Député des Landes
 Président du Conseil général des Landes

Henri
Emmanuelli



 

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 Une primaire pour la victoire
« Ce mode de sélection pourrait devenir un outil puissant de rassemblement de la gauche. »

Point de vue paru dans le journal Libération
12 décembre 2005

 Le nouveau Mitterrand n'est pas arrivé
« Ne pas donner un signe clair à l'électorat du non, c'était prendre de gros risques avec la présidentielle. Ceux qui se référent à 1981 pour dire que ce rassemblement n'était pas nécessaire oublient qu'entre 1979 et 1981 il n'y a pas eu une telle déchirure dans l'électorat de gauche. »

Entretien paru dans le journal Libération
28 novembre 2005

 La France qui souffre attend que nous nous rassemblions
« Répondre à la double exigence du rassemblement et d'une politique claire et volontariste n'est pas, après des mois de discussion, voire d'affrontements, une chose facile. Pourtant, mes chers camarades, il faut s'y essayer pour rendre espoir au peuple de gauche, il faut s'y essayer pour rendre espoir à la France. »
 Intervention à la tribune du congrès du Mans

19 novembre 2005

 Nous voulons des changements sérieux au PS
« Tous les socialistes ont conscience que nous vivons un moment difficile et que ce que l'on attend de nous, c'est le rassemblement plutôt que la division. En même temps, nous avons de vrais désaccords, et ils sont connus de l'opinion publique. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
18 novembre 2005

 La direction du PS ressemble à un attelage défensif
« Si les socialistes ne se mettent pas en harmonie avec les aspirations du peuple de gauche, ils se condamnent à péricliter. »

Entretien paru dans le journal Libération
12 octobre 2005

 Nouveau Parti Socialiste pour une alternative socialiste
« Nous savons les réformes indispensables. Nous les savons aussi difficiles. Mais nous voulons rendre à nouveau possible, dans les faits, un projet de gauche destiné d'abord à offrir aux couches populaires des raisons d'espérer en la République et en la démocratie. »
 Motion présentée au congrès du Mans (novembre 2005)

20 septembre 2005

 Réorienter la ligne politique du Parti
« Ou bien la majorité est capable de changer de ligne, ou bien, excusez-moi, on va essayer de changer de majorité. C'est logique ! »
 Intervention lors du Conseil national.

17 septembre 2005

 Nous pensons conclure un partenariat intelligent avec NPS
« Nous voulons contribuer fortement à la réorientation du Parti socialiste et à l'avènement d'une nouvelle direction. Après le 21 avril 2002 et le 29 mai 2005, le PS a besoin d'une remise en adéquation avec les attentes et les espérances du peuple de gauche. »

Entretien accordé au journal Le Figaro
17 septembre 2005

 Rassembler en dépassant les contradictions internes
« Comme à l'approche de chaque congrès, on voit fleurir les inepties, les caricatures, « marxistes fripés », les fausses oppositions entre ceux qui seraient révolutionnaires et ceux qui seraient réformistes, ceux qui auraient la culture du gouvernement et les soi-disant populistes irresponsables. »

Entretien accordé au journal Sud Ouest
7 septembre 2005

 Pour une alternative socialiste
« Il faut renouer les fils qui lient la gauche politique, gauche syndicale et gauche sociale et intégrer dans notre projet les réflexions suggérées par ces acteurs du lien social et de l'éducation populaire. C'est sur ces bases que la victoire du Non le 29 mai peut ouvrir de nouvelles perspectives pour refonder le Parti socialiste et l'ensemble de la Gauche. »
 Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005

 Ne pas caricaturer le vote des Français
« C'est le libéralisme qui, sciemment, jette la misère des pays de l'Europe de l'Est contre nos salariés les plus démunis. »
 Intervention lors du Conseil national.

4 juin 2005

 On vole leur vote aux Français
« Je ne laisserai pas piétiner ce vote par des personnes qui essaient, de surcroît, d'en dévoyer la signification. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
10 juin 2005

 Dans tous les cas, le PS a un problème dimanche prochain
« L'élan profond de la France est de voter non, mais je ne sous-estime pas la force des moyens de pression du camp du oui, qui emploie des arguments de l'ordre du chantage. Et dans ce registre, toute la panoplie habituelle a été diffusée fortissimo. »

Entretien paru dans le journal Le Figaro
24 mai 2005

 Dire oui, c'est se soumettre
« On nous a expliqué que l'Europe était le cadre pertinent de la résistance à la mondialisation libérale. Chacun voit bien aujourd'hui qu'elle est en fait l'instrument de la normalisation libérale. »

Entretien paru dans le journal Le Nouvel Observateur
19 mai 2005

 La question de l'orientation du socialisme français est posée
« Trente-quatre ans après Epinay, une période s'achève. Il n'est pas imaginable que le PS soit, le 29 mai, à côté de son électorat comme il l'a été, le 21 avril 2002. Il nous faut un nouvel Epinay. »

Entretien paru dans le journal Libération
16 avril 2005

 A gauche, un fossé se creuse
« Le oui divise la gauche là où le non aurait pu la rassembler. C'est, au contraire, en soutenant ce traité au côté de la droite et en se coupant du mouvement social qu'on prend des risques pour l'avenir. »

Entretien paru dans le journal Le Parisien
11 mars 2005

 Un traité commercial plus qu’une Constitution
« Il y a plus de socialistes hors du parti qu'à l'intérieur. Cette situation ne doit pas perdurer sinon le PS et la gauche en mourront. »

Entretien paru dans le quotidien 20 Minutes
9 mars 2005

 Lettre ouverte aux socialistes
« Après avoir mûrement réfléchi, j'ai décidé, sans renier mon engagement européen, de faire publiquement campagne pour le non, en espérant ne heurter personne. »

Courrier adressé aux militants socialistes
mars 2005

 Ne pas mélanger Ushuaïa avec la Constitution
« Constitutionnaliser le principe de précaution est la porte ouverte à tous les recours. »

Entretien paru dans le journal Le Figaro
28 février 2005

 Non à la directive Bolkestein !
« Ce texte européen est la porte ouverte au dumping social et juridique dans l'Europe des 25. »

Point de vue paru dans le journal Libération
20 janvier 2005

 C'est ridicule !
« Je tiens une réunion tous les soirs, et j'ai plutôt le sentiment que les partisans du oui ont bien du mal à convaincre. Je pense que le non va l'emporter, malgré le mal que certains se donnent. »

Entretien paru dans le journal Le Parisien
30 novembre 2004

 Le vote ne doit pas être faussé comme cela a pu être le cas par le passé
« Si l'on reste sur la question posée, si les socialistes se sentent libres de voter en dehors de toute dramatisation, le " non " l'emportera car l'orientation libérale de l'Europe ne leur convient pas. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
27 novembre 2004

 Je rappelle à Lionel Jospin que le socialisme, c'est le refus de la fatalité
« Ce qui serait à craindre, c'est que le PS dise oui et que la France dise non. L'objectif d'un parti de gauche n'est pas de se situer à l'inverse de ce que pense le peuple. »

Entretien paru dans le journal Le Figaro
18 novembre 2004

 Cette constitution fixe le jeu de manière irréversible
«  J'entends dire que l'Europe serait constitutive de l'identité socialiste en elle-même, par elle-même. Non, mes chers camarades, l'Europe sociale est constitutive de l'identité socialiste, mais l'Europe libérale est plutôt constitutive de l'identité de l'UMP ou de l'UDF. »
 Intervention lors du conseil national du parti socialiste.

9 octobre 2004

 L'UE ne sait plus où elle va
« La spécificité des socialistes français, c'est d'abord d'être les seuls à être consultés. Et nous sommes peut-être isolés par rapport à certains gouvernements, mais ces gouvernements sont eux-mêmes isolés de leur peuple. Je préfère être proche des opinions publiques plutôt que des technostructures de partis. »

Entretien paru dans le journal Libération
25 septembre 2004

 L'europe à échelle humaine
« Pour les socialistes, l'Union élargie et démocratique doit s'ériger en modèle humaniste. »

Tribune parue dans le journal Libération
14 mai 2004

 Jacques Chirac redevient un chef de clan
« L'Assemblée nationale ne représente plus la photographie de la représentation politique. Au lieu de trouver un compromis, Jacques Chirac nous ressert Raffarin, qui est totalement décrédibilisé, y compris à droite. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
1er avril 2004

 La gauche cassée en deux, c'est l'impuissance
« Nous ne disons pas qu'il faut s'aligner sur les autres composantes de la gauche, mais qu'il faut réimpliquer un certain nombre de personnes dans le combat démocratique. Cela passe par des prises de position, le souci d'avoir une politique de rassemblement, le dialogue et non par la stigmatisation. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
6 juillet 2003

 Le début d’un nouveau départ
« Pour moi, c'est un congrès majeur. C'est un congrès majeur parce que c'est un congrès où nous avons fait majoritairement le choix du réformisme, le réformisme de gauche qu'a lancé François Hollande. »

Congrès de Dijon
17 mai 2003

 Bien sûr qu'il y aura une majorité au congrès
« On en arrive à penser que le vote démocratique est une chose dangereuse... tout en se plaignant de l'abstention. Ou alors il faut cesser de dire que nous sommes un parti démocratique et, comme au Parti communiste au temps du centralisme démocratique, demander à tous les militants de voter pour la direction. »

Entretien paru dans le journal Libération
10 avril 2003

 Apporter des réponses conformes à nos valeurs
« Pour porter ce projet, pour ouvrir ce chemin, en tout cas pour lui donner des perspectives d'avenir, il faut une stratégie, il faut un rassemblement. »
Intervention lors du Conseil national.

18 janvier 2003

 Pour un nouveau monde
« Jamais, dans son histoire, le genre humain n'aura connu de perspectives aussi exaltantes, bénéficié de moyens scientifiques et technologiques aussi prometteurs. Jamais notre potentiel de production, d'innovation n'aura été aussi élevé. Jamais nous n'aurons disposé de possibilités aussi importantes pour maîtriser notre destin et conduire notre histoire. »
 Contribution générale présentée par le courant éponyme au congrès de Dijon.

18 janvier 2003

 Mes idées sont majoritaires
« Notre analyse est politique et stratégique, et non tactique. Elle est claire : pour redonner des perspectives de victoire à la gauche, il faut recréer les conditions d'un rassemblement progressiste le plus large possible. Ce rassemblement ne peut se faire sur une ligne social-libérale rejetée par une large partie de l'électorat socialiste. »

Entretien paru dans le journal Le Nouvel Observateur
2 janvier 2003

 Il faut laisser les militants débattre librement
« Notre analyse est politique et stratégique, et non tactique. Elle est claire : pour redonner des perspectives de victoire à la gauche, il faut recréer les conditions d'un rassemblement progressiste le plus large possible. Ce rassemblement ne peut se faire sur une ligne social-libérale rejetée par une large partie de l'électorat socialiste. »

Entretien paru dans le journal Le Monde
22 novembre 2002

 La gauche flotte parce qu'elle est ambiguë
« A mes yeux, l'essentiel c'est la clarification politique nécessaire pour pouvoir mener une opposition résolue et rassembler la gauche pour de prochaines victoires. »

Entretien paru dans le journal Le Monde
19 octobre 2002

 Un début, pas une fin
Discours prononcé en clôture du rassemblement d'Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales).

29 septembre 2002

 Il faut déplacer à gauche le centre de gravité du PS
« Douze ans après le congrès de Rennes, il est temps de refaire de la politique. Il faut redonner une capacité majoritaire à la gauche, et donc la rassembler. Or, elle ne peut pas être rassemblée sur une ligne sociale-libérale qui exclut le PCF, n'est pas celle des Verts, encore moins celle des mouvements dits antimondialistes, et qui est même rejetée par au moins la moitié du PS. »

Entretien paru dans le journal Libération
12 septembre 2002

 Un autre monde est possible
« Quand tant de forces et d'intelligences sont disponibles pour penser et construire un autre futur, c'est à une alternative plutôt qu'à une alternance qu'il faut ouvrir la voie. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
13 août 2002

 La gauche, à quel prix le mètre carré ?
« Les élections locales ne sont pas des élections nationales. Mais lorsque plus de quarante millions de citoyens sont convoqués aux urnes, lorsque de surcroît l'abstention sélective s'exprime dans certains quartiers plutôt que dans d'autres et que l'on constate - en exagérant à peine - que désormais l'influence de la gauche plurielle aurait tendance à suivre le prix du mètre carré alors qu'elle lui était traditionnellement inversement proportionnelle, un certain nombre de questions surgissent. »

Tribune parue dans le journal Libération
27 mars 2001

 Non au libéralisme new look
« Le rapport Pisani-Ferry sur le plein emploi tourne le dos à une politique de gauche sur les salaires et l'investissement. »

Tribune parue dans le journal Libération
12 janvier 2001

 L'aspiration égalitaire
Contribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000.

septembre 2000

 « Ce qui me gêne dans le plan Jospin »
Henri Emmanuelli critique la démarche engagée en Corse par Lionel Jospin qui « risque de mettre sur le même plan le fusil et le bulletin de vote ». Il dénonce la « surenchère permanente » des nationalistes et réclame une consultation des Corses et du Parlement.

Tribune parue dans le journal Libération
24 août 2000

 Trois ans pour reconstruire
Sur la bonne tenue de son parti aux municipales, sur la menace lepéniste, sur la nécessaire refondation comme sur le rôle de Lionel Jospin, le diagnostic du numéro un socialiste.

Entretien paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
22 juin 1995

 Le Front national véhicule une idéologie raciste contre laquelle doivent lutter la droite et la gauche
« La droite doit se resaisir et comprendre qu'elle joue avec un brasier dont elle sera la première victime. A vouloir des alliances avec le Front national, à les pratiquer en province tout en les dénonçant à Paris, à banaliser son discours en lui empruntant ses thèmes, elle concourt simultanément à sa propre ruine et à la perte de la démocratie. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
26 juin 1991

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