Député de l'Essonne
 Maire d'Évry (48 952 habitants)

Manuel
Valls



 

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 La responsabilité de François Hollande est engagée
« François Hollande porte une responsabilité particulière : s'il a eu le mérite de rassembler les socialistes après la défaite de 2002, il aurait dû ensuite tout faire pour que le PS se réarme idéologiquement. Or, plutôt que de trancher, il a préféré des synthèses molles. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
12 mai 2007

 Lionel Jospin candidat !
« Seuls compteraient le renouvellement des visages à gauche et la brutalité des postures à droite. Certes, les sondages fournissent toujours des indications utiles. De là à croire qu'ils expriment, dans la durée, une adhésion majoritaire à tel ou telle candidat ou candidate, il y a un risque majeur de passer à côté des vrais enjeux qui structureront le rendez-vous de 2007. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
29 juillet 2006

 Au PS de présenter des idées neuves
« Il y a peu de différences entre les socialistes. Mais le PS en reste trop aux déclarations de principe sur le projet. Sur les réformes et leurs financements, nous ne sommes pas assez au clair. »

Entretien accordé au quotidien gratuit 20 Minutes
18 novembre 2005

 Parler de scission est dangereux
« Parler de scission est dangereux et nous éloigne des débats essentiels : renouveler le logiciel du PS, mais aussi de la social-démocratie européenne, pour répondre à la crise de l'Europe, faire face à la mondialisation ou encore refonder la République. »

Entretien accordé au journal Le Figaro
20 août 2005

 Constitution européenne : Il n'y a pas de Non tranquille
« Si le non l'emportait alors que le PS prône le oui, le processus qui peut mener la gauche au pouvoir en 2007 serait profondément remis en cause. Les Français qui attendent une alternative à la politique actuelle ne nous le pardonneraient pas. »

Entretien paru dans Le Journal du Dimanche
20 mars 2005

 J'ai milité pour le " non ", je voterai " oui " au référendum
« Conscient de ma responsabilité, je ne ferai rien qui puisse amplifier la crise politique. Aujourd'hui, pour moi, voter " oui ", c'est refuser de prospérer sur les ruines de la crise politique et de jouer la crise pour la crise. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
18 mars 2005

 Contre Bolkestein !
« Ce texte continue de demeurer l'un des derniers avatars de la dérive libérale de la construction européenne. »

Tribune parue dans le journal Le Monde
6 février 2005

 Constitution européenne : Je ne peux pas souhaiter la victoire du non
« Je n'ai pas envie de revivre un nouveau 21 avril 2002. Sans rien renier de mes convictions, je ne ferai rien qui puisse amplifier la crise politique. »

Entretien accordé au quotidien Libération
29 janvier 2005

 Constitution européenne : Un réflexe légitimiste
« Beaucoup de militants qui ne sont pas venus aux réunions de sections locales ou départementales ont sans aucun doute été marqués par la très forte campagne en faveur du oui dans la presse, chez les éditorialistes et chez la plupart des socialistes européens. »

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
2 décembre 2004

 Le temps des petits putschs est dépassé
« Pour les partisans du oui, le seul moyen de convaincre, c'est de dramatiser et de prendre en otages les militants. »

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
21 novembre 2004

 La Gauche face à l'Europe
Pourquoi socialistes et Verts se divisent-ils aujourd'hui sur la Constitution européenne ? A l'invitation du " Monde ", trois partisans du " oui " et trois défenseurs du " non " s'expliquent.

Échange retranscrit dans le quotidien Le Monde
21 octobre 2004

 Traité constitutionnel : Le oui de Jospin est un oui de résignation
« Son argumentation très cohérente ne m'a pas convaincu. Je reste partisan d'un non d'espoir face à ce qui m'apparaît de la part de Jospin comme un oui de devoir et presque de résignation. »

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
23 septembre 2004

 Pourquoi non
« Pour fonder notre projet sur des bases solides, il est nécessaire que les militants puissent se prononcer en toute sérénité sur le contenu de la construction européenne et qu'ils puissent dire s'ils acceptent la dérive libérale que le projet de Constitution risque de pérenniser et d'accentuer. »

Tribune parue dans le journal Libération
16 septembre 2004

 Le maintien de la direction du PS ne doit pas devenir l'enjeu du débat
« Les socialistes peuvent se retrouver sur l'essentiel, pour peu qu'on laisse le débat se poursuivre. Se précipiter, voter dès aujourd'hui, c'est prendre le risque d'une division qui peut paraître absurde et qui va nous affaiblir. Nous ne connaissons ni les termes de la question qui sera posée par M. Chirac l'an prochain, ni le contexte dans lequel se tiendra ce référendum. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
12 septembre 2004

 Projet de constitution : plutôt non, pour une vraie ambition européenne
« Parce que nous sommes profondément européens, notre ambition pour l'Europe ne se résigne pas. Pour retrouver l'esprit et la vision des pères fondateurs de l'Europe, nous proposons une autre démarche que celle inspirée par des automatismes et des réflexes conditionnés. »

5 août 2004

 Projet de Constitution européenne : Il ne faut ni ruser ni biaiser
« Ce texte ne répond pas à la crise institutionnelle, budgétaire et civique que connaît l'Union européenne. Au contraire, il l'enfonce un peu plus dans cette crise en rendant impossible toute révision, toute évolution à partir de sa date d'application en 2009. »

Entretien accordé au quotidien Libération
27 août 2004

 Traité constitutionnel : En finir avec la règle de l'unanimité
« Le problème du projet constitutionnel qui nous est soumis est qu'il ne répond pas aux enjeux auxquels est confronté notre continent, aussi bien dans les rapports que les nations entretiennent entre elles que dans les rapports entre l'Union et le reste du monde. »

Tribune parue dans le journal Libération
2 juillet 2004

 Traité constitutionnel : le PS doit, sans hésitation, voter non
« Si l'Europe continue sur cette lancée, eh bien, dans cinq ans, à l'occasion des prochaines élections européennes, on assistera au triomphe des populismes. Pour éviter cela, il faut donc un grand dessein, une démarche audacieuse et, sans doute, une avant-garde européenne avec un noyau de dix pays à même de conduire des réformes très profondes. »

Entretien paru dans le quotidien Le Parisien
30 juin 2004

 Les régions de gauche deviendront des laboratoires pour préparer 2007
« Jacques Chirac a été désavoué. Sa pratique du pouvoir, sa démagogie, sa trahison du message du 5 mai 2002 sont incontestablement au cœur de la sanction, mais, comme d'habitude, il ne changera rien. Le président de la République fera tout pour préserver son clan et ses intérêts. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
28 mars 2004

 Monsieur Ramadan ne peut pas être des nôtres
« Tariq Ramadan, malgré ses prétentions, n'agit ni en musulman, ni en arabe, mais d'après un principe d'action spécifique à l'extrême-droite. Pour nous, cette démarche n'a rien à faire au Forum social européen. »

Point de vue paru dans le Nouvel Observateur
23 octobre 2003

 Projet de Constitution européenne : « Nous sommes prêts à assumer une crise »
« Nous avons toujours été présents à toutes les étapes de la construction européenne. Mais j'ai la conviction que si nous ne renouons pas les fils entre l'Europe et les questions économiques et sociales, nous serons en grande difficulté. »

Entretien accordé au quotidien Libération
30 septembre 2003

 Refuser le foulard sans l'interdire
« L'intransigeance ne ferait qu'accroître le fossé avec les musulmans. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
30 mai 2003

 Redonner de l'espoir au peuple
« Les ingrédients d’un élargissement de l’assise de l’extrême droite sont présents, ils sont réunis pour de nouveaux coups de tonnerre régionaux dans un an, seule la gauche peut et doit endiguer, empêcher ce risque terrible pour notre démocratie, et c’est ce qui commence aujourd’hui ici à Dijon dans ce congrès avec François Hollande, c’est cette résistance à la montée de l’extrême droite. »

Congrès de Dijon
17 mai 2003

 PS : pour relever les défis
« Pour relever les défis qui nous attendent, nous estimons nécessaire de répondre à l'appel de François Hollande, pour rassembler sur des orientations claires, ancrées à gauche, toutes celles et tous ceux qui entendent conjuguer au présent et au futur un socialisme ambitieux et créatif. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
18 octobre 2002

 Le 21 avril, et après ?
« L'avenir ne pourra s'enfanter dans les synthèses molles et les équilibres d'opportunité, le neuf ne sera pas seulement la reconduction et le réarrangement de l'ancien. »

Point de vue paru dans les pages " Horizons " du quotidien Le Monde
30 août 2002

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