Député de la 20e circonscription de Paris

Jean-Christophe
Cambadélis



 

22 documents disponibles

 Le moment social-démocrate
« La nouvelle social-démocratie est une alternative à la nostalgie qui nie l'évolution du monde et s'enferme dans un " tout est possible " désespéré pour tenter de sauver un territoire électoral en perdition. Les Français sont disponibles pour accueillir un ensemble de réponses efficaces et ambitieuses alternatives au populisme et à la démagogie. »

Tribune parue dans le quotidien Le Monde
13 octobre 2006

 Le Parti socialiste est de retour
« Maintenant que se sont dissipés les miasmes de la division, maintenant que les socialistes ont une orientation, un cap, que dis-je, une colonne vertébrale, de toute façon, quelles qu'en soient les formes, l'union est en marche, l'union est au rendez-vous du Mans, elle changera le PS, elle transformera la gauche. »
 Intervention à la tribune du congrès du Mans

19 novembre 2005

 PS, les données du problème
« L'objet du congrès du PS ne réside pas en une mise en adéquation entre l'opinion de gauche et le Parti socialiste mais à lui offrir une solution dans la mondialisation. Le PS sera-t-il capable de bâtir, comme le proposent Hollande, DSK et leurs amis, un chemin pour la gauche qui fasse obstacle à ce que fait la droite sans reproduire ce que fit la gauche ? Une gauche capable de rénover le modèle, pour le garder comme modèle ».

Tribune parue dans le quotidien Libération
20 septembre 2005

 La France a besoin d'une alternative, la gauche aussi
« Pour organiser l'alternative à la droite, il faut un PS solide, ancré à gauche, combatif contre la droite et imaginatif dans ses projets. Cet objectif induit une majorité stable, cohérente et amicale. ».

Entretien paru dans le quotidien Libération
26 août 2005

 Proposition des femmes pour le projet socialiste
« Cette contribution, loin d'être une revendication catégorielle, sert l'intérêt général. Le parti socialiste a tout à gagner à porter ce combat. Mais cela commence par un effort sur lui-même d'exemplarité en matière d'égalité femmes/hommes. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005

 Les raisons d'un tsunami
« Dire que le PS doit abdiquer son réformisme pour pratiquer une union de circonstances, c’est provoquer la défiance du camp de la réforme et la méfiance du camp de la contestation. »

30 mai 2005

 La gauche plurielle ne renaîtra jamais
« La cohérence de la gauche plurielle, c'était Lionel Jospin. Aujourd'hui, il faut que chaque organisation élabore son projet car il est très difficile d'unir des postures. »

Entretien accordé au journal Le Figaro
17 février 2005

 Le trouble tient à la réactivité du " non " et à la placidité du " oui " socialiste
« Il y a eu un débat sur le traité constitutionnel. Il fut vif, argumenté, charpenté. Mais il a été massivement tranché. Non pas sur la question du premier secrétaire, mais sur le traité et en sa faveur. »

Tribune parue dans le quotidien Le Monde
10 février 2005

 Traité constitutionnel : Plaider oui ! Penser long !
« Traité il y a, traité il y aura. Quant à l’argument selon lequel il sera désormais difficile à changer avec l’arrivée des nouveaux Etats membres, voilà un aveu bien cruel pour ceux qui veulent retoquer le dit traité. Ils nous indiquent par là même qu’un nouveau traité constitutionnel serait bien difficile à bâtir avec les nouveaux entrants. Tel est pris qui croyait prendre... »
Intervention devant « l'assemblée pour le oui au traité de Bruxelles du Calvados ».

14 octobre 2004

 Mieux vaut ne pas trop chauffer Jospin
« Si, au premier jour du débat, un garçon aussi pondéré, un ancien ministre aussi admiratif naguère de Lionel Jospin que Claude Bartolone en est déjà à dévaluer la parole de l'ancien Premier ministre sous prétexte qu'il pourrait s'exprimer dans le débat socialiste, cela en dit long sur le dérapage en cours. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
16 septembre 2004

 UE : le piège du référendum
« Au lieu de participer à la confusion autour du mode de ratification du traité constitutionnel, les partis de gauche devraient travailler à un programme commun européen et social ».

Tribune parue dans le quotidien Libération
27 avril 2004

 La gauche doit s'unir
« Il peut exister un 21 avril régional. Personne ne veut réfléchir au fait que le Front national, confronté à l'échec de la droite et à la division de la gauche, peut se trouver en bonne posture, et donc poser d'énormes problèmes aux partis républicains. Il faut tout faire pour éviter cette situation. Pour ce qui est de la gauche, s'unir pour être en tête est la meilleure garantie que nous ne revivrons pas un nouveau 21 avril. »

Entretien accordé au quotidien Le Parisien
20 octobre 2003

 Disputer les quartiers populaires au Front national
« Les couches populaires ressemblent plus à l'environnement de « Sweet sixteen » de Ken Loach qu'à la « Bête humaine » avec Gabin. Pour disputer les banlieues au Front national, il vaut mieux le savoir. La misère a malheureusement aussi sa modernité. »
Contribution thématique au Congrès de Dijon de mai 2003.

18 janvier 2003

 Encore un effort, Olivier Besancenot
« La proposition du porte-parole de la LCR laisse rêveur : on doit s'interroger sur les raisons de ses avances ».

Tribune parue dans le quotidien Libération
16 janvier 2003

 Il faut que les socialistes résistent à l'air du temps
Le député PS de Paris Jean-Christophe Cambadélis alerte les socialistes sur les risques d'un « coup de barre à gauche ».

Entretien paru dans le quotidien Libération
2 décembre 2002

 Les Congrès se gagnent lorsqu'on est authentique dans ses comportements et clair dans ses convictions
Intervention lors du Conseil national du Parti socialiste réuni à Paris.

19 octobre 2002

 Il faut rendre le réformisme majoritaire à gauche
« Ne sous-estimons pas la bataille qui est devant nous : la grande controverse entre réformisme et radicalité. Le réformisme de gauche a perdu du terrain. Il faut s'organiser pour le rendre majoritaire à gauche. »

Entretien paru dans le quotidien Libération
21 septembre 2002

 Pour un débat réussi
« La nécessité d'un débat approfondi pour comprendre la situation politique nouvelle fait l'unanimité chez les socialistes. C'est une bonne chose. Encore faut-il bien préciser ses enjeux et les conditions de sa réussite. »
Texte collectif de la sensibilité Socialisme et Démocratie en vue du congrès du PS à Dijon en 2003.
Socialisme et Démocratie est, notamment, animé par Dominique Strauss-Kahn, Jean-Christophe Cambadélis, Alain Richard et Pierre Moscovici.

juillet 2002

 Les habits neufs de la gauche plurielle
« Les Français ont le sentiment que les choix politiques qui sont faits sont le fruit d'une recherche permanente, par le gouvernement, d'un équilibre entre la reconnaissance des aspirations des citoyens et la nécessité de maîtriser les rythmes du changement. Encore fallait-il, pour que la gauche plurielle au pouvoir réussisse à concilier la fidélité aux engagements pris et le souci de l'intérêt du pays, que l'ensemble de ses composantes parviennent, sans fracture ni reniement, à mettre en œuvre dans la cohérence et la durée les réformes proposées. »

Tribune parue dans le quotidien Le Monde
7 novembre 2000

 Démocratie !
Contribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000

septembre 2000

 Les sept travaux du PS
« A quoi sert la gauche ? Comment faire émerger une nouvelle donne ? Pour répondre à ces questions légitimes, sept travaux attendent le Parti socialiste. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
21 octobre 1993

 La nouvelle gauche
« Les Français ont voté " oui " au terme d'une campagne longue et passionnée, qui a donné lieu à un débat approfondi. C'est le bon choix pour la France, qui sera plus forte au milieu des autres pays ; pour la Communauté, qui a besoin de l'union pour être pleinement une zone de paix et de prospérité ; pour l'Europe entière, qui doit y trouver un modèle d'organisation et de société ; pour le monde, enfin, car l'Union européenne sera un facteur d'équilibre dans les relations internationales. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
1er octobre 1992

 Initiative pour la confédération
« Mal accueillie lors des assises de Prague, l'idée de confédération présente aujourd'hui un intérêt nouveau. Les enseignements tirés de l'échec du putsch de Moscou et de la guerre en Yougoslavie semblent avoir conduit certains esprits sceptiques à reconsidérer leur attitude critique. Pour notre part, nous n'avons pas cessé de croire à l'utilité immédiate de la proposition de confédération face à la situation nouvelle de l'Europe continentale, depuis la chute du mur de Berlin. »

Tribune parue dans le quotidien Le Monde
25 décembre 1991

Page précédente Haut de page



PSinfo.net : retourner à l'accueil

[Les documents] [Les élections] [Les dossiers] [Les entretiens] [Rechercher] [Contacter] [Liens]