Député de la Corrèze
 Maire de Tulle (15 553 habitants)
 Premier secrétaire du Parti socialiste

François
Hollande



 

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 Nous reviendrons sur toutes les baisses d'impôt
« La méthode compte presque autant que les mesures elles-mêmes. Il n'y aura pas de réussite durable sans un progrès en matière de démocratie sociale, de décentralisation et de rénovation de nos outils de décision. »

Entretien accordé au journal Le Monde
19 décembre 2006


 Ségolène Royal est incontestablement la plus populaire
« Tout est inédit dans cette primaire. Le premier secrétaire n'est pas candidat, et il y a trois prétendants. Mon rôle n'est pas de peser sur le vote mais de faire en sorte que le choix des militants devienne celui des Français. »

Entretien accordé au journal 20 Minutes
13 novembre 2006


 Je revendique le premier rôle pour le PS
« Ces débats sont une bonne préparation pour la suite. Mais j'ai été affligé par les quelques débordements intervenus au Zénith. Je ne veux pas d'un parti de supporteurs, de porteurs de pancartes ou de lanceurs de confettis. Cela vaut pour tout le monde. »

Entretien accordé au journal Libération
6 novembre 2006


 Une candidature s'est incontestablement installée
« A partir du moment où le Parti socialiste n'offrait pas une cohérence de candidature autour de son premier secrétaire, il était assez prévisible que ce que l'on appelle faussement l'opinion (...) s'empare d'une personnalité correspondant à leur volonté de victoire. Paradoxalement, c'est la multiplication des candidatures qui a permis à l'une, moins prévue que d'autres, de surgir. »

Entretien accordé au journal Le Monde
4 octobre 2006


 Je déciderai, le moment venu, d'être candidat ou pas
« Il y aurait une logique à ce que [le premier secrétaire du PS] soit candidat. Mais ce n'est pas la règle dans notre parti, puisque c'est le vote des militants qui doit en décider. Nous avons adopté, sous ma responsabilité, un calendrier et une procédure. Je me dois d'être le premier à les respecter. »

Entretien accordé au journal Le Monde
25 août 2006


 Une loi inutile et blessante
« Comment un article de loi peut-il enjoindre à l'école et à l'université d'enseigner une histoire positive et officielle de la colonisation ? Comme si le législateur pouvait faire souverainement œuvre d'historien. Cette loi est donc, pour partie, inapplicable. Elle n'est pas, pour autant, sans conséquence pour l'esprit public. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
13 décembre 2005


 Les socialistes sont rassemblés pour servir la France
« Rien ne viendra désormais nous éloigner de la seule perspective que l'on s'est fixé ici au Mans : porter un projet, rassembler la gauche, réussir le changement en 2007, nous serons tous ensemble dans ce combat, nous serons tous ensemble pour rendre possible la victoire. »
 Intervention à la tribune du congrès du Mans

20 novembre 2005


 Nous serons vigilants
« Face à l’échec de la droite, la gauche doit donner du sens, ouvrir une perspective et démontrer qu’elle représente une alternative. Nous avons une obligation de responsabilité. Nous avons plus que jamais le devoir de nous rassembler et de tenir des discours qui soient en rapport avec la réalité. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
8 novembre 2005


 Banlieues : la réalité vient de rattraper le pouvoir
« D'abord le projet, ensuite le contrat de gouvernement avec nos partenaires de gauche, milieu 2006. Enfin la désignation du candidat socialiste à la fin de l'année prochaine. Ne précipitons pas les choses ! Regardons à droite, où un candidat obsédé de lui-même néglige ses fonctions ministérielles pour promouvoir sa propre image. On en voit aujourd'hui les conséquences. »

Entretien accordé au journal Le Progrès de Lyon
7 novembre 2005


 Je sais où je vais, je ne fais pas de zigzags
« Quant au choix de notre candidat, il viendra en novembre 2006. Notre motion compte plusieurs postulants. C'est la preuve que voter pour elle, c'est rester libre pour le choix suivant. Tel n'est pas le cas d'une autre motion qui confond son premier signataire et son candidat. »

Entretien accordé au journal Libération
2 novembre 2005


 Le PS est prêt à fédérer toute la gauche
« Nous devons inscrire notre action volontariste dans la durée plutôt que de prétendre rompre avec le capitalisme en cent jours. Cette rhétorique n'a plus cours. Je souhaite une gauche moins bavarde et plus concrète, moins incantatoire mais plus protectrice, qui sache aussi inventer de nouveaux instruments. »

Entretien accordé au journal Le Figaro
5 octobre 2005


 Socialistes, pour réussir à gauche : Volonté - Vérité - Unité
« Forts du chemin parcouru depuis 2002 et tirant toutes les leçons du 29 mai, nous avons un devoir collectif : réussir en 2007. Nous devons avoir des principes pour agir, un projet pour changer, un parti pour rassembler la gauche et la mettre en mouvement. »
 Motion présentée au congrès du Mans (novembre 2005)

20 septembre 2005


 La vérité, une clé pour la confiance
« La vérité, c’est d’avoir le même discours, la même pratique, la même ambition que l’on soit dans l’opposition ou que l’on soit au pouvoir. Et, c’est là que tous les socialistes doivent se rassembler. »
 Intervention lors du Conseil national.

17 septembre 2005


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« Dire la vérité n'est donc pas un renoncement, une prudence, une tiédeur. Ce n'est pas l'abandon de l'utopie. Au contraire, c'est la morale politique qui permet d'être conforme à l'idéal et d'agir durablement. C'est une exigence de réussite. »

28 août 2005


 Candidat(e) du PS à la présidentielle : Le choix se fera au second semestre 2006
« Les militants socialistes seront sévères avec celles ou ceux qui voudront confondre les échéances. Il faut d'abord dire ce que l'on veut faire avant ce que l'on veut être. »

Entretien accordé au journal 20 Minutes
29 août 2005


 Volonté, Vérité, Unité
« Montrer que nous pouvons agir dans la durée, car pour transformer la société dans le sens de la justice et de la solidarité, il faut la durée. Elle requiert de ne pas décevoir et donc de produire des résultats concrets. Dès lors, il faut allier l'exigence de la vérité et la force de la volonté. »
 Contribution générale en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005


 Proposition des femmes pour le projet socialiste
« Cette contribution, loin d'être une revendication catégorielle, sert l'intérêt général. Le parti socialiste a tout à gagner à porter ce combat. Mais cela commence par un effort sur lui-même d'exemplarité en matière d'égalité femmes/hommes. »
 Contribution thématique en vue du congrès du Mans (novembre 2005)

juillet 2005


 Je prends ma part de responsabilité
« Désormais, c'est sur l'essentiel qu'il faut se concentrer : c'est-à-dire sur les attentes des Français et les échéances de 2007. (...) Le Parti socialiste doit présenter les fondements d'un projet d'ici la fin de l'année. »

Courrier adressé aux militants socialistes
7 juin 2005


 Une addition de refus, une expression des peurs et une exigence de changements
« La gauche est devant un choix. (...) Nous pouvons être en situation non pas de profiter de la crise, mais d'en être le débouché politique et démocratique. »
 Intervention lors du Conseil national.

4 juin 2005


 Cette fois, il n'y aura pas de second tour
« Le scrutin est totalement ouvert. Ce qui se joue le 29 mai, ce n'est pas le gouvernement Raffarin : il est déjà condamné. Ce n'est pas le sort de Chirac : il sera là jusqu'en 2007. La seule chose en cause, c'est l'avenir de l'Europe. »

Entretien accordé au journal Libération
23 mai 2005


 Europe : la mystification du plan B
« Nous aurions dit non au plus social de tous les traités de l'histoire de la construction européenne. Et il n'existe aucune garantie que les avancées qui sont aujourd'hui sur la table pourraient se retrouver dans un texte futur. Une opportunité historique aurait été manquée. Et le temps ne se rattrape jamais. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
4 mai 2005


 L'Europe sociale passe par la Constitution européenne
« J’appelle aussi toutes celles et tous ceux qui veulent que cela change vraiment en Europe et en France à faire le choix du « oui », parce que c’est le Traité constitutionnel qui nous donnera des garanties supplémentaires. Et je conjure ceux qui utilisent parfois le mensonge ou qui manipulent les peurs de bien prendre conscience que la gauche n’a jamais avantage à jouer avec les angoisses et les appréhensions. »
Meeting à Marseille pour le OUI

31 mars 2005


 Lettre aux militants socialistes
« Ne confondons pas les enjeux. Ceux qui voudraient dire « Non » à Chirac priveraient l'Europe d'une Constitution tout en gardant Chirac ! »

Courrier adressé aux militants socialistes
25 mars 2005


 Une société inquiète, inégalitaire et fragmentée
« Nous sentons monter le besoin d'alternance à mesure que l'impopularité du pouvoir se confirme, que ses échecs se révèlent, que ses mystifications apparaissent et que ses impuissances sont reconnues. »
 Intervention lors du Conseil national.

20 mars 2005


 Lutter contre tous les amalgames, contre toutes les caricatures
« Nous ne pouvons pas utiliser les peurs, les inquiétudes, les appréhensions, les angoisses pour forger un résultat électoral. Cela vaut pour un référendum, mais cela vaudra aussi pour le rendez-vous de 2007. »
Rassemblement du Comité du OUI

12 mars 2005


 Il était temps que l'UMP se décide...
« Quand la Constitution européenne entrera en vigueur en 2007, les gouvernants d'aujourd'hui ne seront peut-être plus là. Aux socialistes d'être au rendez-vous de l'alternance. Ne nous trompons ni de moment ni de sujet. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
7 mars 2005


 L'échec du référendum ne serait pas un échec du pouvoir mais de la France
« Je veux de la clarté, de la transparence et des règles. J'ai demandé à Jacques Chirac à être reçu après le Congrès pour lui demander de fixer enfin la date du référendum. »

Entretien accordé au journal Le Monde
23 février 2005


 Une campagne pour un " Oui " franc, clair et socialiste
« Le referendum ne porte que sur le traité constitutionnel et l’heure de l’alternance ne vient pas en 2005 hélas. L’heure de l’alternance viendra en 2007. Et c’est notre responsabilisation de préparer le changement espéré. »
Conférence de presse : Lancement de la campagne pour le OUI

14 février 2005


 La France va mal
« En cette année 2005, il n'y a pas d'élections décisives, alors le gouvernement a voulu engager un mouvement de privatisation, de précarisation et même de punition d'un bon nombre de Français. »
Rassemblement des secrétaires de section

30 janvier 2005


 Un parti rassemblé dans la clarté
« L’année 2004 a été l’année du rejet de la droite. L’année 2005 doit être celle du projet de la gauche. Ce doit être une œuvre collective. Toutes les sensibilités du parti, toutes les personnalités du parti, tous les militants, voire tous nos sympathisants, doivent en prendre leur part. »
 Intervention lors du Conseil national.

4 décembre 2004


 Un oui de combat pour l'Europe
« Les socialistes, après un débat d'une rare qualité, (...) ont approuvé à une forte majorité (...) le Traité constitutionnel européen. Ils peuvent être fiers de leur Parti, d'eux-mêmes, de l'image qu'ils ont donnée de ce qu'est une formation politique, de ce qu'est un débat démocratique, de ce qu'est un vote. »
 Intervention après le Oui des militants socialistes.

2 décembre 2004


 La Constitution européenne n'est ni socialiste ni libérale
« Je ne veux pas de ce double langage : protestataire le temps d'une élection ; gestionnaire ensuite. Ce n'est pas ma conception de la politique. Le PS n'est pas dans la posture, c'est une force de gouvernement. On n'est pas plus à gauche au prétexte que l'on est tout seul. »

Entretien accordé au journal Le Monde
1er décembre 2004


 Traité constitutionnel européen : Heureux et libre
« Si le non devait gagner, nul n'est capable d'en évaluer les conséquences (...). La plupart des dirigeants, notamment le premier secrétaire, se retrouveraient en porte-à-faux. Je vois d'ailleurs fleurir dans la presse des hypothèses de combinaisons au lendemain du vote, voire les noms d'éventuels successeurs ! Cela ne me rappelle rien de bon. »

Entretien accordé au journal Sud Ouest
29 novembre 2004


 Pourquoi il faut dire oui à la Constitution européenne
Le premier secrétaire du PS, dix jours avant le référendum interne, commente les douze principaux articles du traité.

Entretien accordé au journal Libération
22 novembre 2004


 Si le " non " l'emporte, ce pourrait être un saut dans le vide pour le PS
« Pour le traité de Maastricht de 1992, qui était premier secrétaire du PS à l'époque, pour demander, à juste titre, d'approuver ce traité ? Laurent Fabius. Et pour le traité de Nice, qui était premier ministre et ministre de l'économie ? Lionel Jospin et Laurent Fabius. Si l'Europe c'est le libéralisme, alors il faudrait que tel ou tel fasse son devoir, non pas d'inventaire, mais de dépôt de bilan politique. »

Grand jury RTL - Le Monde - LCI
21 novembre 2004


 Partout en France, des maires socialistes se mobilisent en faveur du projet de Traité constitutionnel européen
« Nous, responsables de collectivités territoriales (communes, communautés urbaines, villes...) nous voulons ajouter un argument qui peut concerner plus directement nos concitoyens et les territoires dans lesquels ils vivent... »

18 novembre 2004


 Mes dix raisons de dire oui
« Dire non aujourd'hui, c'est paralyser durablement la construction européenne et briser le lien qui nous unit à la gauche européenne. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
16 novembre 2004


 L'Europe est à la fois notre histoire, notre présent et notre avenir
« Le rôle donc des sympathisants socialistes est d'aller, dans les quinze jours qui restent jusqu'au 1er décembre, convaincre les militants de l'importance de ce choix. »
 Intervention devant le ClubTémoin.

10 novembre 2004


 États-Unis 2004 : Ce modèle conservateur aura des imitateurs
« Si l'Europe est privée de Constitution, empêtrée dans une négociation interminable sur son avenir et incapable d'assumer une union à 25 pour aller plus loin et plus vite en matière de politique étrangère commune, ne prétendons pas qu'on pourra inventer une autre Europe. »

Entretien accordé au journal Le Monde
5 novembre 2004


 L'affirmation de notre identité, le respect de notre crédibilité
« Rejeter le Traité suppose d'énoncer une stratégie, des alliances, un débouché. Or, aujourd'hui, dire non redonnerait la main à Jacques Chirac. Qui peut prétendre que des majorités de droite dans la plupart des pays feraient le traité que nous attendons, nous ! Qui peut comprendre que nous pourrions avoir une alliance avec la gauche européenne quand tous les partis socialistes européens sauf un souhaitent qu'il y ait l'adoption de ce traité ! »
 Intervention lors du conseil national du parti socialiste.

9 octobre 2004


 La logique voudrait qu'il ne puisse plus siéger au sein de l'UMP
« Il est établi que la diplomatie et l'action des services ont été gênées par l'opération ridicule mais dangereuse de M. Julia. C'est pourquoi le gouvernement, conscient de ce risque, aurait dû, dès le départ, mettre un terme fermement et publiquement à cette confusion et à cette intrusion. »

Entretien accordé au journal Le Monde
6 octobre 2004


 Je ne défends pas ma place mais l'identité du PS
« Compte tenu de la force électorale que représente le PS aujourd'hui, c'est sa position qui décidera du sort du référendum et permettra donc à l'Europe de franchir une étape nouvelle ou provoquera un blocage durable. C'est dire si notre débat est grave, même s'il doit rester serein : il appelle chacun d'entre nous à la responsabilité. »

Entretien accordé au journal Le Monde
16 septembre 2004


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« Les français attendent beaucoup de nous. Ils l'ont exprimé. Alors qu'ils sachent bien que les socialistes sont là, à leurs côtés, au travail, conscients des enjeux qui viennent. Et prêts à y répondre. La gauche n'est pas de retour, comme je le disais à Dijon. Elle arrive. »

29 août 2004


 Traité constitutionnel : Un oui raisonné
« Dans l'intérêt même de l'Europe, je ne voudrais pas que le référendum sur la Constitution prévu fin 2005 soit détourné par un pouvoir en quête de légitimité ou utilisé par des électeurs désireux d'exprimer, une fois encore dans les urnes et avec une force accrue, leur colère à l'égard de ceux qui les gouvernent si mal. »

Entretien accordé à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
26 août 2004


 Je plaiderai pour la ratification du traité
« Il ne s'agit pas d'un accord historique. Il aurait dû être mieux négocié par les autorités françaises. Notamment sur les clauses de révision. Il reste que par rapport à la situation actuelle, il y a de réelles avancées institutionnelles, un progrès évident avec l'intégration de la charte des droits fondamentaux. »

Entretien accordé au journal Libération
15 juillet 2004


 Nous vivons un règne, mais il est déjà sur sa fin. Cela le rend plus absolu encore
« Jacques Chirac a retrouvé depuis 2002 la pratique monarchique de la Ve République mais sans le principe de responsabilité si cher à de Gaulle et avec tous les comportements liés à un règne finissant. »

Entretien accordé au journal Le Monde
13 juillet 2004


 Le départ de Raffarin s'impose
« J'ai été extrêmement choqué par l'absence de toute réaction du Premier ministre le soir des élections. Qu'il ait préféré commenter le résultat de l'équipe de France de football plutôt que celui de l'UMP est tout simplement incroyable dans une démocratie digne de ce nom. »

Entretien accordé au journal Le Parisien
15 juin 2004


 L’esprit du 6 Juin
« En ce jour de commémoration, nous vous demandons de revenir à l'esprit des pères fondateurs de votre grande Nation, cet esprit de paix qui nous a rassemblé contre la barbarie nazie, pour la création d'une société internationale plus fraternelle. »
 Lettre adressée au président George W. Bush à la veille de sa venue en France.

4 juin 2004


 Le socialisme, le plus sûr moyen de faire de l'Europe notre avenir
« Donner à ceux qui ne croient pas en l’Europe et qui, parfois, ont des raisons d’être inquiets pour leur emploi, pour avenir, un sens, une perspective, une vision, les amener à penser que l’Europe peut être demain une protection et une chance. »
 Intervention lors de la Convention nationale à la Mutualité (Paris).

9 mai 2004


 Les socialistes sont à la hauteur du moment
« Le vote est utile pour l'Europe, il est utile pour le Parlement européen, il est utile pour rassembler la gauche à l'échelle du continent. Il est surtout utile ici, en France, pour poursuivre le travail qui a été engagé le 28 mars, de protection des citoyens par rapport aux décisions qui se préparent. »
 Intervention lors du Conseil national.

17 avril 2004


 M. Raffarin, vous n'avez plus la confiance des Français
« Dans le contexte politique nouveau, l'opposition doit prendre toutes ses responsabilités pour répondre, à la place qui est la sienne, à l'attente des Français. »
 Intervention à l'Assemblée nationale dans le cadre du débat suivant la déclaration de politique générale du gouvernement Raffarin III.

5 avril 2004


 Un mouvement s’est amorcé en ce printemps 2004
« La victoire électorale de dimanche nous a conféré davantage de devoirs que de droits : devoir d’action dans les régions et dans les départements, devoir de protection au Parlement, devoir de proposition au sein du Parti socialiste. »
 Intervention lors du Conseil national.

3 avril 2004


 Chirac recule, il ne cède rien
« Sa seule préoccupation, c'est lui-même. Nous sommes dans une fin de règne. Jacques Chirac a été élu sur un malentendu, il a poursuivi son action dans le mensonge, il est aujourd'hui dans le mépris. Et d'abord celui de la vérité. »

Entretien accordé au journal Libération
3 avril 2004


 Chirac s'est cyniquement écarté de son mandat de 2002
« En fonction des résultats le président de la République sera obligé de tirer des leçons. D'abord, pour ses équipes - c'est son problème, et il n'est pas mince, puisque, aujourd'hui, il y a deux premiers ministres : un réel et un virtuel. Ensuite, sur la politique qu'il inspire et qu'il sera forcé de corriger à la mesure des scores. »

Entretien accordé au journal Le Monde
27 mars 2004


 Audiovisuel : le gouvernement est tenté par une reprise en main
« Le gouvernement joue le pourrissement, comme il l'a fait dans l'éducation nationale, avec les intermittents du spectacle, à la SNCF ou à EDF, en espérant que le fatalisme et la résignation l'emporteront. C'est le service radiophonique public qui est directement visé, et au moins sa remise en ordre qui est recherchée, si ce n'est, à terme, sa privatisation. »

Entretien accordé au journal Le Monde
13 février 2004


 Cela vaut la peine de voter socialiste
« Si nous avons un projet, c'est pour être utile dès aujourd'hui ; si nous avons un projet, c'est pour donner à espérer dans la politique. Si nous avons un projet, c'est pour être efficaces, concrets et patients en attendant le rendez-vous de 2007. »
Rassemblement des secrétaires de section

25 janvier 2004


 Il n'est pas nécessaire d'attendre 2007
« Les élections régionales vont dessiner pour plusieurs années le visage de la gauche. Si nous sommes capables de gagner ensemble, si nous sommes capables de diriger ensemble dans les régions, alors nous sommes capables de préparer un projet ensemble pour 2007. »
Convention nationale de ratification des listes aux régionales de 2004

13 décembre 2003


 L'alternance commence dès les élections régionales de 2004
« Je ne veux plus partir d'accords électoraux, sans contenu, souvent rédigés bilatéralement, mais j'avance l'idée d'un partenariat fondé sur un projet avec un vrai partage des responsabilités. »

Entretien accordé au journal Le Monde
13 décembre 2003


 Mondialisation : du débat à l'action politique
« Les occasions ne manquent plus pour débattre de la mondialisation. Depuis quelques années, ce sujet a pénétré le cœur du débat public. Avec l'éclosion de cette société civile internationale, bien sûr, qui se rassemblait déjà au Brésil en 1992 lors de la Conférence mondiale pour l'environnement à Rio. »

Point de vue paru dans le journal Le Monde
13 novembre 2003


 Une gauche unie pour une première étape de la reconquête
« L’union est toujours un combat, mais aujourd’hui c’est le combat pour l’union qu’il faut engager. Si nous ne le faisons pas, nous serons malgré notre bonne volonté, malgré nos appels, accusés par nos électeurs, par tous les électeurs de la gauche, de ne pas avoir réussi l’union dès le premier tour pour les élections régionales. »
 Intervention lors du Conseil national.

11 octobre 2003


 Je n'exclus rien sur la Constitution européenne
« Il est légitime que les socialistes affirment clairement leurs exigences pour que l'Europe ne soit pas seulement un espace, un marché, mais un cadre institutionnel permettant à l'Union d'être plus démocratique sur le plan politique, plus forte sur le plan diplomatique et plus solidaire sur le plan social. »

Entretien accordé au journal Le Figaro
11 octobre 2003


 Journées parlementaires du Parti socialiste à Limoges
« Opposition ferme à la droite, propositions fortes aux Français et rassemblement large pour l'alternative. C'est notre meilleure façon de servir notre pays et nos idées. »

27 septembre 2003


 Nous avons affaire à un gouvernement aux abois
« Je préfère une politique qui assume de financer des services publics par l'impôt sans l'augmenter par des voies subreptices. Et si des marges de manœuvre budgétaires existent, c'est le prélèvement indirect qu'il faut impérativement baisser. »

Entretien accordé au journal Le Monde
23 septembre 2003


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« Donner du temps, mais ne pas le perdre. Incarner dès à présent la relève mais respecter les échéances. S’opposer mais être utile. Dénoncer sans relâche les injustices, mais incarner l’espoir. Nous y parviendrons par l’unité, le travail, le dialogue, le rassemblement, la confrontation démocratique par la mobilisation des citoyens. »

31 août 2003


 Retraites : mes quatre vérités
« Demander le retrait du texte Fillon, ce n’est pas refuser d’agir.C’est mettre un terme à un affrontement dont ne sortiraient que des vaincus :le syndicalisme, la politique et même l’idée de réforme. »

Point de vue paru dans le Nouvel Observateur
12 juin 2003


 Le gouvernement a voulu engager une épreuve de force. La facture lui sera présentée
« Dix-huit milliards d'euros d'ici à 2020, c'est l'équivalent de ce qu'il devra trouver à la fin de cette année pour financer le déficit de l'assurance-maladie. Le rapprochement est saisissant. On nous présente un scénario catastrophe pour les retraites alors que le plus urgent, c'est le financement du système de santé. »

Entretien accordé au journal Les Échos
10 juin 2003


 Les socialistes sont de retour
« La grande question qui nous est posée n'est pas simplement de savoir quand nous reviendrons au pouvoir - l'alternance est inscrite et le plus tôt sera le mieux, mais pour quoi faire et pour combien de temps. Tel est le sens que nous devons donner à notre combat. Retisser les fils perdus. Engager une mobilisation civique au-delà des élections. Faire vivre la démocratie participative. Partager le pouvoir. »

Congrès de Dijon, discours de clôture
18 mai 2003


 Bâtir un grand Parti socialiste
« Construire un grand Parti socialiste, à l'image des social-démocraties européennes, suffisamment fort pour réduire l'extrême droite et rassembler toute la gauche sans céder à la mauvaise conscience de l'extrême gauche. »

Entretien accordé au L'Express
15 mai 2003


 Inventaire, oui, braderie, non !
« Je ne pense pas que les récents congrès des Verts ou du PC soient des références ou des exemples à suivre. Ils nous créent même une obligation: celle de réussir notre congrès de Dijon. Pour remettre la gauche en ordre de marche, il serait paradoxal de déstabiliser le parti qui lui sert de pivot. »

Entretien accordé au Nouvel Observateur
17 avril 2003


 Un Congrès de clarté et d'action, pas un Congrès de confusion ou de division
« Il faut un PS fort, capable de mettre la gauche sur le chemin de l'unité et d'être une alternative à la droite. »
 Intervention lors du Conseil national de synthèse.

15 mars 2003


 Les socialistes doivent être plus clairs dans leurs choix
Soulignant ses " différences " avec les courants qui s'opposent à lui, il lance un avertissement : après le congrès, affirme-t-il, " je ne veux plus revoir des positions différentes sur la sécurité, les retraites ou les services publics ".

Entretien accordé au journal Le Monde
11 février 2003


 Clarifier, Renouveler, Rassembler
Discours prononcé à la réunion des animateurs de la contribution générale au Congrès de Dijon du Parti socialiste.

4 février 2003


 Un parti plus ouvert, plus représentatif, plus militant
« Une des leçons de notre échec, c'est que nous sommes un parti trop faible, trop vulnérable. On nous a reproché notre hégémonie et c'est de notre faiblesse que nous avons été victimes le 21 avril. J'en tire la conclusion qu'il faut un grand Parti socialiste. »
 Intervention lors du Conseil national.

18 janvier 2003


 Pour un grand Parti socialiste
« Je veux faire de notre Congrès de Dijon l'acte premier du renouveau de la Gauche. Le PS doit en sortir plus fort et plus uni. C'est possible si nous le décidons ensemble. »
 Contribution générale présentée par François Hollande au congrès de Dijon.

18 janvier 2003


 Un parti à 30 % des suffrages avec le double d'effectifs militants
Discours prononcé en conclusion de la rencontre de 1 500 cadres et responsables fédéraux réunis à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

15 décembre 2002


 Ne plus jamais revoir un 21 avril
Le patron du PS, François Hollande, annonce un « réformisme de gauche » Il présentera « seul » une contribution au congrès de mai.

Entretien accordé au journal Libération
21 novembre 2002


 La rupture est une rhétorique qui ne résiste guère à l'épreuve du pouvoir
 Discours devant le conseil national du Parti socialiste à La Villette.

19 octobre 2002


 Journées parlementaires du Parti socialiste à Paris
« L’opposition doit faire pleinement son travail. C’est notre rôle. Et il est essentiel dans une démocratie, surtout après le coup de tonnerre du 21 avril. »

20 septembre 2002


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« Il y a un an, ici même, c’était la première étape d’une campagne que nous espérions tous victorieuse. Aujourd’hui, c’est de notre capacité à comprendre et à dépasser une défaite cruelle pour préparer l’avenir dont il est question. Nous sommes venus nombreux. Nos débats ont été de qualité. C’est pour moi un encouragement sur notre vitalité. »

1er septembre 2002


 Réaction à la déclaration de politique générale de M. Raffarin
Intervention à l'Assemblée nationale lors du débat qui a suivi cette déclaration.

3 juillet 2002


 Bilan des élections présidentielle et législatives
 Intervention de François Hollande lors du Conseil national lors du Conseil national.

29 juin 2002


 Législatives de juin 2002
Le texte intégral de la déclaration du Premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande au siège du PS rue de Solférino au soir du second tour.

16 juin 2002


 Tout reste possible
« Second tour des législatives : ce qui est en cause le 16 juin, c'est l'avenir de la France, la place du pluralisme et la rénovation de notre vie politique. »

Point de vue paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur
13 juin 2002


 Campagne des législatives de juin 2002
Discours prononcé lors du meeting à Nantes.

3 juin 2002


 Présider autrement
Discours prononcé lors du grand meeting de la campagne présidentielle, à Limoges (Haute-Vienne).

14 mars 2002


 8ème rassemblement des secrétaires de section à La Mutualité
« Nous partons à cette bataille démocratique avec un acquis considérable : le travail accompli par le Gouvernement de Lionel Jospin qui nous fournit un socle de crédibilité par rapport à nos prédécesseurs et au bilan du Président sortant. Mais nous disposons - par rapport à nos concurrents - d’un autre atout, plus modeste sans doute, mais tout aussi majeur C’est notre parti. »

27 janvier 2002


 Législatives de 2002 : le projet des socialistes
Convention nationale de ratification du projet 2002.

samedi 26 janvier 2002


 Nous sommes les porte-parole du long terme
 Intervention lors du Conseil national thématique : Pour de nouveaux choix de société.

17 novembre 2001


 Notre bilan nous permet d'être jugés sur pièces !
Entretien avec le premier secrétaire du PS diffusé dans le document-bilan (diffusé le 12 novembre 2001); 1997-2002, la France qui change.

12 novembre 2001


 Journées parlementaires du Parti socialiste à Nantes
« Nos journées parlementaires se situent, chacun l’a rappelé, à un moment exceptionnel fait de gravité - au regard de la situation internationale -, d’émotion - face aux victimes de New York et de Toulouse - et d’inquiétude devant les incertitudes économiques. Nous affrontons ces épreuves à la fin de la législature, c’est-à-dire dans une période où nous devrions - en temps ordinaire - nous consacrer à la valorisation de notre bilan, à l’achèvement de notre programme législatif et à la préparation de notre projet. »

27 septembre 2001


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« N’est-ce pas un handicap d’exercer la responsabilité, au moment où la réalité et la conjoncture font fi des calendriers politiques et ne serait-il pas plus confortable de se cantonner au seul pouvoir de la parole, même réduit à deux jours ouvrables : le 14 juillet et le 31 décembre ? N’est-ce pas injuste qu’au sein même du pouvoir d’Etat, ce soit toujours vers le Gouvernement que les regards se tournent, les mains se tendent et les doléances s’expriment dès qu’un problème surgit, un événement se produit ou une difficulté se présente, quand celui qui exerce la fonction la plus prestigieuse de l’Etat ne se pose comme seule question, terrible, de savoir où il va passer ses vacances ? »

2 septembre 2001


 Donnons du sens à la politique
 Intervention devant le Conseil national du Parti socialiste.

30 juin 2001


 Colloque : L'idée socialiste
« L'idée socialiste suscite un vif débat sur la scène intellectuelle européenne. Ce colloque a réuni autour de cette question des intellectuels français et européens venant d'horizons divers ainsi que des responsables politiques de premier plan. »

9 juin 2001


 Bilan des municipales
 Intervention devant le Conseil national du Parti socialiste.

27 mars 2001


 Vœux à la presse
Le climat social - Le rôle du Parti socialiste - Les élections municipales et cantonales - 2002.

janvier 2001


 Congrès de Grenoble
Intervention du Premier secrétaire lors du congrès national.

26 novembre 2000


 Un congrès pour quoi faire ?
« Les socialistes tiennent leur congrès dans quelques jours à Grenoble. Ils ne participent pas là à un rite baroque ou à un pugilat obscur. Ils veulent, au contraire, en faire un moment utile pour le pays et pour la politique. Ils y entrent donc unis et rassemblés, loin d´un passé dont ils ont su tirer les leçons. Ils regardent le travail mené depuis 1997 sans autosatisfaction, mais avec le sentiment d´avoir tenu parole, notamment par rapport à la lutte contre le chômage. Ils relèvent que leur stratégie d´alliances, la gauche plurielle, a tenu bon, malgré les vicissitudes liées à la vie d´une majorité riche de cinq composantes. »

Point de vue paru dans le quotidien Le Monde
23 novembre 2000


 Journées parlementaires du Parti socialiste à Lyon
« Soyons francs, nos journées parlementaires se déroulent dans un contexte - à bien des égards - exceptionnel : un référendum marqué par un taux historique d'abstention et une résurgence inopinée des affaires dans le débat public. Impossible d'aborder sereinement nos priorités pour la prochaine session sans crever ces abcès. »

25 septembre 2000


 Oui pour plus de démocratie
Campagne du Parti socialiste pour le référendum sur la réduction du mandat présidentiel : intervention au Cirque d'hiver.

19 septembre 2000


 Pour une société plus humaine
Contribution au Congrès de Grenoble de novembre 2000.

septembre 2000


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« Jamais le rôle du PS ne m'a paru aussi grand que dans cette période. Jamais sa stabilité, sa cohérence et sa force de proposition ne m'ont semblé aussi précieuse pour la Gauche plurielle et pour le pays. »

3 septembre 2000


 L'avenir de l'Europe se prépare aujourd'hui
François Hollande réagit au discours de Joschka Fischer, ministre allemand des Affaires étrangères, abordant l'idée d'une Europe fédérale.

Point de vue paru dans le quotidien Libération
22 mai 2000


 Convention nationale " Territoires et citoyens "
Présentation de la Convention

19 mai 2000


 Convention nationale de ratification
Discours prononcé à La Villette (Paris) lors de cette convention exclusivement consacrée à la désignation des têtes de liste socialistes pour les élections municipales de 2001 dans les villes de plus de 20 000 habitants.

13 mai 2000


 Développement et environnement au service de tous
Intervention de François Hollande à Rennes au colloque de préparation de la convention nationale " Territoires et citoyens "

5 février 2000


 Journées parlementaires du Parti socialiste à Strasbourg
« Reprise de la croissance, régression du chômage, amélioration du pouvoir d'achat. Nos résultats électoraux ont témoigné de la confiance des Français dans ce que nous représentons. Nul doute que si nous avions échoué la durée ne nous aurait pas été accordée pour poursuivre. »

28 septembre 1999


 Université d'été du Parti socialiste à La Rochelle
« L'objet de notre université d'été, à la différence d'autres, n'était pas la production de petites phrases, pas plus que l'organisation d'un tour de chauffe avant je ne sais quel scrutin interne. Il consistait essentiellement à apprécier l'action menée depuis 1997 et à fixer nos priorités pour les mois qui viennent. Je me tiendrai donc, comme tous les participants, à cet ordre du jour. »

29 août 1999


 Européennes 99 : «Je sens naître une reconnaissance»
François Hollande se sent conforté à la tête du PS par le succès de sa liste dans les sondages.

Entretien accordé au quotidien Libération
7 juin 1999


 Européennes 99 : « L'Europe de la défense, une exigence »
Le Parti socialiste lance officiellement sa campagne aujourd'hui à la Mutualité à Paris. Ce démarrage tombe en plein conflit du Kosovo qui a révélé de profondes divergences à gauche. La liste conduite par François Hollande n'échappe pas à la règle, puisqu'elle accueille en bonne place les amis de Jean-Pierre Chevènement, hostiles aux frappes de l'Otan. Le numéro un minimise.

Entretien accordé au quotidien Libération
10-11 avril 1999


 Intervention devant la convention nationale " Nation-Europe "
« Quelle Europe voulons-nous ? Cette question nous est forcément posée au moment où nous entrons dans la campagne des élections européennes, mais elle prend une acuité particulière dans le contexte actuel, marqué par trois événements d'importance, dont je voudrais ici tirer les premiers enseignements. »

28 mars 1999


 Un modèle fédéral, respectueux des nations
éditorial-introduction - Convention nationale Nation-Europe

mars 1999


 Journées parlementaire du Parti socialiste à Tours
Les leçons des élections législatives partielles - Appliquer les textes que nous avons votés - Poursuivre notre ambition réformatrice (Le projet de loi de finances / Le Pacte Civil de Solidarité / L'aménagement du territoire) - Bâtir l'Europe de demain.

29 septembre 1998


 Discours prononcé au Parlement européen
« J'interviens devant vous à un moment où le contexte européen n'a jamais été aussi favorable pour les socialistes et les sociaux-démocrates. (...) Nous pouvons en retirer une légitime fierté mais cela nous donne également un certain nombre d'obligations, car si l'Europe demain ne se construit pas en fonction des attentes de nos peuples, nous ne pourrons pas nous en exonérer, nous ne pourrons pas accuser nos adversaires, nous devrons simplement constater que nous n'avons pas été à la hauteur de la mission qui nous était confiée. Voilà pourquoi l'engagement européen est pour nous décisif. »

17 juin 1998

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