Président du conseil régional d'Île-de-France

Jean-Paul
Huchon



 

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 Pour un nouveau souffle de la décentralisation
« La décentralisation est au cœur du débat public. Parce qu'elle est une source de rétablissement du lien entre des citoyens qui confirment leur confiance dans les élus locaux et un système de représentation démocratique dans lequel ils ne se reconnaissent plus. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005) présentée par les présidents de Régions

juillet 2005

 La région va investir plus d'argent dans les transports
« Il s'agit de la première décentralisation spectaculaire dans les transports. Le gouvernement n'a pas intérêt à la voir échouer. (...) Or, si nous n'obtenons pas satisfaction, rien ne nous oblige à siéger. Et si nous ne siégeons pas, il n'y a plus d'organisation des transports en Ile-de-France. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
21 mars 2005

 Dire non, ça veut dire quoi ?
« Je ne vois pas bien les bases de refondation d'une hypothétique nouvelle Europe : comment se mettraient demain d'accord les Villiers, Le Pen, Krivine, Laguiller, Chevènement et nos amis Fabius, Emmanuelli, Montebourg, Mélenchon ? Ça, c'est pire que le pâté d'alouettes : c'est totalement indigeste ! La vérité, c'est qu'ils n'offrent aucune solution alternative. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
11 octobre 2004

 J'attends du PS qu'il soit européen
« En disant oui à la Constitution, je ne crains pas de m'isoler. Quand on examinera le bilan de François Mitterrand et des gouvernements socialistes, on verra que la construction européenne a été une constante et une force. Mitterrand a eu du courage, nous devons en avoir, nous aussi. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
24 juin 2004

 Le Premier ministre n'a plus d'autorité
« Le chef de l'Etat lui a demandé de faire le contraire de la politique qu'il a menée pendant deux ans. Les ministres annoncent leurs mesures chacun dans leur coin. Le déficit budgétaire est colossal. Celui de l'assurance maladie également. Pour le Premier ministre, la situation semble intenable. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
19 avril 2004

 52 millions d'euros seront consacrés aux zones en difficulté
« Nous allons commencer par donner un signe fort aux Franciliens en adoptant le plan pour l'emploi qui n'avait pu être débattu, il y a un an, en raison de l'opposition de la droite et de l'extrême droite. »

Entretien accordé au journal Le Monde
4 avril 2004

 Cent trente sièges, ça va nous faciliter la vie
« On a gagné 10 points entre les deux tours. C’est du jamais vu en Ile-de-France. On est à plus de 50 % dans quatre départements (75, 93, 94, 91). Nous espérions 120 sièges maximum, on en aura 130. »

Entretien accordé à 20 Minutes
30 mars 2004

 Maintenant, j'existe
« L'Île-de-France reste fortement marquée à droite. Mais un changement est apparu : une partie de l'électorat qui se portait sur la droite habituellement nous a rejoints. Car nos propositions et le type de gestion que j'incarne étaient de nature à répondre à leurs préoccupations. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
29 mars 2004

 Décidément, M. Copé est un sectaire et un diviseur
« Je ne vois pas comment un certain nombre d'électeurs humanistes et démocrates, qui ont voté Santini au premier tour, pourraient voter Copé au regard du caractère brutal de sa campagne, de son arrogance et de la déclaration de guerre qu'il a lancée à Paris et aux départements de gauche. »

Entretien accordé au journal Le Monde
25 mars 2004

 Le soutien de Jospin m'est précieux
« Diriger la première région d'Europe, c'est avoir un programme cohérent, qui traite tous les aspects de la vie quotidienne des Franciliens. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
17 mars 2004

 Pour une Ile-de-France plus humaine
« Dans ce panorama troublé où les repères habituels s'effacent, le vote de mars prochain aura forcément une signification générale : soit celle d'une manifestation de refus si la gauche l'emporte, soit celle de l'accélération d'une révolution conservatrice si la droite gagne. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
3 février 2004

 Nous devons faire du 21 mars un anti 21 avril
« L'enjeu, c'est donc d'arrêter le train du malheur : celui de Raffarin, celui de Chirac, cela de Sarkozy, celui de Fillon, celui de Copé. Et nous n'aurons que cette occasion d'ici 2007. Il faut donc la saisir. »
Convention nationale de ratification des listes aux régionales de 2004

13 décembre 2003

 Le scénario d'un 21 avril francilien s'éloigne
« Je vois deux raisons majeures à la décision des Verts. D'abord six années de travail ensemble dans le respect de l'identité de chacun et une certaine forme d'amitié ont pesé. Ensuite, nos propositions en termes de programme et d'équilibre politique au sein de notre liste ont été considérées comme sérieuses et responsables par les Verts. »

Entretien accordé au journal Le Figaro
1er décembre 2003

 Lettre aux Franciliens
« Depuis 1998, au nom de la gauche, je préside la Région. J'ai eu à me battre pied à pied face à la droite et l'extrême droite pour mener une politique volontaire (...). Cette politique commence à porter ses fruits. Il faut la poursuivre et l'amplifier. »

12 octobre 2003

 Rechercher toutes les voix de l'union
« Des listes séparées sont dangereuses parce qu’elles diminuent la portée de notre bilan, elles l’annulent et qu’elles conduisent, quelle que soit la bonne volonté des uns ou des autres, à la confrontation, à l’invective, à la différenciation. »
Intervention lors du Conseil national.

11 octobre 2003

 Copé a une vision archaïque
« Je n'ai jamais joué mon camp contre un autre. Jamais je n'ai « joué politique ». Je travaille pour tous les Franciliens. J'espère donc que nous échapperons tous aux jeux politiciens. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
24 septembre 2003

 Lettre adressée aux militants socialistes franciliens
« Je suis déterminé à mener ce combat en votre nom. J'en mesure l'enjeu ; je sais combien ces élections compteront sur notre chemin de reconquête. »

15 septembre 2003

 Je suis candidat...
« Ce sont les 19 000 adhérents du PS qui vont, j'y compte bien, me faire confiance. Je n'ai pas le sentiment que, sur l'autre bord, qu'il s'agisse de la droite ou de l'extrême droite, le cursus soit aussi... démocratique. Marine Le Pen est désignée par son père. Et, à droite, on se livre une bataille florentine d'ambitions personnelles, alors qu'on attend une ambition pour les Franciliens. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
15 septembre 2003

 Assises des libertés locales de l'Ile de France
« Face au morcellement et à l’enchevêtrement des compétences dont souffre notre pays, clarifier pour mieux coopérer est une priorité. C’est le sens de la démarche que la Région Ile-de-France met en œuvre pour les contrats particuliers qu’elle élabore et conclut avec les départements qui doivent, eux aussi, obtenir des compétences élargies. Toutes les collectivités doivent y gagner et c’est seulement ensemble que nous réussirons une décentralisation efficace. »

24 janvier 2003

 La Région a besoin de compétences nouvelles
« Demain, la décentralisation donnera de nouvelles compétences aux Régions. J’y suis favorable, pour me permettre de faire plus pour vous. (...) Ce que je ne veux pas, c’est voir augmenter vos impôts locaux pour financer les abandons de l’Etat. Je veux que l’argent qui vous est prélevé par l’Etat, vous revienne en transports collectifs, en lycées, en formation, en universités, en aides à l’emploi... »

Point de vue paru dans un tract
février 2003

 Gagner les élections régionales de 2004
« Quelques mois nous séparent du congrès de Dijon et à peine plus d'un an des élections régionales. Ce temps est court. Il va s'écouler vite. D'ici là, il nous appartient donc de rechercher en priorité la voie de l'unité des socialistes et du rassemblement de toute la gauche. Le PS doit s'y préparer activement en relation étroite avec ses partenaires. »
Contribution thématique présentée au Congrès de Dijon

janvier 2003

 L'équité financière vaudra épreuve de vérité
« Décentralisateur ardent et de longue date, je me réjouis que le premier ministre donne à ce chantier un nouvel élan. Il en va de l'intérêt du pays, de l'efficacité de la puissance publique, de la qualité des services rendus à nos concitoyens et du contrôle démocratique de décisions qui organisent leur vie quotidienne. A condition que les façons ne trahissent pas les raisons. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Figaro
4 octobre 2002

 Le nouveau pari de la décentralisation
« L'Etat central est trop dispersé et ne parvient pas à se réformer, prêtant ainsi de plus en plus le flanc à une remise en cause par la frange la plus libérale de notre société. Faute d'un second souffle, la décentralisation est en panne, mise en sommeil. »
Contribution thématique présentée au Congrès de Grenoble

novembre 2000

 Dialoguer, Diagnostiquer, Décider ensemble
« La société évolue, le monde bouge, mais qu'en est-il de la place des femmes ? »
 Contribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000.

septembre 2000

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