005

 Agir à gauche
« Il y a urgence. En cet été 2005, la France est en panne, la France est en crise. Les signes de cette panne et de cette crise sont évidents. La croissance est en berne, le social se précarise, beaucoup de nos concitoyens ne croient plus à nos institutions ni même au progrès, l'idéologie du rejet triomphe. »
 Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005

 Être à la hauteur de l'attente des Français
« Plutôt que de nous séparer sur le oui ou le non, désormais tranché par le suffrage universel, il serait préférable à mon sens d'essayer de nous rassembler sur des propositions d'avenir correspondant aux souhaits de nos électeurs. »
 Intervention lors du Conseil national.

4 juin 2005

 Il y a un plan C de la droite pour l'après-oui
« J'ai recensé une première liste de mesures retardées qui ressortiront dès après le 29 mai si le oui l'emporte. »

Entretien accordé au journal Le Monde
22 mai 2005

 La mauvaise Europe de Chirac
« En ce début mai, voilà dix ans que Jacques Chirac est à l'Elysée. Que restera t'il de cette longue période ? Malheureusement, le sentiment pour la France d'un avenir en panne. »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
5 mai 2005

 L'ambition de peser dans le monde
« Homme de gauche, je suis un fervent partisan de l'Europe, notamment parce que j'ai toujours pensé que la solidarité vaut mieux que le laisser-faire et que le repli sur soi. Mais, précisément parce que j'espère en l'Europe, je suis un Européen exigeant. »

Tribune parue dans le journal Le Figaro
7 mars 2005

 Ce n'est pas un mystère. Je voterai non
« Quelle Europe veut-on ? Approuve-t-on l'orientation libérale actuelle, ou souhaite-t-on une Europe différente, plus active et plus sociale ? »

Entretien accordé au journal Le Parisien
14 février 2005

 Euro cher : il faut réagir !
« L'euro - aujourd'hui à plus de 1,3 dollar - est devenu une monnaie chère, très chère. Par rapport au dollar, il a gagné près de 60 % en quatre ans. Il est aussi au plus haut contre les monnaies asiatiques, devenues des acteurs majeurs de l'échange international. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
4 février 2005

 Traité constitutionnel : Je ne regrette rien
« Je ne veux pas donner le sentiment de revenir par la bande sur le débat précédent, je pencherai donc plutôt pour l’abstention. Pas question d’approuver un tel trompe-l’œil. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
20 janvier 2005

 Je demande une Constitution qui laisse l'avenir ouvert
« Je ne crois pas que nous soyons les seuls à défendre le " non ", je crois plutôt que nous sommes les premiers. Comme nous l'avons été, nous socialistes français, quand il s'est agi de nous opposer à la nomination du commissaire italien Buttiglione, ou comme la France a pris position contre la guerre en Irak. Il est des circonstances, rares mais justifiées, où il faut dire " non ". »

Entretien accordé au journal Le Monde
30 novembre 2004

 Pourquoi il faut dire non à la Constitution européenne
Le premier secrétaire du PS, dix jours avant le référendum interne, commente les douze principaux articles du traité.

Entretien accordé au journal Libération
23 novembre 2004

 Mes dix raisons de dire non
« L'enjeu est de savoir si cette Constitution va permettre demain une Europe puissante et solidaire. La réponse est malheureusement négative. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
15 novembre 2004

 Venant d'un européen incontestable, ma position sur la Constitution a levé un tabou
« Si l'on considère en effet cette question de la Constitution européenne comme une affaire de conscience, alors le vote est libre, mais il ne fallait pas organiser un référendum interne. Si on estime, au contraire, que c'est un choix politique, même difficile, alors ses résultats doivent s'imposer à tous, et d'abord aux responsables. »

Entretien accordé au journal Le Monde
13 octobre 2004

 Ce texte ne répond pas aux défis de l'avenir
« Notre discussion sur la Constitution Européenne, nous devons la mener dans le respect mutuel, en évitant les excès, les confusions et les questions de personnes. »
 Intervention lors du conseil national du parti socialiste.

9 octobre 2004

 Traité constitutionnel : Si le non l'emporte...
« Le rôle d’un responsable politique, ce n’est pas toujours de suivre le courant dominant, c’est aussi de faire écho aux préoccupations du quotidien, des ouvriers, des employés, des cadres, des entrepreneurs, des créateurs, de réfléchir aux conséquences à long terme, à dix ou vingt ans, de poser les problèmes de fond. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
16 septembre 2004

 Si on commence à personnaliser les choses, on est fichu
« La question prioritaire en Europe est celle de l'emploi et des délocalisations. En regardant de très près ce traité, je n'y trouve pas ce qui permettrait de changer de politique sur ces deux points. En l'état, évidemment, je ne peux donc pas approuver ce traité. Ma pente naturelle est donc de voter contre. »

Grand jury RTL - Le Monde - LCI
12 septembre 2004

 Il n'est pas trop tard pour agir. Sinon...
« Je pose une condition au chef de l'Etat : Agissez vraiment pour l'emploi en Europe et contre les délocalisations. Jacques Chirac doit le faire lors des décisions précises qui vont intervenir dans les mois qui viennent : sur la réforme du pacte de stabilité, sur le budget de l'Union européenne, sur le service public. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
10 septembre 2004

 La France flotte
« Le changement de gouvernement devrait s'accompagner d'une politique économique nouvelle visant à muscler durablement nos entreprises, redonner du pouvoir d'achat et rétablir les finances publiques. Cela signifie renoncer aux cadeaux fiscaux envers les plus aisés, augmenter dès septembre l'allocation de rentrée scolaire, retenir comme priorités trois secteurs : la recherche, l'éducation et le logement. On n'en prend pas le chemin. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
26 août 2004

 Le président peine à affirmer son autorité
« La France ne va pas passer trois ans à compter les points entre Chirac et Sarkozy. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
15 juillet 2004

 Priorité à la culture
« J'irai à l'essentiel, quitte à être brutal : la culture n'est malheureusement plus au cœur des préoccupations politiques. Fière d'avoir inventé l'exception culturelle, la France se contente aujourd'hui souvent d'en gérer les acquis sans se soucier d'en actualiser ni les contenus ni les modalités d'application. »

Tribune parue dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
8 juillet 2004

 Les Français sont désenchantés
« Pour réformer la Sécurité sociale il aurait fallu une réforme de fond, or c'est le contraire qu'on nous présente : un replâtrage à la fois injuste et inquiétant. Injuste, car ce sont surtout les assurés sociaux qui vont payer (...). Inquiétant aussi, parce que le paiement des déficits et des dettes est renvoyé sur les générations futures. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
21 mai 2004

 L'Europe a besoin de la gauche
« L'UE de demain doit être un modèle en matière de social, d'environnement et de démocratie. »

7 mai 2004

 Chirac : Un expert dans l'art de l'amnésie
« Il y a chez Jacques Chirac une sorte de dédoublement de responsabilité, comme s'il venait d'arriver au pouvoir. Or cela fait des années qu'il est là : c'est lui qui porte la responsabilité essentielle de la situation actuelle. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
2 avril 2004

 Réconcilier les deux France
« Les multiples contacts que je noue à l'occasion de ces élections me le confirment : le gouvernement sous-estime gravement la désespérance qui affecte la société française. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
12 mars 2004

 L'humain, le cœur de l'emploi
« La tentative d'aggraver encore la précarité par la généralisation d'un contrat long à durée déterminée me paraîtrait à la fois une erreur économique et une faute sociale. »

Tribune parue dans le journal Libération
2 février 2004

 Marquer un coup d'arrêt à la politique gouvernemental
« Compte tenu du poids qu'ont les départements et les régions dans la vie quotidienne des Français, ce sont les résultats de ces élections qui détermineront très largement la suite. »
Convention nationale de ratification des listes aux régionales de 2004

13 décembre 2003

 La laïcité en actes
« Je mets en garde contre tout pacte, fût-il implicite, entre une partie de la droite et certaines mouvances religieuses : " Vous nous soutenez politiquement, nous vous légitimons symboliquement.  La République, ce ne peut pas être cela ! »

Tribune parue dans le journal Le Monde
25 novembre 2003

 Les dirigeants actuels préparent peu l'avenir
« Je reste attaché au rassemblement de la gauche et de tous les progressistes. A nos partenaires, nous devons proposer un contrat global comportant des règles précises qui donnent à chacun des droits en contrepartie de devoirs clairs, comme la solidarité gouvernementale ou l'engagement de long terme. »

Entretien accordé au journal Le Monde
29 août 2003

 Nous n'avons pas de préféré syndical
« Le gouvernement a été imprévoyant. Il a promis et dépensé sans compter. A la clé se profilent des difficultés, et le risque que les générations futures paient rudement l'addition des déficits budgétaires et sociaux que creuse l'équipe Raffarin. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
11 juillet 2003

 Dialoguons davantage avec les Américains
Le no 2 du PS, qui revient des Etats-Unis, critique les postures de Jacques Chirac à propos de l'Irak. Et marque sa différence de vision géopolitique, alors qu'il se positionne en vue de la présidentielle de 2007.

Entretien paru dans l'hebdomadaire L'Express
3 juillet 2003

 L'étrange mansuétude
« Devant cette vague massive de répression, je veux, avec beaucoup d’autres,dire mon indignation et ma colère. Fidel Castro est tout simplement un dictateur. »

Tribune parue dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
19 juin 2003

 Pour une social-écologie
« Environnement et société ne sont pas cloisonnés. L'écologie doit devenir centrale dans la définition des politiques du Parti socialiste. »

Tribune parue dans le journal Libération
18 juin 2003

 Le principe émancipateur et unificateur de la laïcité
« Le congrès de Dijon nous fixe pour les trois années qui viennent trois grandes tâches : nous opposer fermement à la politique du gouvernement, renforcer le Parti socialiste et la gauche, définir plus clairement nos valeurs et notre projet. »

Congrès de Dijon
17 mai 2003

 Irak : premières leçons
« Un embrasement général reste malheureusement possible. Nous devons comprendre et montrer que la solidarité est l'autre nom de la paix. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
29 mars 2003

 Un socialisme pour notre temps
« Notre congrès de Dijon approche. Nous devons reconstruire ensemble une espérance pour la gauche afin de préparer l'alternance pour la France. Dijon doit marquer une étape forte en ce sens. La présente contribution thématique vient en appui de la démarche générale engagée par François Hollande. »
 Contribution thématique présentée au Congrès de Dijon.

janvier 2003

 L'offensive avant la reconquête
Laurent Fabius sonne la rentrée de la gauche dans un entretien à Libération. L'ancien ministre des Finances appelle son camp à « l'offensive » pour combattre une droite « dogmatique ». Après huit mois de coma postdéfaite, il est temps que le PS cesse d'être « morbide » et se « tourne vers l'avenir ».

Entretien paru dans le journal Libération
03 janvier 2003

 Intégration : il faut aller plus loin
« Oui, la droite a changé son discours sur les immigrés. Mais les mesures politiques adoptées restent frileuses. »

Tribune parue dans le journal Libération
22 novembre 2002

 UMP, une addition d'immobilisme et de libéralisme
« L’approche des congrès de plusieurs partis de gauche, nos propres débats ne doivent pas nous conduire à nous replier sur nous-même et à négliger notre rôle d’opposants ; au contraire, nous devons être très offensifs envers la droite et sa politique, qui conduit à un recul économique et social, sans amélioration réelle et durable de la sécurité. »

Entretien paru dans L'hebdo des socialistes
22 novembre 2002

 Socialistes de toute l'Europe, unissez-vous !
« Au XXIe siècle, être socialiste, c'est penser que le monde est notre village, et non que le village est notre monde. La République ne prend tout son sens que dans un horizon qui la dépasse. »
Point de vue de Laurent Fabius, Pierre Mauroy et Michel Rocard

Paru dans le quotidien Le Monde
29 octobre 2002

 Redonner une perspective à l'Europe
« Dans trois mois, la décision majeure d'élargir l'Union européenne à vingt-cinq pays devrait, sauf accident, être prise. Qui en a entendu parler en France ? Peu de monde. Qui a eu l'occasion d'en discuter ? Pas davantage. La méthode européenne montre ses lacunes. »

Tribune parue dans le journal Le Figaro
10 octobre 2002

 Les nouveaux marqueurs de la gauche
« La gauche a souffert de trop limiter le champ du politique à l'économique et au social. L'écologique et le culturel doivent se situer au cœur de notre vision politique. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
29 août 2002

 Premières décisions, premières déceptions
L'ancien Premier ministre réagit à la déclaration de politique générale de M. Raffarin.

Tribune parue dans le journal Libération
4 juillet 2002

 Le 1er mai du sursaut
« Certains élus - dont je suis - ont décidé d'appeler également la population à se réunir autour de leur mairie, devant le monument aux morts, sur une place de leur ville ou de leur village, pour dire avec des mots simples, ceux qu'on utilise chaque jour, aux associations, aux citoyens ainsi rassemblés, quels que soient leur âge, leur confession, de gauche, de droite ou sans parti : « Attention, il y a danger, nous devons protéger notre démocratie ; c'est le 1er Mai du sursaut. » »

Tribune parue dans le journal Le Monde
29 avril 2002

 Baisser les impôts pour préparer l'avenir
« Le ralentissement économique doit-il nous conduire à bouleverser notre stratégie fiscale ? Ma réponse est claire : non. Au moment où la conjoncture ralentit, les baisses d'impôts visent à encourager l'investissement des entreprises et la consommation des ménages, ces deux moteurs de la croissance. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
28 août 2001

 Le temps des projets
« Dans moins d'un an, l'élection présidentielle. On ne comprendrait pas certains épisodes de la vie politique actuelle si on négligeait ce calendrier. Je voudrais me situer ici sur un autre terrain, celui du contenu. Et essayer de répondre à la question centrale qui devrait, tôt ou tard, mobiliser notre pays: quel projet pour la France des années 2002-2007 ? »

Tribune parue dans le journal Le Monde
1er juin 2001

 La politique économique de l'emploi
« L'équilibre des finances, une politique monétaire adaptée et l'appréciation de l'euro fournissent le cadre d'une croissance sans inflation, la «stabcroissance». »

Tribune parue dans le journal Libération
16 octobre 2000

 De la nécessité de la stabcroissance
« A la stagnation du passé doit en effet durablement succéder ce que j'appelle la stabcroissance, c'est-à-dire une croissance continue de la richesse produite, accompagnée de la stabilité des prix. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
25 août 2000

 Le nouvel âge de l'État
« Un siècle commence. La France se transforme. Le besoin d'État se maintient. Les formes de son action changent. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
23 février 2000

 Pour un quinquennat de cohérence
« Tant que la durée du mandat présidentiel différera de celle du mandat législatif, la cohabitation sera à peu près inévitable. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
28 juillet 1999

 Delors a un devoir impérieux de candidature
Quand les socialistes devront-ils désigner leur candidat ? Pourquoi Balladur est-il aussi populaire ? La justice est-elle allée trop loin dans l'affaire du sang contaminé ? Fabius répond.

Entretien accordé au Nouvel Observateur
1er septembre 1994

 Le premier ministre-candidat
« Et si, en ce début d'année, on commençait à lever le voile ? Je parle ici du voile qui enveloppe la popularité de l'actuel premier ministre. Au cours des dernières semaines, j'ai lu beaucoup d'analyses à ce sujet : l'extrême habileté de la tactique balladurienne est décrite avec minutie, les raisons du rejet socialiste sont passées au scanner, ces éléments pèsent évidemment leur poids. Mais cette popularité, étonnante en effet si on la compare avec la réalité du bilan économique et social, s'explique aussi par deux données moins soulignées. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
6 janvier 1994

 Pour la semaine de quatre jours
« Le chômage est la plaie de centaines de milliers de Français. Le chômage est aussi notre responsabilité, à nous, décideurs politiques, économiques, sociaux, à nous tous, citoyens. Nous avons cru faire de notre mieux, mais nous n'avons pas compris assez vite et nous n'avons pas réagi assez fort. Nous n'avons pas admis à temps qu'il fallait réviser ou remiser les thérapies classiques. Et inventer. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
13 février 1993

 La nouvelle chance
« Nous sommes dans une société hyper-médiatique et nous n'en avons pas pris la mesure. Mûrie peu à peu par l'histoire, nous constatons que la démocratie représentative s'étiole ; que le Parlement est dans la main du gouvernement ; que les syndicats rencontrent de sérieuses difficultés ; que les partis sont parfois repliés sur eux-mêmes, accessibles surtout à qui connait les détours du sérail et sait utiliser les mots de la tribu. Et nous cherchons - d'ailleurs avec raison - à redonner vigueur à ces structures parce qu'elles sont des piliers de la démocratie. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
1er février 1987

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