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Jean-Paul |
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![]() « La décentralisation est au cœur du débat public. Parce qu'elle est une source de rétablissement du lien entre des citoyens qui confirment leur confiance dans les élus locaux et un système de représentation démocratique dans lequel ils ne se reconnaissent plus. » ![]() juillet 2005 | |
![]() « Il s'agit de la première décentralisation spectaculaire dans les transports. Le gouvernement n'a pas intérêt à la voir échouer. (...) Or, si nous n'obtenons pas satisfaction, rien ne nous oblige à siéger. Et si nous ne siégeons pas, il n'y a plus d'organisation des transports en Ile-de-France. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Je ne vois pas bien les bases de refondation d'une hypothétique nouvelle Europe : comment se mettraient demain d'accord les Villiers, Le Pen, Krivine, Laguiller, Chevènement et nos amis Fabius, Emmanuelli, Montebourg, Mélenchon ? Ça, c'est pire que le pâté d'alouettes : c'est totalement indigeste ! La vérité, c'est qu'ils n'offrent aucune solution alternative. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « En disant oui à la Constitution, je ne crains pas de m'isoler. Quand on examinera le bilan de François Mitterrand et des gouvernements socialistes, on verra que la construction européenne a été une constante et une force. Mitterrand a eu du courage, nous devons en avoir, nous aussi. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Le chef de l'Etat lui a demandé de faire le contraire de la politique qu'il a menée pendant deux ans. Les ministres annoncent leurs mesures chacun dans leur coin. Le déficit budgétaire est colossal. Celui de l'assurance maladie également. Pour le Premier ministre, la situation semble intenable. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Nous allons commencer par donner un signe fort aux Franciliens en adoptant le plan pour l'emploi qui n'avait pu être débattu, il y a un an, en raison de l'opposition de la droite et de l'extrême droite. » Entretien accordé au journal Le Monde | |
![]() « On a gagné 10 points entre les deux tours. C’est du jamais vu en Ile-de-France. On est à plus de 50 % dans quatre départements (75, 93, 94, 91). Nous espérions 120 sièges maximum, on en aura 130. » Entretien accordé à 20 Minutes | |
![]() « L'Île-de-France reste fortement marquée à droite. Mais un changement est apparu : une partie de l'électorat qui se portait sur la droite habituellement nous a rejoints. Car nos propositions et le type de gestion que j'incarne étaient de nature à répondre à leurs préoccupations. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Je ne vois pas comment un certain nombre d'électeurs humanistes et démocrates, qui ont voté Santini au premier tour, pourraient voter Copé au regard du caractère brutal de sa campagne, de son arrogance et de la déclaration de guerre qu'il a lancée à Paris et aux départements de gauche. » Entretien accordé au journal Le Monde | |
![]() « Diriger la première région d'Europe, c'est avoir un programme cohérent, qui traite tous les aspects de la vie quotidienne des Franciliens. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Dans ce panorama troublé où les repères habituels s'effacent, le vote de mars prochain aura forcément une signification générale : soit celle d'une manifestation de refus si la gauche l'emporte, soit celle de l'accélération d'une révolution conservatrice si la droite gagne. » Point de vue paru dans le journal Le Monde | |
![]() « L'enjeu, c'est donc d'arrêter le train du malheur : celui de Raffarin, celui de Chirac, cela de Sarkozy, celui de Fillon, celui de Copé. Et nous n'aurons que cette occasion d'ici 2007. Il faut donc la saisir. » Convention nationale de ratification des listes aux régionales de 2004 13 décembre 2003 | |
![]() « Je vois deux raisons majeures à la décision des Verts. D'abord six années de travail ensemble dans le respect de l'identité de chacun et une certaine forme d'amitié ont pesé. Ensuite, nos propositions en termes de programme et d'équilibre politique au sein de notre liste ont été considérées comme sérieuses et responsables par les Verts. » Entretien accordé au journal Le Figaro | |
![]() « Depuis 1998, au nom de la gauche, je préside la Région. J'ai eu à me battre pied à pied face à la droite et l'extrême droite pour mener une politique volontaire (...). Cette politique commence à porter ses fruits. Il faut la poursuivre et l'amplifier. » 12 octobre 2003 | |
![]() « Des listes séparées sont dangereuses parce qu’elles diminuent la portée de notre bilan, elles l’annulent et qu’elles conduisent, quelle que soit la bonne volonté des uns ou des autres, à la confrontation, à l’invective, à la différenciation. » Intervention lors du Conseil national. 11 octobre 2003 | |
![]() « Je n'ai jamais joué mon camp contre un autre. Jamais je n'ai « joué politique ». Je travaille pour tous les Franciliens. J'espère donc que nous échapperons tous aux jeux politiciens. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Je suis déterminé à mener ce combat en votre nom. J'en mesure l'enjeu ; je sais combien ces élections compteront sur notre chemin de reconquête. » 15 septembre 2003 | |
![]() « Ce sont les 19 000 adhérents du PS qui vont, j'y compte bien, me faire confiance. Je n'ai pas le sentiment que, sur l'autre bord, qu'il s'agisse de la droite ou de l'extrême droite, le cursus soit aussi... démocratique. Marine Le Pen est désignée par son père. Et, à droite, on se livre une bataille florentine d'ambitions personnelles, alors qu'on attend une ambition pour les Franciliens. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
![]() « Face au morcellement et à l’enchevêtrement des compétences dont souffre notre pays, clarifier pour mieux coopérer est une priorité. C’est le sens de la démarche que la Région Ile-de-France met en œuvre pour les contrats particuliers qu’elle élabore et conclut avec les départements qui doivent, eux aussi, obtenir des compétences élargies. Toutes les collectivités doivent y gagner et c’est seulement ensemble que nous réussirons une décentralisation efficace. » 24 janvier 2003 | |
![]() « Demain, la décentralisation donnera de nouvelles compétences aux Régions. J’y suis favorable, pour me permettre de faire plus pour vous. (...) Ce que je ne veux pas, c’est voir augmenter vos impôts locaux pour financer les abandons de l’Etat. Je veux que l’argent qui vous est prélevé par l’Etat, vous revienne en transports collectifs, en lycées, en formation, en universités, en aides à l’emploi... » Point de vue paru dans un tract | |
![]() « Quelques mois nous séparent du congrès de Dijon et à peine plus d'un an des élections régionales. Ce temps est court. Il va s'écouler vite. D'ici là, il nous appartient donc de rechercher en priorité la voie de l'unité des socialistes et du rassemblement de toute la gauche. Le PS doit s'y préparer activement en relation étroite avec ses partenaires. » Contribution thématique présentée au Congrès de Dijon janvier 2003 | |
![]() « Décentralisateur ardent et de longue date, je me réjouis que le premier ministre donne à ce chantier un nouvel élan. Il en va de l'intérêt du pays, de l'efficacité de la puissance publique, de la qualité des services rendus à nos concitoyens et du contrôle démocratique de décisions qui organisent leur vie quotidienne. A condition que les façons ne trahissent pas les raisons. » Point de vue paru dans le quotidien Le Figaro | |
![]() « L'Etat central est trop dispersé et ne parvient pas à se réformer, prêtant ainsi de plus en plus le flanc à une remise en cause par la frange la plus libérale de notre société. Faute d'un second souffle, la décentralisation est en panne, mise en sommeil. » Contribution thématique présentée au Congrès de Grenoble novembre 2000 | |
![]() « La société évolue, le monde bouge, mais qu'en est-il de la place des femmes ? » ![]() septembre 2000 |
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