Sénateur de l'Essonne |
Jean-Luc |
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Tourner la page de la social-bobocratie « La direction du PS, au lieu d'essayer de comprendre le vote des Français, attribue au non tous les malheurs du monde. Elle cultive une complicité malsaine avec les élites intellectuelles et médiatiques qui cherchent une revanche contre le non populaire. » Entretien accordé au journal Libération | |
Pourquoi j'aime Fabius « Il a changé, c'est sûr. Comme beaucoup de socialistes, Fabius a longtemps cru que la mondialisation était un phénomène globalement positif. Il a constaté, à l'expérience des faits, que c'était un phénomène globalement libéral. Il en a tiré les conséquences. Tant mieux. » Paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur | |
Examinons franchement nos divergences « Je crois que le candidat socialiste le mieux placé pour être utile à la gauche doit venir des rangs du non au référendum. Je le dis, non pour prolonger la querelle entre socialistes, mais pour la clore avec le reste de nos électeurs et de toute la gauche. » Intervention lors du Conseil national. 17 septembre 2005 | |
Trait d'Union ! « Notre contribution propose de refonder l'orientation du PS sur le vote du 29 mai. Pour nous, le " non " du peuple français est un vote fondateur. Il peut donner un nouvel élan à la gauche. » Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005) juillet 2005 | |
Les responsables du désastre doivent se retirer « Les cadres du parti sont obsédés par les questions de discipline. Ils veulent punir le pays en se vengeant au PS sur les tenants du non. » Entretien paru dans le quotidien Le Figaro | |
Je n'ai pas à être sanctionné « Le oui du PS l'isole de toute la gauche. Les uns après les autres, les syndicats se prononcent pour le non, ou émettent d'importantes réserves. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
Je n'exclus pas de faire campagne avec d'autres « Le PS ne changera pas de position. Il n'en reste pas moins que plus de 40 % de ses militants ont voté « non ». Ils doivent pouvoir être représentés. » Entretien accordé au journal L'Humanité | |
Qu'on arrête de me menacer ! « J'ajoute que si le non l'emportait, on aurait une chance de faire partir Chirac plus tôt que prévu : ce serait une grande économie de souffrances sociales pour le pays. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
Traité constitutionnel : La vraie campagne pour le non commence maintenant « Entre la loyauté envers mon parti et celle à l'égard de l'idée que j'ai de mon pays, je trace un chemin. La solution évidente : s'exprimer individuellement. » Entretien accordé au journal Libération | |
Victoire du Oui au référendum interne : Nous avons d'autres sujets pour nous rassembler « Je crois aussi que dans le camp du non, nous formions un ensemble hétérogène. Peut-être trop. » Point de vue paru dans Le Nouvel Observateur | |
La blague du oui social-démocrate « D'où vient ce mépris de caste et de classe pour l'enseignement professionnel ? Pourquoi cet acharnement à vouloir un collège unique, mythique et irréalisable ? » Point de vue paru dans Libération | |
La Gauche face à l'Europe Pourquoi socialistes et Verts se divisent-ils aujourd'hui sur la Constitution européenne ? A l'invitation du " Monde ", trois partisans du " oui " et trois défenseurs du " non " s'expliquent. Échange retranscrit dans le quotidien Le Monde | |
Cette constitution fixe le jeu de manière irréversible « C'est une Constitution qui a cette caractéristique de n'avoir été édictée par aucune constituante et donc sans le peuple. » Intervention lors du conseil national du parti socialiste. 9 octobre 2004 | |
Traité constitutionnel : Pour moi, Lionel, c'est non ! « Cher Lionel, Ton argumentation est forte et claire. Certes, elle ne m'a pas convaincu. Mais au moins tu n'essaies pas de nous vendre des choses qui ne sont pas. » Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur | |
Traité constitutionnel : Je voterais non, sans hésitation « Mais encore faut-il que Chirac organise un référendum ! Ce projet de Constitution institutionnalise le libéralisme. C'est la première fois depuis la constitution de l'URSS qu'un régime économique est ainsi coulé dans le bronze d'un texte constitutionnel ! C'est un voyage sans billet de retour dans la mesure où la règle de l'unanimité rend la transformation du texte impossible. » Entretien accordé au journal Libération | |
Il ne faut pas que les européennes défassent les régionales « Après les critères de convergence économique qui nous ont asphyxiés nous allons vouloir les critères de convergence sociaux qui permettent une harmonisation sociale par le haut du vieux continent. » Intervention lors du Conseil national. 3 avril 2004 | |
Un vote massif pour le " non " en France provoquerait une rupture salutaire « C'est le seul moyen de reprendre des discussions multilatérales sur d'autres bases. » Entretien paru dans le quotidien Le Monde | |
Monsieur Ramadan ne peut pas être des nôtres « Tariq Ramadan, malgré ses prétentions, n'agit ni en musulman, ni en arabe, mais d'après un principe d'action spécifique à l'extrême-droite. Pour nous, cette démarche n'a rien à faire au Forum social européen. » Point de vue paru dans le Nouvel Observateur | |
L'alignement sur le moins-disant social se paiera très cher à terme « M. Raffarin vient du Parti libéral. Il parle donc en connaisseur quand il dit qu'il est temps pour un gouvernement de droite de remporter une victoire sociale s'il veut appliquer tout son projet. C'est bien une confrontation très dure qui a été programmée. » Entretien accordé au journal Le Point | |
Socialistes, tendez la main aux autres ! « En attendant, et que le message soit entendu, il existe parmi les socialistes un courant unitaire Nouveau monde qui ne repousse personne et qui mènera le combat loyal pour le faire comprendre à tous. » Congrès de Dijon | |
Tout reste à faire « Ce qui va tous nous mettre d'accord, c'est la lutte contre la droite. Et, sous cet angle, je fais le pari que les lignes politiques internes bougeront encore. » Entretien accordé au journal Le Parisien | |
Ne pas se résigner à la direction actuelle « Le Nouveau monde, c'est d'abord l'opposition à la continuité que propose François Hollande et à la ligne qui nous a conduits au 21 avril. Il faut rompre avec cette idée que l'accompagnement social de la mondialisation libérale est possible. » Entretien accordé au journal Libération | |
Changer de ligne et d'équipe « Ce dont a surtout besoin le mouvement socialiste c’est d’idées claires. Le Congrès ne doit pas être cette espèce de compétition de comice agricole pour savoir qui tondra le plus vite et le mieux ! ». Intervention lors du Conseil national de synthèse. 15 mars 2003 | |
Hollande, incarnation du mi-chèvre mi-chou « On a besoin d'un dialogue fracassant dans le PS pour un retour fracassant du PS dans la politique. » Paru dans Le Figaro | |
Pour un nouveau monde « Jamais, dans son histoire, le genre humain n'aura connu de perspectives aussi exaltantes, bénéficié de moyens scientifiques et technologiques aussi prometteurs. Jamais notre potentiel de production, d'innovation n'aura été aussi élevé. Jamais nous n'aurons disposé de possibilités aussi importantes pour maîtriser notre destin et conduire notre histoire. » Contribution générale présentée par le courant éponyme au congrès de Dijon. 18 janvier 2003 | |
La guerre scolaire invisible « D'où vient ce mépris de caste et de classe pour l'enseignement professionnel ? Pourquoi cet acharnement à vouloir un collège unique, mythique et irréalisable ? » Point de vue paru dans Libération | |
En 2003, notre ligne l'emportera « Notre ligne l'emportera chez les militants. Le Congrès de Dijon en apportera l'éclatante démonstration. » Entretien paru dans Le Parisien | |
Feu sur les quartiers généraux ! Discours prononcé en clôture du rassemblement d'Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales). 29 septembre 2002 | |
Un autre monde est possible « Quand tant de forces et d'intelligences sont disponibles pour penser et construire un autre futur, c'est à une alternative plutôt qu'à une alternance qu'il faut ouvrir la voie. » Point de vue paru dans le journal Le Monde | |
Congrès de Grenoble Déclaration de Jean-Luc Mélenchon à la tribune du Congrès national du Parti socialiste. 25 novembre 2000 |
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