Député du Val-d'Oise
 Adjoint au Maire de Sarcelles (58002 habitants)

Dominique
Strauss-Kahn



 

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 La nouvelle bataille des valeurs
« Nous critiquons le monde tel qu'il est et nous voulons le transformer, mais nous ne pourrons le faire qu'en sachant ce que nous voudrions qu'il soit. Le socialisme du réel ne peut se passer de l'idéal d'une société juste. Les Français exigent des partis des réponses concrètes aux problèmes de leur vie quotidienne, mais ils cherchent également dans le discours politique une représentation de ce qu'ils font et peuvent faire ensemble. »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
14 juin 2007


 Pour une nouvelle cohérence économique et sociale
« Deux constats s'imposent à nous. Notre compétitivité s'érode : la France est en train de perdre la bataille économique. Notre modèle social a un coût très élevé alors même que son efficacité dans la lutte contre les inégalités paraît faiblir. »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
7 juin 2007


 Trois ruptures pour une refondation à gauche
« Nous venons de subir une troisième défaite consécutive à l’élection présidentielle. Manifeste au soir du 6 mai, elle était latente depuis le premier tour, le 22 avril : jamais le score de la gauche n’avait été aussi bas. La défaite vient de loin. Elle sanctionne un refus, celui de nous réformer. C’est à cela que je veux aujourd’hui m’attacher. »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
31 mai 2007


 Strauss-Kahn invite Bayrou à se prononcer contre l'alliance avec Sarkozy
« François Bayrou devra finir par se déterminer. S'il va jusqu'au bout de sa logique - et je l'y encourage ! -, il se prononcera contre l'alliance avec Nicolas Sarkozy au second tour. Cela fera une belle majorité pour battre Sarkozy et pour changer la France. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
10 mars 2007


 Europe : faire entendre notre voix
« Il est plus que temps que la France parle. Il s'agit de rétablir la confiance des Français dans la marche de l'Union tout autant que de faire savoir à nos partenaires que la France a un projet d'avenir pour l'Europe qu'elle entend discuter, négocier, partager, dans la confiance due à ses partenaires européens, mais aussi dans l'exigence qu'imposent les attentes du peuple français. La négociation sera rude, âpre, comme toujours. Ce sera du donnant-donnant. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
6 février 2007


 Les cartes peuvent encore être rebattues
« Le retour à l'ordre, fut-il juste, ne peut pas être le seul projet pour la gauche. On ne peut pas être seulement dans le repli, il faut aussi être dans le mouvement. J'ai la conviction que, au bout du compte, celui qui sera perçu comme pouvant être le meilleur président - parce qu'il propose, comme je l'ai dit, un chemin efficace dans la mondialisation - sera le meilleur candidat. »

Entretien paru dans le quotidien Le Figaro
15 novembre 2006


 Pour une grande relance européenne
« Pour gagner l’élection présidentielle, il faudra convaincre le peuple. Pour emporter la confiance du peuple, il faudra lui dire la vérité. Pour emporter la confiance du peuple, il ne faudra pas se contenter de constats, il faudra proposer des solutions - d’abord et avant tout à la question sociale. Pour emporter la confiance du peuple, il ne faudra pas épouser toutes ses positions, il faudra avoir le courage d’affirmer ses convictions et l’audace de proposer une ambition, une vision, un chemin pour le pays. »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

9 novembre 2006


 Casser la machine à faire des pauvres
« Il faut construire le combat politique sur des convictions, et la conviction que les problèmes principaux des Français sont des problèmes économiques et sociaux et non des problèmes qui s'organisent principalement autour du rappel à l'ordre. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
4 novembre 2006


 Le Président engagé
« Sur les questions européennes et internationales, au Conseil européen, au G8, dans les grandes négociations, il doit avoir une position claire pour convaincre ses partenaires. Ce n'est pas seulement le rang de la France qui est en jeu, c'est aussi la vie quotidienne des Français tant il est vrai que les questions européennes ou internationales ne sont plus des questions de politique étrangère. »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

2 novembre 2006


 Le pacte de l'Elysée
« Une grande négociation sociale engagée dès avant l'élection, achevée avant la fin de l'année 2007 et portant à la fois sur le pouvoir d'achat, la sécurisation professionnelle, les retraites et les conditions de travail - voilà le « Pacte ». »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

29 octobre 2006


 Partir des sondages pour avancer des propositions n'est pas ma conception de la politique
« L'entourage de Ségolène Royal ne devrait pas surréagir. Il arrive que l'on traverse de mauvaises passes dues à de mauvais sondages ou à des formulations approximatives, mais un candidat à l'élection présidentielle doit savoir ne pas faire porter aux autres la responsabilité de ses propres erreurs. »

Entretien accordé au quotidien Libération
28 octobre 2006


 Et si Dominique Strauss-Kahn était le meilleur
« Je crois que les réponses que j'apporte aux préoccupations économiques et sociales des Français, la capacité que j'ai démontrée dans des débats avec Nicolas Sarkozy, le bilan de rénovation et d'expérience dont je suis porteur font que, au bout du compte, je serai le meilleur candidat. A moi d'en convaincre aujourd'hui les socialistes ! »

Entretien paru dans le quotidien Lyon Capitale
24 octobre 2006


 Social et démocrate !
« Le vrai respect, c'est d'accepter de débattre, sur le fond, de nos convergences, mais aussi de nos divergences de priorités, de méthodes et de vision de la fonction présidentielle, pour éclairer démocratiquement le choix de chacun. Et puis, aussi, le respect des militants. La campagne interne est l'occasion d'un dialogue direct : face à la pression du sommet, à la pression des médias, à la pression des sondages, je choisis la politique, dans ce qu'elle a de plus noble. »
 Choix du candidat socialiste : profession de foi

10 octobre 2006


 Pour une Europe allant de l'Arctique au Sahara
« Qui sommes-nous et que voulons-nous faire ? Comment créer des richesses pour y parvenir ? Et comment porter notre message dans le monde ? Voilà les trois grandes questions, les trois chantiers que le prochain président de la République devra reprendre pour relancer l'Europe. Si, à l'évidence, la France à elle seule ne suffit pas à construire l'Europe, une chose est sûre, rien ne peut se faire sans la France. »

Le Meilleur des mondes
octobre 2006


 Il faut une réponse qui protège, une réponse qui promeut
« Le renouveau est nécessaire, dans le respect des décisions qui ont été les nôtres, donc il faut prendre tout notre projet, évidemment pas le renier, mais même pas le rogner. Ce que nous avons décidé en commun, c'est notre vade-mecum. »
 Intervention lors du Conseil national du Parti socialiste

7 octobre 2006


 La volonté de rénover et l'expérience de l'Etat
« Trois candidatures à l'investiture, c'est un début de clarification, d'autant plus que chacun incarne une sensibilité identifiable. Pour ma part, je représente la sensibilité sociale-démocrate. Je partage avec Ségolène la volonté de rénover - on ne peut pas construire demain la même gauche que par le passé - et je partage avec Laurent le fait qu'il faut avoir l'expérience de l'Etat pour mener le pays. »

Entretien paru dans le quotidien 20 Minutes
4 octobre 2006


 Je veux un président qui agisse
Sur la politique de l'emploi avec Dominique Strauss-Kahn, député du Val-d'Oise, Le Nouvel Observateur et la République des Idées ouvrent le débat. dsk répond aux questions de Philippe Askenazy, chercheur au CNRS, et Jérôme Gautié, directeur de recherche au Centre d'Etudes de l'Emploi.

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
21 septembre 2006


 Retrouver la volonté de faire
« Préparer l'avenir, c'est favoriser l'action publique en matière énergétique, contruire un nouveau modèle social, renforcer le rôle du Parlement et s'appuyer sur la construction européenne pour faire face aux nationalismes renaissants. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
24 août 2006


 La remise en ordre du pays demandera des efforts
« Le pays est prêt à entendre ce message de responsabilité s'il a le sentiment que ce que nous proposons est juste et permettra d'améliorer les perspectives d'avenir. »

Entretien paru dans le quotidien Les Échos
27 juin 2006


 Il faut que les universités tissent des liens avec le privé
« La campagne présidentielle sera centrée sur l'emploi, le pouvoir d'achat, la précarité et les inégalités. Je veux montrer comment on peut apporter des réponses à ces questions dans une économie mondialisée. Sans cela, le PS peut avoir le meilleur programme, on ne fera rien. »

Entretien paru dans le quotidien 20 Minutes
2 juin 2006


 Plaidoyer pour un projet progressiste en faveur du développement
« Les pays pauvres sont sous-représentés à la Banque mondiale, au FMI, au Conseil de sécurité de l'ONU. Ils sont absents du G 7. Il faut y remédier. Des solutions sont sur la table, comme celles de l'administrateur du Programme des Nations unies pour le développement, Kemal Dervis : une représentation sur une base essentiellement démographique, par circonscription régionale. Je les soutiens. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Figaro
20 février 2006


 Numérique et création unis
« La légalisation payante du P2P permettrait de rémunérer les auteurs à un juste coût. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
10 février 2006


 2007 : Les 15 premières solutions
« 2006 doit être une année utile pour la France et pour les Français, placée sous le signe de l'imagination et des solutions pour la renaissance Française. Pour moi, la renaissance Française passe par une société juste. La renaissance Française passe par des Français maîtrisant leur avenir, par le refus de la société précaire. »

14 janvier 2006


  Travailler à l'alternative
« Moi je suis prêt, j’ai une orientation, des solutions. J’ai mon calendrier et je m’y tiendrai. Je ne précipite rien, je n’exclus rien. Je trace ma route parce que je veux faire mûrir et grandir une grande union populaire pour redonner l’espoir. Je la sens là parmi nous, prête à se déployer. »
 Vœux de la fédération du Val-de-Marne

14 janvier 2006


 Comment la gauche peut relancer la construction européenne
« La relance ne sera pas assurée par des gouvernements qui, dans leur majorité, se satisfont de l'échec du Traité constitutionnel. Elle ne peut venir que de la gauche progressiste, celle qui place l'Europe au cœur de son projet politique. C'est notre responsabilité historique. »

Point de vue paru dans le quotidien Les Échos
13 janvier 2006


 La réponse à la crise du modèle social français : le socialisme de l'émancipation
« Le socialisme de l'émancipation dispose d'un potentiel de réforme très important. Il s'intéresse aux conditions de réussite sociale des citoyens, jusqu'ici cantonnées pour l'essentiel au principe de l'égalité formelle. Il concerne notamment la petite enfance, l'éducation, le logement, l'urbanisme, la santé. Il vise à redonner à chacun la maîtrise de son destin. »

Point de vue paru dans la Revue socialiste
novembre 2005


 SIDA : Grande cause de l'Europe
« Au-delà des discours et des incantations, nous pouvons, nous devons soulager les populations atteintes, encourager et soutenir leur mobilisation, leur donner accès aux soins et encourager la recherche. Cela est possible ! »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
1er décembre 2005


 Construisons une autre voie pour la France
« Aux Français, nous ne proposons pas les lendemains qui chantent, mais le présent qui change. Nous ne voulons pas d'une gauche avec ses engagements flamboyants du dimanche et sa triste réalité du lundi. Nous ne voulons pas d'une gauche des paroles, mais d'une gauche des actes. »
 Intervention à la tribune du congrès du Mans

19 novembre 2005


 La gauche doit rénover le modèle social français
« A propos du rassemblement à gauche, Fabius et Mélenchon font mine de promettre à l'extrême gauche l'immobilisme alors que je veux le changement par la rénovation. Ils proposent aux socialistes d'être le trait d'union de la gauche alors que je demande que nous soyons le vecteur d'une orientation nouvelle. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Challenges
17 novembre 2005


 La France n'a toujours pas réglé son problème de banlieues
« Nicolas Sarkozy a trop d'activités. On ne peut pas être, à la fois, à plein temps : ministre de l'intérieur. A plein temps : président de l'U.M.P. A plein temps : président du département des Hauts-de-Seine. Être quasiment à plein temps candidat contre le président de la République. Aujourd'hui, il est dépassé. »

Entretien diffusé sur l'antenne de RTL
7 novembre 2005


 Rénover le modèle français
« J'entends montrer qu'il y a une voie qui, à la fois, ne jette pas par-dessus bord notre culture et ne refuse pas la modernité. Ni la rupture de Nicolas Sarkozy, ni la résistance à tout changement d'une partie de la gauche. »

Entretien accordé au journal Ouest France
24 octobre 2005


 Entre la liquidation et l'immobilisme, il y a la rénovation
« Qui vous dit qu'il y aura une majorité et une minorité. Il y aura peut être un grand rassemblement des textes, cela n'est pas impossible. Je le souhaite. Cela dépendra de ceux qui seront minoritaires. Voudront-ils le rester ? »

Entretien accordé au journal Le Progrès de Lyon
12 octobre 2005


 Socialistes, pour réussir à gauche : Volonté - Vérité - Unité
« Forts du chemin parcouru depuis 2002 et tirant toutes les leçons du 29 mai, nous avons un devoir collectif : réussir en 2007. Nous devons avoir des principes pour agir, un projet pour changer, un parti pour rassembler la gauche et la mettre en mouvement. »
 Motion présentée au congrès du Mans (novembre 2005)

20 septembre 2005


 Aucun instrument fiscal n'est tabou
« Je ne veux pas incarner une ligne " à gauche toute ", mais proposer un programme " à gauche certainement ", c'est-à-dire qui puisse être mis en œuvre avec certitude. On ne peut renoncer à faire un pas en avant au service des plus défavorisés au motif que l'idéal n'est pas atteint. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
14 septembre 2005


 Quelle relance pour l'économie européenne ?
« Avant d'envisager de relancer l'Europe politique de demain, il nous faut réussir l'Europe économique d'aujourd'hui. Il nous faut bâtir une croissance durable et un développement solidaire en Europe. »
 Intervention lors du Global Progressive Forum

9 septembre 2005


 Pour un développement solidaire
« Il faut sauver la solidarité, entre nous, avec les générations à venir, et avec toute la planète. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
1er septembre 2005


 Pour un nouveau compromis français
« Je n'ai qu'une règle de conduite : « Etre au pouvoir aussi ambitieux que si on était dans l'opposition, mais être dans l'opposition aussi réaliste que si on était au pouvoir. » Il ne faut pas tromper les Français en prétendant mettre en œuvre une politique qu'on sera contraint d'abandonner en cours de route. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire L'Express
22 août 2005


 Proposition des femmes pour le projet socialiste
« Cette contribution, loin d'être une revendication catégorielle, sert l'intérêt général. Le parti socialiste a tout à gagner à porter ce combat. Mais cela commence par un effort sur lui-même d'exemplarité en matière d'égalité femmes/hommes. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005


 L'égalité des droits, pour changer la France
« Nos propositions répondent aux attentes des personnes LGBT en matière de lutte contre les discriminations et d’égalité des droits. Elles offrent aussi des perspectives nouvelles pour l’ensemble des couples, quel que soit le sexe des partenaires, en ouvrant le mariage, en améliorant les dispositions du Pacs, en ouvrant les dispositions concernant l’adoption et l'autorité parentale. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005


 En finir avec le mot « race »
« La « peur de l'autre » n'a jamais semblé aussi présente dans notre société, la République a manqué deux fois en un an l'occasion de bannir de sa Loi fondamentale le terme de « race », référence funeste s'il en est. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005


 Le gouvernement n'a pas pris la mesure de la gravité de la situation
« En 2002, Chirac a dit « Nous allons baisser l'impôt sur le revenu des plus riches, cela va libérer les énergies et tout le monde en profitera. » Résultat : seules les inégalités ont été libérées.. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Journal du Dimanche
26 juin 2005


 Que faire du 29 mai ?
« Je souhaite un congrès où nous soyons capables de redéfinir ce que c'est que d'être socialiste en France aujourd'hui au début du XXIème siècle. Ce n'est pas la même chose qu'il y a cinquante ans, même si évidemment les racines sont les mêmes. »
 Intervention lors du Conseil national.

4 juin 2005


 Être clairs dans nos orientations, nos équipes, notre stratégie
« La représentation politique est défaillante, puisqu'elle peine à trouver la voie entre une adaptation pure et simple à la mondialisation et un discours démagogique, incapable de tenir compte de cette mondialisation. »

Entretien paru dans le quotidien Le Figaro
4 juin 2005


 Je ne suis pas sûr que Fabius souhaite continuer avec nous
« Je ne souhaite ni la stigmatisation de la gauche contestataire ni la subordination du PS à cette dernière. Le débat entre les deux peut être fructueux pour tous. Si la première se donne pour but de travailler à une alternative crédible de gauche crédible, l'espoir aura trouvé un chemin. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
2 juin 2005


 Traité constitutionnel européen : Voter non, c'est voter Sarkozy en 2007
« Ce que les profondes divisions de la gauche vis-à-vis du référendum traduisent, c'est la coexistence d'une gauche réformiste et d'une gauche de contestation. »

Entretien accordé au journal Le Républicain Lorrain
20 mai 2005


 Traité constitutionnel européen : Débat : Strauss-Kahn-Villiers
« Le conseil et le parlement se renforcent. Qu'une source de droit avance vers une Europe fédérale, ça me va. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire L'Express
16 mai 2005


 Traité constitutionnel européen : Oui aux avancées du traité
« Pour moi il n'y a pas qu'un seul argument, il y en a 84. Ce sont les 84 nouveaux articles qui vont dans le sens souhaité par les Français : une Europe plus sociale, plus démocratique, plus respectueuse des droits de l'homme... »

Entretien accordé au journal Ouest France
4 mai 2005


 La vente à la découpe : Un vrai scandale humain et urbain
« Si les spéculateurs internationaux sévissent à Paris, c'est tout simplement parce qu'ils ne peuvent pas le faire chez eux ! Aux Etats-Unis, en Allemagne, aux Pays-Bas, les ventes à la découpe sont impossibles. A New York, par exemple, les ventes par appartement sont conditionnées à l'approbation de la majorité des locataires de l'immeuble visé. »

Entretien accordé au quotidien Libération
7 avril 2005


 La France en 2005 : un diagnostic
« Pourquoi commencer notre Projet par un diagnostic de la société française ? Parce que c'est à partir d'une compréhension lucide de l'état de la réalité sociale que nous pouvons bâtir une alternative politique redonnant confiance aux citoyens. Faute de prendre la mesure des mutations intervenues depuis des années, nous manquerions l'essentiel et serions condamnés à reproduire les mêmes éléments de programme sans s'interroger sur leur pertinence. »

20 mars 2005


 Traité constitutionnel européen : Le brouillage s'estompera
« Il y a un parti qui milite pour le « oui » et des personnalités qui font état de leur refus de respecter le vote des militants. »

Entretien accordé au journal Sud Ouest
17 mars 2005


 L'objectif doit être l'augmentation significative de la majorité des salariés
« Je n'ai pas le réformisme honteux. Le socialisme moderne n'est ni l'adaptation au marché cher aux libéraux ni le renoncement à des propositions alternatives d'une gauche contestatrice. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
12 mars 2005


 Monsieur Raffarin, arrêtez la mascarade
« RTT, recherche, école... A passer en force, le gouvernement en a oublié le chemin du débat. »

Point de vue paru dans le quotidien Libération
10 février 2005


 Ne pas se tromper de colère
« L'exaspération est telle que certains syndicalistes pensent ne pas avoir d'autre moyen de se faire entendre qu'en exprimant un non au traité et ce, quitte à renoncer aux avancées politiques et sociales du traité que la majorité de la Confédération européenne des syndicats (CES) soutient. Chirac, Raffarin et Sarkozy sont responsables parce qu'ils mènent une politique que les Français rejettent. »

Entretien accordé au quotidien Libération
4 février 2005


 Il faut interdire Le Pen
« Sa vieille technique de la différenciation maximale est bien connue. Plus je suis provocant, mieux je suis repéré. Mieux je suis repéré, plus je peux être électoralement chevauché par tous les mécontentements. »

Entretien accordé au quotidien Le Parisien
30 janvier 2005


 Faire naître l'espoir dans un monde plus juste !
« C'est la première fois, dans l'Histoire, que des peuples mettent en commun leurs principes pour forger dans la paix une identité commune. Cela ne peut se faire à marche forcée ou à la pointe de la baïonnette. Cela doit se faire dans le respect des principes, des cultures, mais cela se fait et vous êtes les acteurs de cette histoire. »
 Intervention à Alfortville (Val-de-Marne).

29 janvier 2005


 Directive Bolkestein : Retrait immédiat de la circulaire européenne sur les services !
« On nous propose un nivellement par le bas, qui porte atteinte aux objectifs proclamés dans le protocole social initié à Lisbonne, et ceux avancés dans le Traité constitutionnel. Rien n'impose de se précipiter dans cette voie. »

Point de vue paru dans le journal L'Humanité
21 janvier 2005


 Ils nous préparent l'insécurité économique
« La droite commet avec l'insécurité économique la même faute politique que la gauche avec l'insécurité civile : il y aurait accroissement du sentiment d'insécurité, pas de sa réalité. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
14 janvier 2005


 Traité constitutionnel : Il faut dépersonnaliser le référendum
« On pourrait concevoir que le groupe socialiste, seul ou avec d'autres, se saisisse de cette possibilité et prenne l'initiative d'une motion soumettant le traité constitutionnel au référendum. Cette initiative parlementaire n'a jamais été utilisée jusqu'alors ? Eh bien, innovons ! »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
9 décembre 2004


 Du courage pour faire gagner la gauche
« A nous, maintenant, de donner un contenu fort au réformisme de gauche qui nous a réunis lors du congrès de Dijon. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
5 décembre 2004


 Traité constitutionnel européen : Cette campagne doit laisser des traces
« Selon que le oui ou le non l'emporte, les choses s'organiseront différemment. Par exemple, nous n'aurons pas le même projet. »

Entretien accordé au journal Sud Ouest
26 novembre 2004


 Traité constitutionnel : Quand le oui aura gagné...
« Le débat sera tranché le 1er décembre par l'ensemble des militants. Il faut tirer le meilleur parti de cette bataille interne dès lors qu'elle existe. Elle a ceci de positif qu'elle permettra de poser, à travers la question européenne, celle de notre identité. Ce qui se joue là, au fond, c'est l'orientation réformiste du parti. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
11 novembre 2004


 Un budget inquiétant, déficient et imprévoyant
« Dans le budget, on cherche en vain les défis que vous voulez relever pour la France. On scrute en vain le dessein qu'il prétend avoir. Sans défis ni dessein, votre budget ne prépare pas l'avenir. »
 Présentation d'une motion de renvoi en commission du Projet de Loi de Finances pour 2005.

21 octobre 2004


 De l'opportunité de la crise...
« Le oui nous autorise à avancer, le non nous l’interdit. Et, s’il n’y avait que cette raison-là, parce que, ce que nous devons regarder, ce n’est pas le passé, ce qui a été construit en Europe pendant vingt ans, ce que nous devons regarder, c’est ce que nous voulons faire maintenant ensemble. »
 Intervention lors du conseil national du parti socialiste.

9 octobre 2004


 Budget de l'injustice et de l'esbroufe
« L'absence dans le budget de tout élément susceptible de transformer la croissance en emplois et le démantèlement de contrats aidés, comme les emplois-jeunes, m'inquiètent. Je rappelle qu'entre 1997 et 2000, la croissance forte s'est traduite par la création de 2 millions de postes de travail. »

Entretien paru dans le quotidien Le Monde
24 septembre 2004


 Nous avons rendez-vous avec l'histoire
« C’est dans l’Europe que l’on retrouve le socialisme. Contre l’Europe, on ne retrouve pas la gauche, mais le libéralisme pour tous et le nationalisme pour chacun. »
 Intervention lors du conseil national de la motion A.

21 septembre 2004


 Unité !
« Parlons d'Europe, assurément, ne parler pendant trois mois que de l'Europe, je ne crois pas cela opportun. Ce serait un cadeau à faire à ce gouvernement: il ne le mérite aucunement. Ce serait un grave manquement aux Français : ils ne nous le pardonneraient pas. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
18 septembre 2004


 Vers l'égalité réelle à l'école
« Tendre vers une égalité réelle, c'est combattre les inégalités à la racine, là où elles se créent, c'est renouer avec une des premières intuitions du socialisme. Il faut compléter la logique de l'Etat-providence par une logique de correction en amont des inégalités, concentrer les interventions sur ceux qui en ont le plus besoin, donner plus de capital public à ceux qui ont moins de capital social. »
 Intervention lors d'un colloque sur l'éducation, organisé à la Sorbonne (Paris).

11 septembre 2004


 Le débat ne doit pas être pollué par des questions de personne
« Vouloir se présenter en homme d’Etat, d’une part, mais remettre son choix entre les mains de Jacques Chirac d’autre part, ne me semble pas raisonnable. Je crois que, sur un Traité qui engage l'avenir des Français, l'avenir de la France, l'avenir de l'Europe, il faut être capable de se mouiller, de donner son sentiment, pour ou contre. (...) Mais on ne peut pas dire : " en fait mon choix définitif dépend de mon adversaire ". »

Entretien accordé au quotidien France Inter
8 septembre 2004


 Les inégalités ne doivent plus avoir cours à l'école
« Il faut concentrer les moyens sur les plus modestes et agir à tous les niveaux du système scolaire. »

Point de vue paru dans Libération
10 septembre 2004


 Le oui l'emportera
« Ce texte est une étape. Il y a de nombreux acquis. Mais ce n'est pas une fin : nous devons réfléchir à une nouvelle étape. J'en appelle donc à un nouveau traité pour une Europe politique et sociale. Je souhaite que les socialistes français et européens portent ensemble cet idéal. »

Entretien accordé au quotidien Le Parisien
8 septembre 2004


 Je demande à Laurent de dire oui
« Les préventions légitimes [de Laurent Fabius] ne peuvent pas résister aux conséquences historiques d'un non socialiste. Nous portons ensemble l'exigence d'une future Europe sociale et politique. Je lui demande donc très amicalement de reconsidérer sa position sur le Traité constitutionnel. Sans verser dans le grandiloquent, je souhaite que le sens de l'histoire finisse par l'emporter. »

Entretien accordé au quotidien Libération
6 juillet 2004


 Il faut ratifier le projet de Constitution européenne
« Nous pensons qu'en dépit de ses insuffisances et des flous qui demeurent, il faut ratifier ce texte car, pour la première fois, il dessine l'Europe que nous voulons : une Europe politique et sociale. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
3 juillet 2004


 EDF : une politique à contre-courant
« Les choix du gouvernement visent un changement politique radical. Libéralisation et concurrence sans obligation de service public auront des conséquences graves. ».

Tribune parue dans le quotidien Libération
22 juin 2004


 Pour l'égalité réelle
« Jusqu'à présent, armés de notre seule volonté de réparer les désordres d'un monde d'injustices, nous avons écopé l'océan des inégalités capitalistes avec les seules mains de l'Etat providence. Il faut aller plus loin. Voilà pourquoi, je vous propose une nouvelle méthode, un nouvel objectif, pour des propositions nouvelles. »
 Intervention lors de la Journée d'étude sur d'étude sur les nouvelles inégalités, organisée à la Mutualité (Paris).

20 juin 2004


 Construire l'Europe politique : 50 propositions pour l'Europe de demain
« Européens, votre Europe peut mourir. Si vous voulez la sauvegarder, lui donner un dynamisme nouveau et la promouvoir sur la scène internationale, vous devez construire ensemble l'Europe politique. »
 Rapport remis au président de la Commission européenne, Romano Prodi.

18 mai 2004


 Pour moi, l'adoption par un couple homo, c'est oui
« Ma conception du socialisme est que chacun doit pouvoir maîtriser son destin et qu'il faut lutter contre toutes les formes de discrimination. Les droits des homosexuels doivent être les mêmes que ceux des hétérosexuels. »

Entretien accordé au quotidien Libération
11 mai 2004


 Le mythe du trésor caché
« Un gouvernement en difficulté croit aujourd'hui avoir découvert l'arme absolue, la manne providentielle, le trésor caché dont personne avant lui n'avait soupçonné l'existence : il vient de découvrir l'or de la Banque de France. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Figaro
20 avril 2004


 Comme d'habitude, M. Chirac est féroce pour le passé, enthousiaste pour le présent et inquiétant pour l'avenir
« J'ai le sentiment qu'il n'a pas compris que la France était malheureuse et qu'il fallait lui répondre par un acte de confiance. Il met la France en panne. »

Entretien accordé au quotidien Le Monde
3 avril 2004


 Régionales 2004 : Il faut crier fort dimanche
« Les Français ont censuré Jacques Chirac, Jean-Pierre Raffarin, le gouvernement et la majorité UMP-UDF. Et ils avaient de nombreuses manières de le faire : ils ont choisi de voter pour la gauche. Maintenant, nous n'en sommes qu'à la mi-temps. Pour que la victoire soit réelle, il faut que chacun vienne dimanche déposer un bulletin de gauche dans les urnes. »

Entretien accordé à Le Parisien
24 mars 2004


 Il faut réécrire la loi Perben
« Le garde des sceaux, Dominique Perben, a introduit un projet de loi relatif à la lutte contre les nouvelles formes de criminalité. Ce projet entend donner aux services de police et de justice des moyens efficaces de lutte contre le crime organisé. Il a suscité au sein des professions judiciaires une contestation généralisée. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
12 février 2004


 Recherche : le roi se meurt
« La France consacre 2,1 % de sa richesse nationale à la recherche, chiffre en régression depuis deux ans. La Suède se situe à presque 5 %, les Etats-Unis à 2,8 % du PIB. Quant au Japon, même en récession, il reste autour de 3 %. »

Point de vue paru dans le journal Libération
27 janvier 2004


 Reconquérir le cœur des quartiers populaires
« La République doit reconquérir la banlieue. Elle peut le faire en y appliquant sa devise renouvelée : la liberté ordonnée, l’égalité réelle, la fraternité laïque. »
 Intervention lors de la Rencontre nationale des quartiers populaires, organisée à Sarcelles (Val-d'Oise).

7 décembre 2003


 Préparer activement une alternative
« Nous devons rechercher l'adhésion à nos idées et non compter sur le rejet de nos adversaires. Nous devons donc être volontaires et courageux. »
 Intervention lors du premier Banquets de l'alternative, organisé à Alfortville (Val-de-Marne).

21 novembre 2003


 Constitution européenne : continuons !
« L'année qui va s'ouvrir est un tournant dans l'histoire des peuples d'Europe. A la fin de 2004, l'Europe se sera élargie à dix nouveaux pays membres. Elle aura élu un nouveau Parlement européen, doté de pouvoirs accrus. Une nouvelle Commission, chargée de mettre en place d'importantes réformes des politiques communes de l'Union, sera installée. »

Point de vue paru dans les pages " Horizons " du quotidien Le Monde
6 novembre 2003


 Je dénonce ce gouvernement
« La cause du mal est identifiée, elle a un nom ou plutôt deux : Jean-Pierre Raffarin et Jacques Chirac. 18 mois après l'arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement, c'est l'heure du premier bilan. Il est catastrophique. »
 Intervention lors du Conseil national.

11 octobre 2003


 Oui à l'esprit de Cancun !
« Faut-il faire échouer le sommet de l'Organisation mondiale du commerce qui s'est ouvert à Cancun ? Faut-il brûler l'OMC ? »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
12 septembre 2003


 Baisse de l'impôt sur le revenu : ce choix est socialement injuste et économiquement inefficace
« Comme nous sommes très loin d'être en période de surplus budgétaires, les gains des uns sont financés par l'endettement des autres. Endetter le pays pour faire des cadeaux aux plus riches : voilà la cohésion sociale selon M. Raffarin. »

Entretien accordé au quotidien Le Monde
5 septembre 2003


 Proposer un chemin au pays
« Pour répondre à l'attente de la société française, le PS doit désormais élaborer un véritable projet politique. Ce projet doit s'étendre aux trois grands domaines qui depuis deux siècles ont structuré la pensée socialiste : la question sociale, la question internationale et la question démocratique. »
Intervention lors d'une table-ronde organisée lors de l'Université d'été du Parti socialiste

30 août 2003


 Une alternative partagée par toute la gauche
« Ma conviction, c'est que, sans union, il n'y aura pas d'alternative possible. Mon analyse, c'est que les divergences historiques entre les formations de la gauche ont été largement gommées par l'histoire et les autres résorbées par la pratique du gouvernement Jospin. »

Entretien accordé au quotidien Le Parisien
27 juin 2003


 Le temps du retour est là
« Pour moi, c'est un congrès majeur. C'est un congrès majeur parce que c'est un congrès où nous avons fait majoritairement le choix du réformisme, le réformisme de gauche qu'a lancé François Hollande. »

Congrès de Dijon
17 mai 2003


 Je veux me consacrer à faire émerger un nouveau dessein
« Au cours de l'année écoulée, il y a bien des sujets sur lesquels les socialistes se sont exprimés chacun en fonction de leur sensibilité, parce que la ligne du parti n'était pas définie. Maintenant que les militants ont tranché, le congrès de Dijon permet de clarifier un certain nombre de questions. »

Entretien accordé au quotidien Le Monde
17 mai 2003


 Pour un renouvellement des idées
« Les socialistes, les gauches européennes, ont construit un Etat-providence et une redistribution fiscale limitant les inégalités générées par le système capitaliste. C'est une grande œuvre, mais cela ne suffit plus. Il faut désormais s'attaquer aux inégalités à la racine, là où elles se créent. »

Entretien accordé au quotidien La Depêche du Midi
29 avril 2003


 Une nation est née
« Aujourd'hui naît une nation européenne. Sur un même continent, un même jour, pour une même cause, les peuples se sont levés. Et, brutalement, nous prenons conscience de ce que ces peuples ne font qu'un. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
26 février 2003


 Réformer à gauche
« Il y a dans nos statuts une règle pour le dépôt des contributions présentées aux militants. Elle est simple. Présenter une contribution générale est se réserver la possibilité de la transformer en motion. Il faut donc pour ce faire avoir de sérieux motifs de divergence avec les autres contributions. Présenter une contribution thématique, c'est proposer des idées pour la réflexion et le débat. »

Contribution thématique présentée par Socialisme et Démocratie au Congrès de Dijon.

janvier 2003


 Un congrès de réconciliation avec la réforme
« La préparation de ce Congrès se situe dans un double contexte que chacun a à l'esprit. D'abord le risque croissant d'intervention américaine en Irak. Ensuite le façonnement, sous nos yeux, des institutions de la nouvelle Europe. »
 Intervention lors du Conseil national.

18 janvier 2003


 Parti socialiste : l'union et la clarification
« Notre ambition est simple : ni aventure isolée au détriment de l'intérêt général ni bricolage tactique au détriment de la lisibilité politique. Formulée autrement : le rassemblement autant qu'il est possible, la clarification autant qu'il est nécessaire. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
3 octobre 2002


 Pour un débat réussi
« La nécessité d'un débat approfondi pour comprendre la situation politique nouvelle fait l'unanimité chez les socialistes. C'est une bonne chose. Encore faut-il bien préciser ses enjeux et les conditions de sa réussite. »
Texte collectif de la sensibilité Socialisme et Démocratie en vue du congrès du PS à Dijon en 2003.
Socialisme et Démocratie est, notamment, animé par Dominique Strauss-Kahn, Jean-Christophe Cambadélis, Alain Richard et Pierre Moscovici.

juillet 2002


 L'État est en danger
« Oui l'État est en danger. Il ne va pas aussi mal que certains veulent bien le dire puisqu'il n'est pas trop tard pour le réformer en profondeur et dans la durée. Mais il n'est que temps. »
Préface à la note n°24 de la Fondation Jean-Jaurès : Changer l'État de Jean Peyrelevade & Lucile Schmid.

septembre 2001


 Démocratie !
Contribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000

septembre 2000


 La nouvelle donne
En vue du congrès du PS, onze ministres et dirigeants socialistes proches du Premier ministre signent une contribution axée sur la lutte contre les inégalités.

Document paru dans le journal Libération
18 juillet 2000


 La France et la nouvelle croissance
« La croissance sera plus durable, car non porteuse d'inflation, plus solidaire, car créatrice d'emplois, plus innovante, car tirée par les technologies de l'information. »

Point de vue paru dans le journal Libération
26 août 1999


 Abolissons la dette des pays pauvres
« Les pays du Sud très endettés ne doivent plus avoir de paiements à effectuer au titre de la dette contractée à l'égard des institutions publiques des pays riches. »

Point de vue paru dans le journal Libération
12 mars 1999


 L'euro, un petit morceau d'Europe sur soi
« Loin d'être un renoncement, l'euro est un espoir de progrès économique et social et une conquête. Une conquête de souveraineté : l'euro nous rend des marges de manœuvre économiques, il est l'instrument de maîtrise de la mondialisation. Une conquête d'identité également. De Lisbonne à Helsinki, de Paris à Vienne, ce sera un symbole exceptionnel d'identité européenne au quotidien. L'euro, c'est un élément fondamental de la construction politique de l'Europe. »

Point de vue paru dans L’Hebdo des Socialistes
20 novembre 1998


 Une réforme méthodique de l'impôt
« Pour que, loin d'un " grand soir fiscal " dont l'ampleur même conduit à renoncer, la réforme entre dans les faits durablement en étant acceptée par le plus grand nombre. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
23 Juillet 1998


 Gouverner la concurrence
« La gauche fera d'autant mieux qu'elle saura réguler la concurrence en passant d'une logique d'intervention sur les marchés à une logique de gouvernement des marchés. »

Point de vue paru dans le journal Libération
7 juillet 1998


 La production, une matière neuve
« Malgré la crise asiatique, le pessimisme n'est plus de mise. La croissance est de retour; à la gauche de mettre à profit la période d'expansion qui s'ouvre. »

Point de vue paru dans le journal Libération
19 février 1998


 Philippe Séguin ou le conservatisme bougon
« Comment lui qui, il n'y a pas si longtemps, faisait de grands moulinets en invoquant le « front républicain », peut-il aujourd'hui se laisser aller à ce lâche abandon qui consiste à placer un signe « égal » entre le PS et le FN ? »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
13 décembre 1997


  Discours prononcé à la tribune du Congrès de Brest
« En 1993, la gauche s'identifiait au pouvoir ; pire, à l'ordre établi ; pire encore, à l'ordre accepté. Et la jeunesse - qui est sans doute plus exigeante - se détournait de nous davantage encore que les autres catégories. En 1995, l'élection présidentielle a marqué un premier redressement. Mais, 1993 était encore trop proche, et Jacques Chirac a réussi à reconquérir, et peut-être à abuser, une partie de notre jeunesse, quitte, d'ailleurs, à en payer le prix plus tard. »

22 novembre 1997


 Quelle réforme fiscale ?
« Par deux fois, les conservateurs ont réussi dans ce pays à gagner les élections en promettant la baisse des impôts, en 1986 et en 1993. On sait ce qu'il est advenu de ces promesses qui, comme les autres, n'engagent, paraît-il, que ceux qui les écoutent. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
20 juin 1996


 Au bonheur des socialistes
« Dimanche dernier, réunis pour tirer les leçons de l'échec collectif qu'ils ont à nouveau subi au soir du 12 juin, les socialistes, une fois encore, n'ont pas débattu sur le fond. Je me suis élevé contre l'absurdité de cette nouvelle péripétie, en pensant à tous ceux qui ne se résignent pas à voir la gauche de ce pays se perdre sans cesse dans ses reniements et ses manœuvres. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
25 Juin 1994


 La nouvelle gauche
« Les Français ont voté " oui " au terme d'une campagne longue et passionnée, qui a donné lieu à un débat approfondi. C'est le bon choix pour la France, qui sera plus forte au milieu des autres pays ; pour la Communauté, qui a besoin de l'union pour être pleinement une zone de paix et de prospérité ; pour l'Europe entière, qui doit y trouver un modèle d'organisation et de société ; pour le monde, enfin, car l'Union européenne sera un facteur d'équilibre dans les relations internationales. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
1er octobre 1992


 A quoi sert un parlementaire ?
Après la publication, dans le Monde du 11 décembre, du manifeste de douze députés socialistes appelant à un renouveau de la démocratie, Dominique Strauss-Kahn, président de la commission des finances de l'Assemblée nationale et ancien secrétaire aux études du PS, propose des réponses aux questions soulevées par ses collègues.

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
16 décembre 1990

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